Chapitre 5 : Une battante (la suite)

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Il embrassa délicatement ma peau brûlante, voyageant entre mes clavicules jusqu'à mes mamelons. Chaque baiser m'hypnotisait, et je réclamais plus. Toujours plus. Il enveloppa l'un de mes tétons de ses lèvres et l'aspira, mais mon gémissement le fit reculer. Je le rassurais avec un sourire qu'il me rendit.

Il était très attentionné, et étudiait méticuleusement mes moindres réactions.

Arrivé sur mon ventre, il s'y attarda longuement. Il embrassa chaque petit centimètre de ma peau chaude, les yeux fermés, et le nez qui inspirait mon parfum naturel. Il était dans sa bulle comme s'il cherchait à communiquer avec nos bébés, à manifester sa présence auprès d'eux par ses caresses... à vouloir rattraper le temps perdu.

Au départ, je voulais surtout du sexe, mais il avait réussi à transformer ce moment censé être torride en quelque chose de féerique. Il termina par de chastes bisous sous mon nombril, couvrant la ligne de petites tâches sombres apparues sur ma peau ferme. Il tira ensuite ma culotte vers le bas et je me sentis soudain moins à l'aise. Mes cuisses se resserrèrent et je rougis.

— Tu es magnifique, Isabella, me chuchota-t-il.

— Je ne suis plus comme avant... je...

J'aurais dû me préparer avant de lui faire des avances.

Chris ignora ma gêne exubérante et écarta mes cuisses. Je fermai les yeux, n'osant pas affronter son regard. Il devait regretter mon ancien corps, avant la grossesse.

Je sursautai en sentant sa bouche à l'intérieur de l'une de mes cuisses, là où les vergetures causées par la grossesse me gênaient. C'était l'un des désagréments de la grossesse : les étirements de la peau au niveau des hanches, des seins, des cuisses, et surtout du ventre. Je m'appliquais de la crème quotidiennement pour atténuer les marques, mais héberger deux bébés dans mon corps ne pouvait qu'aggraver les dommages.

— Tu es tellement belle, répéta-t-il inlassablement.

Après avoir glissé sur mon autre cuisse, il remonta jusqu'à mon mont de Vénus, où quelques petits poils indésirables étaient présents, que j'avais négligé de raser. Je n'avais aucune raison de le faire, étant donné que j'étais encore veuve, une semaine plus tôt, que ma vie sexuelle en avait pâti, qu'il faisait très froid, et que mes deux bébés monopolisaient tout mon temps et mon attention.

— Tellement belle...

Je ne dirais pas qu'il était sarcastique ou hypocrite. Il était sincère, mais je n'étais pas du même avis que lui. Je n'étais peut-être pas repoussante, mais j'étais loin d'être un canon.

— Sors la tête de là et fais-moi l'amour ! exigeai-je.

— Je dois te préparer. Je ne veux pas te faire mal, Isabella.

— Utilise du lubrifiant si tu veux, mais fais vite...

Je frissonnai en sentant l'un de ses doigts s'insinuer dans la moiteur de mes replis intimes.

— Tu es trempée, constata-t-il.

Je hissai le bassin, réclamant plus. Il tournoya autour de mon clitoris, le massant langoureusement, tandis que ses yeux faisaient des allers-retours entre mon visage crispé de plaisir et mon intimité exposée.

— Tu ne t'es pas touché, n'est-ce pas ? Quand je n'étais plus là...

— Non... je n'avais pas la tête à ça, fis-je sur un ton plein de remontrance.

Il sourit narquoisement.

— Je suis là maintenant, et je vais m'occuper de toi comme tu le mérites. Je vais te faire tout oublier. Je vais me rattraper pour tout ce temps privé l'un de l'autre, je vais remplir ce vide en toi en t'aimant... je vais te faire crier mon nom comme avant, bébé.

— Oui... fais-le... vite ! Vite !

