Chapitre 8 : Sexy

Point de vue de Chris :

— Isabella ?

— Hum ?

Je la fixai. Elle était plus concentrée sur l'application de son eye-liner que sur moi.

— Est-ce qu'on peut parler de l'entreprise ?

Je ne pouvais plus attendre, il fallait que je pose la question qui me torturait l'esprit depuis un moment.

Je voulais éviter de parler « travail » avec Isabella depuis que j'étais revenu, mais je devais savoir ce qui était arrivé à la société pendant mon absence.

Mes parents m'avaient briefé qu'Isabella n'allait plus bosser à cause de sa grossesse, sans que ça n'ait affecté négativement les affaires, mais du coup, qui avait repris les rênes de l'entreprise ?

La blonde interrompit son maquillage inachevé et se tourna vers moi. Elle souffla.

— Après t'avoir perdu, je ne sortais plus de la maison. Les semaines ont passé et mon ventre poussait de plus en plus, j'étais constamment fatiguée et faible, je ne pouvais pas faire beaucoup d'efforts. Et en plus, les médecins m'ont prescrit un congé forcé vers la fin de mon premier trimestre à cause de quelques complications... Quand j'ai commencé à aller mieux, j'ai fait du télétravail. Sachant que les paparazzis guettaient mes faits et gestes, je ne voulais pas sortir et attirer l'attention en m'affichant avec mon ventre... Je ne pouvais pas demander à Sébastien de s'en occuper, car il avait déjà du mal à jongler entre son boulot et son couple... J'ai donc nommé Tom responsable intérimaire de mon poste et je l'assiste depuis la maison. Il m'envoie un compte-rendu toutes les fins de semaine et je lui donne des directives. Il est très compétant, il ne m'a pas déçu. Cela dit, depuis ton retour à la maison, je n'ai plus la tête à ça...

Je la fixai quelques instants, digérant ses explications. Ça m'étonnait beaucoup que nos familles ne nous soient pas tombées dessus pour nous blâmer de faire n'importe quoi avec cette société.

— J'avais besoin de te retrouver mon amour... je dois éviter le stress au maximum et rien ne me stresse plus que le boulot...

— D'accord, me contentai-je de répondre.

Elle haussa les sourcils puis s'approcha lentement de moi.

— Tu es fâché ?

— Non, bien sûr que non ! Tu as bien fait, Isabella, dis-je sincèrement.

— Alors qu'est-ce qu'il y a ?

— Je... ça fait un bon moment que je suis rentré, et j'adore vraiment passer toutes mes journées avec toi, à prendre soin de toi et des bébés mais je m'ennuie un peu. Je ne suis pas casanier, je ne supporte pas de tourner en rond sans rien faire, j'ai besoin de m'occuper... tu comprends ? hésitai-je.

— Tu veux reprendre le travail, comprit-elle.

La dernière chose que je voudrais serait de la contrarier, de lui faire croire que je me lassais de passer du temps avec elle, ou pire encore, de lui laisser entendre qu'elle était encombrante. Cependant, pour le bien de notre couple, je pensais sincèrement que je devrais passer moins de temps à la maison. Et quoi de mieux pour cela que de reprendre le boulot ?

Son long silence m'inquiéta. Elle était angoissée à l'idée qu'il m'arrive quelque chose, je le savais. Je n'étais pas stupide, j'avais très bien remarqué qu'elle était devenue hyper-protectrice envers moi. C'était mignon, mais pas très sain pour notre relation.

— Si tu veux que je reste avec toi, je resterai. Je bricolerai la chambre des bébés, j'apprendrai à jardiner, à cuisiner... je trouverai sûrement des trucs à faire, je travaillerai depuis la maison s'il le faut... Ce n'est pas grave, abandonnai-je.

— Evidemment que tu peux retourner travailler, Chris, sourit-elle. Je suis seulement surprise. C'est un sacré rebondissement que tu deviennes aussi responsable !

Je levai les yeux au ciel sans pouvoir m'en empêcher.

— Il est temps que je me reprenne en mains. Je veux être un bon mari et un bon père.

— Tu l'es déjà, mon amour, me sourit-elle tendrement.

Elle prit mon visage en coupe et embrassa sensuellement mes lèvres.

— Je vais m'ennuyer de toi, grimaça-t-elle. Je viendrai t'embêter de temps en temps à la société si tu veux bien de moi... ?

— Bien sûr, autant que tu le voudras, bébé.

— Bien, laisse-moi finir de me maquiller maintenant, fit-elle en tapotant sur mon torse nu.

Elle s'éloigna ensuite, retournant à son miroir et à ses produits cosmétiques. Je ne comprendrais jamais les femmes. Certaines avaient raison de vouloir camoufler les défauts qu'elles pouvaient avoir, mais Isabella était sublime au naturel.