Son doigt me quitta, et le brun remonta vers mon visage. Il m'embrassa jusqu'à manquer de souffle, puis m'offrit le sourire qui m'avait tant manqué ; coquin et arrogant. Je retrouvais enfin mon homme.

— Tu me fais confiance ?

— Eperdument.

J'entendis le ronronnement qui vint du fond de sa gorge quand il glissa les mains sur mes cuisses et s'arrêta pour passer ses pouces le long de ma petite bande de poils. Cette caresse excitante me traversa d'une cascade de petits frissons.

Il soutint mon regard, attentif à n'importe quelle grimace d'inconfort que je pourrais afficher, et, tout en écartant d'une main les plis gonflés de ma chair, de l'autre, il me pénétra avec ses doigts ; deux au début, plus trois.

Ma tête tomba en arrière et la sensation qu'il me procurait m'arracha un cri. Ses phalanges me fouillaient, me manipulaient, me caressaient en formant des petits cercles sur mon bouton sensible et réactif. Elles entraient et sortaient en glissant avec facilité, et mes parois se contractaient tout autour, s'accrochant à lui dans un mouvement de pure nécessité charnelle.

Je l'observai ; sa langue qui se glissait entre ses lèvres, le désir qui voilait son regard, les muscles qui ondulaient sur ses bras tandis qu'il me transportait vers le paroxysme, car j'étais si frustrée que le simple fait de le regarder, de le sentir, de me souvenir, me faisait basculer de l'autre côté.

Mes ongles labouraient son avant-bras tandis que tout mon corps se tendit, que mon intimité se contracta et que je criai son nom si fort que cela emplit la pièce autour de nous.

La tête la première, je m'écroulai sur le matelas. Le souffle court, je laissai mon corps se calmer. Du bout des doigts, Chris traça des traits le long de ma cuisse, alors qu'il me libéra des autres. Je sifflai de désir quand je le vis ramener sa main à sa bouche pour sucer ses doigts et gémir en goûtant à ma saveur.

— Exquise...

— Christopher...

— Je sais ma belle, tu aimes quand je te fais jouir avec mes doigts, mais tu préfères ma queue. Ça va venir, j'ai hâte, moi aussi.

Je fermai les yeux en encaissant les dernières bouffées de chaleur qui enflammaient mon corps. Il me vola un petit baiser puis récupéra la bouteille de lubrifiant dans ma table de chevet, et déposa une quantité abondante du gel sur son pénis en érection complète.

— Pour les positions, nos choix sont limités, lui dis-je.

— Quelle position préfères-tu ?

— Sur le côté... c'est plus confortable pour mon dos.

Ses lèvres s'étirèrent avec amusement.

— Je vais te prendre en culière, alors.

Je roulai des yeux. Je ne comprenais pas ce qu'il trouvait de drôle. Je l'aimais bien cette position, moi !

Sans traîner, je me plaçai sur le flanc, pliai les jambes, et posai ma main sur mon ventre. Chris se colla à mon dos, s'accouda avec un bras tout en se penchant sur mon visage, puis, de sa main libre, il rapprocha son sexe du mien.

Au frottement de son gland contre mon clitoris, je gémis. J'avais les larmes aux yeux tellement j'étais frustrée, et ça ne m'étonnerait pas que je me mette à chialer quand il sera enfin en moi.

— Isabella ?

— S'il te plaît... je n'en peux plus d'attendre...

Il embrassa ma tempe, et me pénétra délicatement, me faisant soupirer d'aise. Oui. Enfin. Il m'avait terriblement manqué. Ma chaleur humide s'étira au maximum pour s'adapter à son invasion et il grogna près de mon oreille. Je ressentis une petite douleur inoffensive, comme si, depuis le temps qu'il ne m'avait pas pénétrée, mon corps avait oublié la brûlure du plaisir que sa présence en moi pouvait provoquer.

— Mon Dieu ! Je suis trop étroite !

Chris s'immobilisa pour me laisser le temps de m'adapter. Le doux ronronnement de sa voix, lorsqu'il gloussa, me fit frémir.

— Non, bébé. Je suis trop gros.

Du coin de l'œil, j'entrevis son sourire arrogant.

— Tu t'en plaignais, d'ailleurs, dans le temps, me taquina-t-il.

— Non, j'étais impressionnée au début, mais je m'y suis habituée. J'adore ton pénis, mon chéri...

Il lâcha un petit juron et je ris. Il se pencha et écrasa sa bouche contre la mienne. Tandis que sa langue caressa la mienne, ses hanches se mirent en mouvement. Il était d'une extrême douceur, et à chaque profondeur sa verge caressa chaque centimètre avide à l'intérieur de moi. Il maîtrisait tout ; dominateur, attentif, passionné...

— Putain, ça fait tellement de bien d'être en toi, chuchota-t-il.

Mes ongles lui ratissaient l'avant-bras avant de l'agripper pour l'attirer à moi dans le même geste, signe de mon désir de l'avaler plus profondément. Poussant un grognement, il fléchit et plongea enfin. Complètement. Je lâchai un brusque halètement.

— Je t'ai fait mal ? s'enquit-il, inquiet et amorçant déjà un retrait.

— Non. Non !

J'arquai les hanches pour me presser contre lui, lui témoignant mon besoin urgent de le sentir plus proche. Il sourit, rassuré, et sa main vint malaxer mes seins, pendant que ses testicules battaient doucement contre mes fesses à chaque coup de reins.

Je sentais son regard insistant sur moi, mais je gardai les yeux fermée, apaisée, heureuse, et noyée dans une luxure que je languissais depuis des semaines. Là, je pouvais dire qu'on s'était réellement retrouvés. Nos corps ne faisaient plus qu'un. On était submergé de désir et de plaisir. Tout était absolument parfait.

— Ça va ? Tu as mal quelque part ? m'interrogea-t-il.

— Nulle part, je me sens tellement bien...

— Moi aussi, bébé, moi aussi. Je t'aime.

Ses lèvres se collèrent à ma joue, et il glissa sa main sur la mienne - toujours sur mon ventre. Une série de frissons me parcoururent l'échine. Ma bouche entrouverte lâchait des gémissements incontrôlables. Un tourbillon d'enchantements et d'extase m'emporta.

Je m'y noyais, en répétant son nom dans une litanie haletante. Je me sentais planer, flotter sur un petit nuage. Chris contracta soudainement ses muscles, et dans un dernier coup de boutoir, nous jouîmes tous les deux. Ensemble.

Mon corps tout entier tremblait, je n'arrivais pas à m'en remettre, ni même à saisir toute la magnitude du séisme qui venait de me secouer. La tension derrière ma jouissance était émotionnelle, et alors que mon corps se relâchait progressivement, je sanglotai doucement, mes larmes trouvaient leur chemin jusqu'au visage de mon mari qui, jusqu'au là, se reposait dans le creux de mon cou.

Il releva les yeux vers les miens, et me sourit amoureusement. Je voyais qu'il faisait preuve d'un sacré self-contrôle pour se maîtriser. Ce qu'on venait de vivre était renversant. Bouleversant. Unique.

— Respire mon amour, respire... ça va passer, c'est seulement l'émotion.

J'inspirai profondément, la main sur le cœur, et les paupières serrés. Chris continua de me parler, de me bercer de mots doux, de me répéter à quel point j'étais belle, et combien il m'aimait. Il caressait ma joue, et me serrait dans ses bras.

Je reprenais tranquillement mes esprits quand soudain, de petites chatouilles, comme des ailes de papillons qui volaient dans mon ventre se firent sentir. Je me redressai machinalement, obligeant mon mari à se détacher de moi. Mes yeux s'écarquillèrent dès que les sensations se firent plus intenses.

— Oh, mon Dieu ! m'écriai-je.

— Qu'est-ce qu'il y a ? Tu vas bien ? s'inquiéta-t-il.

— Les bébés...