Le maquillage accentuait sa beauté, mais personnellement, je la préférais sans. Je ne voulais pas qu'elle attire l'attention des autres hommes dans le restaurant où nous allions ce soir. Je redoutais de devoir me confronter à des connards frustrés qui la dévisageraient.

J'étais jaloux et possessif, je n'y pouvais rien.

— Tu ne t'habilles pas ? me coupa-t-elle dans mes pensées.

— Je vais le faire, mais j'adore te regarder te préparer.

— Le mataillage est l'une de tes spécialités, après tout, me taquina-t-elle.

— Tu as de la chance d'être enceinte, sinon je t'aurais puni pour ton insolence, pris-je un ton sévère.

Elle déglutit, et ses joues virèrent au cramoisi. Elle n'aura pas besoin de mettre du blush.

— Ça me manque nos petits jeux transgressifs, surtout quand tu joues aux dominants avec moi.

— Oh, moi aussi... tu n'imagines pas à quel point, fis-je, nostalgique.

— On peut toujours pratiquer les moins dangereux ?

— On essayera, pourquoi pas... tout ce qui m'importe c'est que tu te sentes bien, que tu prennes du plaisir, et que tu ne te sentes surtout pas forcée.

— Tout va bien, même les bébés semblent s'amuser pendant nos parties de jambes en l'air.

— Pitié ne me dit pas ça, soufflai-je, dépité.

Elle rit aux éclats.

— Tu sais ce que j'ai vraiment très envie de faire avec toi ?

— Dis-moi ? arquai-je un sourcil, curieux.

— Je veux te faire l'amour, mais pas dans le sens où je pourrais te chevaucher ou te dominer en t'attachant au lit... La grossesse me provoque des rêves érotiques très particuliers, et j'aimerais beaucoup, beaucoup, les concrétiser...

Je restais muet. Elle fantasmait encore sur ça : le pegging. Je savais qu'elle avait pris son pied quand elle m'avait dominé mais me sodomiser, dans son état ? J'étais perturbé. Je lui avais promis que j'y réfléchirais, mais je ne l'avais pas vraiment fait étant donné tout ce qui c'était passé.

— Oh, j'ai une idée ! lâcha-t-elle soudainement.

Merde. Quoi encore ?

Avec un sourire diabolique qui ne présageait rien de bon pour moi, la blonde se dirigea vers la commode, ouvrit le dernier tiroir, et sortit une petite boite que je reconnus immédiatement.

— N'y pense même pas Isabella ! paniquai-je.

— On n'a pas eu la chance de l'essayer et j'en ai très envie ce soir...

— Isabella, on va au restaurant !

Son sourire s'agrandit. Putain ! J'ai créé un monstre !

— Ce n'est pas drôle si tu le portes à la maison. Allez ! S'il te plaît !

Elle sautilla, surexcitée. J'étais coincé. D'un côté, je ne voulais pas lui dire non. Mais d'un autre, elle allait m'humilier, je savais qu'elle ne se tiendra pas tranquille et qu'elle me titillera toute la soirée. J'allais être gênée, inconfortable, frustré... Je n'étais pas prêt à me ridiculiser en public pour ses beaux yeux.

— Tu avais promis que tu réfléchirais à une éventuelle relation switch entre nous...

J'avais dit ça moi ?

— Et quand tu es revenu, tu as promis que tu ferais n'importe quoi pour te rattraper...

Je fermai les yeux, me maudissant pour ces putains de promesses.

— Et tu sais à quel point j'ai envie de...

— Arrête, grondai-je, mal à l'aise.

— Ça m'ennuie que tu sois aussi ronchon ! bouda-t-elle. Rappelle-toi que moi aussi j'avais des appréhensions à propos du sexe anal, mais que ça ne t'a pas empêché d'insister jusqu'à ce que je cède !

Tu es faible, Christopher. Elle va te foutre à genoux et te baiser et tu ne vas rien comprendre.

— S'il te plaît... insista-t-elle en faisant la moue.

— D'accord, acceptai-je, vaincu.

Son grand sourire victorieux m'agaça. Je pris l'initiative de m'allonger sur le dos et d'ôter mon boxer sans un mot. Je n'étais pas en érection, ce qui arrangeait ma femme qui lisait attentivement la notice. Je fixai le plafond, nerveux, voulant en finir au plus vite.

— Ce n'est pas sorcier Isabella, je peux le faire moi-même si tu veux...

— Non, s'offensa-t-elle, ne gâche pas mon plaisir !

Elle récupéra hâtivement le lubrifiant et sortit le sex-toy de sa boite. Mon souffle se coupa. J'allais devoir supporter ce truc toute la soirée, bordel.

— Plie les jambes et écarte-les, m'ordonna-t-elle.