Son visage pâlit instantanément et la panique envahit ses yeux bleus.

— Je t'ai fait mal ? Putain, je suis désolé, je...

— Non, seigneur... ils bougent ! Ils donnent enfin des coups de pied ! Je les sens !

Son expression changea. Il n'était plus préoccupé, mais bouleversé. Mes yeux se remplirent d'eau une seconde fois et je caressai mon ventre, cherchant le plus de contact possible avec mes bébés. Chris me demanda la permission alors je hochai la tête, lui permettant de poser sa main à son tour. Je n'étais pas sûre qu'il sentirait leurs agitations encore toutes timides, mais j'étais certaine qu'eux, sentaient sa présence.

— Drôle de timing, commenta-t-il.

Je ris.

— Les chiens ne font pas des chats, chéri, le taquinai-je.

— Que dois-je comprendre, chérie ?

— Qu'ils promettent d'être deux petits coquins comme toi !

— Je te rappelle que c'est toi qui voulais baiser ce soir ! se défendit-il.

— Comme si tu n'en avais pas envie ! roulai-je des yeux.

— J'en ai toujours envie, bébé.

— Alors pourquoi tu joues les chastes depuis ton retour ?

— Je voulais te laisser du temps... et surtout, j'avais peur de blesser nos bébés.

— Tu vois bien que non.

Il me vola un baiser. Je souris.

— Je ne les sens pas, fit-il en bougeant lentement sa main sur mon ventre.

— Ils se sont calmés, mais tu auras le temps de les sentir. Sois patient, ça viendra mon amour.

— J'ai hâte qu'ils soient là, rêvassa-t-il.

— Moi aussi...

Je le pris dans mes bras quelques minutes, profitant encore un peu de son corps nu et chaud, puis il m'ordonna de me rhabiller au risque que j'attrape froid. Je le fis en boudant, car ça me manquait de me trémousser nue contre lui.

Chris se revêtit à son tour, et nous nous couchâmes, l'un en face de l'autre. Un calme s'installa, on écoutait tranquillement nos respirations régulières et nous nous fixâmes droit dans les yeux, comme si nous nous découvrions pour la toute première fois.

— Est-ce que tu as des regrets ? me demanda-t-il soudainement.

— Par rapport à quoi ?

— Par rapport à nous... à tout ce qu'on a fait depuis qu'on s'est marié ?

— Je ne regrette aucune seconde passée avec toi, Christopher.

Ça m'inquiétait qu'il se tourmente avec ce genre de chose.

— Et bien moi, je crois que je regrette quelque chose...

— Et quoi donc ?

Il posa sa main sur mon ventre et un frisson me traversa l'échine.

— La séance BDSM qu'on a faite au donjon qu'on a loué

Je fronçai les sourcils, de plus en plus confuse.

— Quoi ? Mais... pourquoi ?

— Parce que tu étais enceinte à ce moment-là et j'ai... je ne t'ai pas ménagé, je t'ai même fouetté ! Imagine si tu avais perdu les bébés à cause de ça... à cause de moi... je n'arrête pas d'y penser, ça me hante. Ta grand-mère a raison de penser que je suis un dépravé sexuel, je t'ai fait du mal alors que tu portais mes enfants. Tu as saigné le lendemain, ça aurait pu être...

Je me fis taire en me blottissant contre lui. Je fermai les yeux, les sentant s'humidifier, mais je ne voulais pas pleurer pour autre chose que mon bonheur infini de l'avoir retrouvé. Je ne voulais pas partager ses sombres pensées pessimistes à propos d'un moment si intime qu'on avait partagé tous les deux.

— Chérie... je suis désolé, mais il fallait que je t'en parle.

Je me détachai de lui et me dépêchai d'essuyer une larme qui m'avait échappé. La culpabilité avait pris possession des sentiments de mon époux et se reflétait clairement dans ses yeux bleus.

— Il n'est rien arrivé aux bébés, Chris, c'est tout ce qui compte, et garde en tête que ni toi ni moi n'étions au courant de leur existence à ce moment-là. Si tu as des regrets ou si tu te sens coupable, ça devrait être aussi mon cas. Je suis autant responsable que toi, si ce n'est plus, vu que c'était mon idée ; le donjon et le fouet. Mais je ne regrette rien, au contraire. Et je n'en ai rien à cirer de ce que les autres pensent de nous et de nos penchants sexuels, on ne baise pas avec leurs corps, que je sache. Et tu sais, entre nous, j'aimerais beaucoup refaire une séance BDSM avec toi...

Ses yeux s'écartèrent.

— Quoi ? Mais... mais tu es enceinte !

Je pouffai de rire. Il était adorable.

— Pas maintenant, imbécile ! Après l'accouchement... quand mon corps aura récupéré.

Il hocha lentement la tête, puis arbora un joli petit sourire.

— J'en déduis que tu es toujours intriguée par cet univers...

— Bien sûr. Ma grossesse, c'est un contretemps, sinon on aurait fait quelque chose de plus hard ce soir pour marquer le coup !

— J'ai adoré ce qu'on a partagé ce soir, ma belle.

— Oui... c'était waouh !

— Je te waouh quand tu veux, bébé.

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Comments

Élie🌈💖Quënny👑💗

Élie🌈💖Quënny👑💗

Isabella avait dis à Christopher " je t'aime jusqu'à venus" "venus planète de la beauté et de la luxure" et bien je crois qu'elle avait raison car chaque détail est mentionné. vraiment Olive t'es parmi les meilleures écrivaines que je connaisse, toutes tes idées sont bien ordonner et hiérachisées 👍👍🥰🥰. j'attends la suite.

2024-03-29

8

🥀Saya🥀

🥀Saya🥀

c'est mignon ça 😂😂

2024-04-18

0

🥀Saya🥀

🥀Saya🥀

moi aussi je pensais que s'était une fausse couche

2024-04-18

0

Tous
Episodes
1 Prologue
2 Chapitre 1 : Ressemblance
3 Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
4 Chapitre 2 : Un père
5 Chapitre 2 : Un père (la suite)
6 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
7 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable (la suite)
8 Chapitre 4 : Petits miracles
9 Chapitre 4 : Petits miracles (la suite)
10 Chapitre 5 : Une battante
11 Chapitre 5 : Une battante (la suite)
12 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence
13 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence (la suite)
14 Chapitre 7 : Propriété exclusive
15 Chapitre 7 : Propriété exclusive (la suite)
16 Chapitre 8 : Sexy
17 Chapitre 8 : Sexy (la suite)
18 Chapitre 9 : Course poursuite
19 Chapitre 9 : Course poursuite (la suite)
20 Chapitre 10 : prénoms
21 Chapitre 10 : prénoms (la suite)
22 Chapitre 11: Brooklyn
23 Chapitre 11: Brooklyn (la suite)
24 Chapitre 12 : Un pari
25 Chapitre 12 : Un pari (la suite)
26 Chapitre 13 : Le passé reste dans le passé
27 Chapitre 13 : Le passé reste le passé ( la suite)
28 Chapitre 14 : La relaxation
29 Chapitre 14 : La relaxation (la suite)
30 Chapitre 15 : Un frisson
31 Chapitre 15 : Un frisson ( la suite)
32 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT
33 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT (la suite)
34 épisode 17 : Le pire jour de sa vie
35 Chapitre 17 : Le pire jour de sa vie (la suite)
36 Chapitre 18 : Une belle journée
37 Chapitre 18 : Une belle journée (la suite)
Episodes

37 épisodes mis à jour

1
Prologue
2
Chapitre 1 : Ressemblance
3
Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
4
Chapitre 2 : Un père
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Chapitre 2 : Un père (la suite)
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Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
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Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT (la suite)
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Chapitre 17 : Le pire jour de sa vie (la suite)
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Chapitre 18 : Une belle journée
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Chapitre 18 : Une belle journée (la suite)

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