Je m'exécutai. Elle grimpa sur le lit, s'agenouilla entre mes cuisses, puis versa quelques gouttes du produit sur ses doigts qu'elle rapprocha de mon anus. Je frissonnai de froid, ravalant mon gémissement et mes jurons. Elle étala le gel et caressa délicatement mon entrée crispée, cherchant à me détendre.

— Hum... ça ne te dirait pas de t'épiler ?

Pardon ?

— Je comprends que ce soit rare chez les hommes hétéros, mais ce serait plus agréable au toucher et les sensations plus fortes pour toi...

— Je n'ai pas de problèmes avec ma pilosité.

Elle se mordit la lèvre en poursuivant ma préparation. Je comprenais ce qu'elle voulait dire, moi-même, je préférais les peaux lisses et douces, surtout au niveau des parties intimes, mais il s'agissait de moi, là. Je suis un homme. Mes poils étaient une partie intégrante de ma virilité.

— Je n'ai pas de problème avec ta pilosité non plus, d'ailleurs, je trouve ça assez fade la mode régressive de l'épilation intégrale pour un homme, mais...

Elle était gênée d'aborder ce sujet avec moi. Après tout, j'avais accepté de me soumettre en la laissant me pénétrer, pas besoin d'exagérer en se plaignant de mes poils. Et de toute façon, si on s'y mettait, le débat ne finirait jamais.

Si les rôles étaient inversés, la femme n'avait pas à se sentir insultée, car ce serait tellement normal qu'elle s'épile intégralement le corps pour le bon plaisir de son mari, et en plus de ça, elle devait naturellement cautionner le fait de forniquer avec Chewbacca. Le contraire signifierait qu'elle se rebelle et affirme son insoumission aux hommes, et pour ces derniers, devenir eux-mêmes imberbes seraient dévirilisant.

Pour certains rageurs, l'épilation des hommes les rapprocherait de l'androgyne, donc les seuls à devoir s'épiler, ce seraient les femmes et les homosexuels. Cette putain de société sexiste n'est pas près d'évoluer.

Je n'avais pas cette mentalité, il pouvait m'arriver de me raser les couilles, je le faisais pour mon propre confort et selon mon humeur, mais hors de question d'aller me foutre à quatre pattes dans un centre esthétique pour me faire épiler le SIF par une inconnue.

— Si l'idée de me caresser et me pénétrer devient fréquent pendant nos jeux, je me raserai, ok ? lui concédai-je.

— D'accord.

Elle glissa un doigt sur la peau délicate de mon périnée, massent savamment cette zone ultrasensible pour stimuler ma prostate en externe. Je devais bien l'avouer, elle était douée, et pourtant, nous n'avions pratiqué ce genre de chose que rarement.

Je fermai les yeux, essayant de calmer ma respiration et détendre mes muscles pour lui faciliter la tâche. L'un de ses doigts entra en moi et je gémis faiblement. C'était tellement bizarre d'avoir quelque chose, là. Je ne m'habituerai jamais à être l'arroseur arrosé.

Ses va-et-vient s'accélérèrent. Je sentais son regard insistant sur moi, mais je ne voulais pas la regarder. Si je croisais son ventre, j'allais craquer et m'enfuir en courant.

— Tu serres... ça va ? m'interrogea-t-elle.

— Oui. Fais vite, s'il te plaît.

Je l'entendis glousser et elle me pénétra avec un second doigt. Je pris sur moi pour ne pas resserrer autour d'elle et la laisser m'élargir. J'essayai d'avoir des pensées coquines – et stimulantes - pour me mettre dans le bain et me détendre un peu. J'y arrivais avec un peu de volonté.

Ses doigts me quittèrent après une longue et adroite préparation, et curieux, je rouvris les yeux pour la regarder faire. Premièrement, elle glissa l'anneau supérieur tout le long de mon pénis mou, jusqu'à sa base. Il n'était pas si serré que ça, mais je savais que ça allait changer dans peu de temps. Ensuite, elle enroula un second anneau autour de mes couilles, et j'inspirai profondément, craignant la dernière étape.

Elle saisit le frein en silicone, orienté vers le bas, le recouvra de lubrifiant et guida son extrémité en forme ovale vers mon orifice. Elle poussa, lentement et avec insistance, l'insérant en moi, et ma bouche s'entrouvrit. Un gémissement de douleur m'échappa sans que je ne puisse me contrôler. Elle continua d'avance dans relâcher la pression, tout en observant mon visage et mes expressions.

C'était inconfortable et irritant au début. Contrairement à ma femme, qui s'était rapidement adaptée à la sodomie, je ne m'y ferais jamais. Quand elle m'empala profondément, je me surpris à haleter, le pénis en semi-érection. Ce maudit jouet était spécialement conçu pour exercer une pression directe sur la prostate, et la mienne ne faisait pas exception.

Isabella appuya légèrement sur le socle à l'extrémité du sex-toy, vérifiant s'il était bien fixé, et c'était là que mes yeux s'arrondirent, réalisant qu'elle avait réussi à l'enfoncer complètement. Elle recula pour admirer son œuvre et esquissa un sourire pervers.

— C'est parfait...

— Je crois qu'on devrait rapporter le dîner de ce soir, lançai-je, déboussolé.

— Hors de question ! Allez ! Habille-toi maintenant !

Si j'arrive à bouger, bordel !

Elle me laissa pétrifié, malmené, tout nu, pendant qu'elle se déshabillait et enfilait un collant opaque suivi d'une splendide robe rouge. Mon souffle se coupa. Malgré son ventre proéminent, ses fesses rebondies et sa poitrine généreuse étaient particulièrement mis en valeur. La robe épousait parfaitement ses formes, dessinant sa silhouette parfaite.

Elle faisait exprès ou quoi ? Elle voulait décidément que je perde mes moyens ce soir !

— Bébé, cette tenue est...

— Quoi ? Je suis grosse, c'est ça ? s'emporta-t-elle.

— Non ! Tu es magnifique... beaucoup trop magnifique.

Elle me dévisagea, puis attrapa un débardeur, un pantalon noir et une chemise blanche qu'elle me balança à la tronche.

— Habille-toi avant que je ne me fâche, Warner !

...----------------...

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Comments

lovely

lovely

elle a des sauts s humer et c moi ou j ai une impression de déjà vu, lors d' une réunion ou Chris l avait torturer avec un oeuf masseur la 🤣

2024-04-05

3

Tous
Episodes
1 Prologue
2 Chapitre 1 : Ressemblance
3 Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
4 Chapitre 2 : Un père
5 Chapitre 2 : Un père (la suite)
6 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
7 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable (la suite)
8 Chapitre 4 : Petits miracles
9 Chapitre 4 : Petits miracles (la suite)
10 Chapitre 5 : Une battante
11 Chapitre 5 : Une battante (la suite)
12 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence
13 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence (la suite)
14 Chapitre 7 : Propriété exclusive
15 Chapitre 7 : Propriété exclusive (la suite)
16 Chapitre 8 : Sexy
17 Chapitre 8 : Sexy (la suite)
18 Chapitre 9 : Course poursuite
19 Chapitre 9 : Course poursuite (la suite)
20 Chapitre 10 : prénoms
21 Chapitre 10 : prénoms (la suite)
22 Chapitre 11: Brooklyn
23 Chapitre 11: Brooklyn (la suite)
24 Chapitre 12 : Un pari
25 Chapitre 12 : Un pari (la suite)
26 Chapitre 13 : Le passé reste dans le passé
27 Chapitre 13 : Le passé reste le passé ( la suite)
28 Chapitre 14 : La relaxation
29 Chapitre 14 : La relaxation (la suite)
30 Chapitre 15 : Un frisson
31 Chapitre 15 : Un frisson ( la suite)
32 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT
33 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT (la suite)
34 épisode 17 : Le pire jour de sa vie
35 Chapitre 17 : Le pire jour de sa vie (la suite)
36 Chapitre 18 : Une belle journée
37 Chapitre 18 : Une belle journée (la suite)
Episodes

37 épisodes mis à jour

1
Prologue
2
Chapitre 1 : Ressemblance
3
Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
4
Chapitre 2 : Un père
5
Chapitre 2 : Un père (la suite)
6
Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
7
Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable (la suite)
8
Chapitre 4 : Petits miracles
9
Chapitre 4 : Petits miracles (la suite)
10
Chapitre 5 : Une battante
11
Chapitre 5 : Une battante (la suite)
12
Chapitre 6 : Drôle de coïncidence
13
Chapitre 6 : Drôle de coïncidence (la suite)
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Chapitre 7 : Propriété exclusive
15
Chapitre 7 : Propriété exclusive (la suite)
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Chapitre 8 : Sexy
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Chapitre 8 : Sexy (la suite)
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Chapitre 9 : Course poursuite
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Chapitre 10 : prénoms
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Chapitre 10 : prénoms (la suite)
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Chapitre 11: Brooklyn
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Chapitre 12 : Un pari
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Chapitre 12 : Un pari (la suite)
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Chapitre 14 : La relaxation
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Chapitre 14 : La relaxation (la suite)
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Chapitre 15 : Un frisson
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Chapitre 15 : Un frisson ( la suite)
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Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT
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Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT (la suite)
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épisode 17 : Le pire jour de sa vie
35
Chapitre 17 : Le pire jour de sa vie (la suite)
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Chapitre 18 : Une belle journée
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Chapitre 18 : Une belle journée (la suite)

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