Chapitre 7 : Propriété exclusive (la suite)

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Il avala sa salive et hésita quelques secondes avant d'étirer suffisamment la mâchoire. Je lui enfonçai délicatement la fourchette dans la bouche et la retirai après qu'il ait récupéré les pâtes avec ses dents. Il mâcha lentement, tout en émettant des petits sons qui me firent sourire. Il était si adorable.

— Spaghettis à la bolognaise... hum, c'est succulent ! Tu vas nous refaire la scène de la belle et le clochard ?

Je grimaçai, mais mon rire résonna naturellement.

— On n'est pas des chiens !

— Oui, mais ça reste une séquence culte du film, toi qui es si obsédée par les dessins animés !

— Ouais, et si tu arrêtais de parler et que tu ouvrais cette jolie bouche pour moi ?

— Ce que tu dis est très cochon, bébé.

— Plus vite tu auras fini de manger, plus vite on passera au dessert, chéri.

Aussitôt, il obéit, impatient qu'on honore cette promesse. Je pris un malin plaisir à lui donne à manger jusqu'à la dernière bouchée, tel un petit garçon débordant d'innocence, en alternant avec mon propre plat pour éviter que ça refroidisse. Je lui tendis finalement sa coupe de vin et il la savoura comme un grand.

Une fois notre dîner terminé, je sortis de table et aidai mon mari à faire de même. Tant pis, on débarrassera demain. Je le guidai jusqu'au canapé et bizarrement, il n'émettait pas un son. La bosse dans son pantalon ne cessa de grossir et je devinais qu'il était en train de rêvasser au point de s'exciter tout seul. Il s'assit, le dos collé au dossier en cuir, les jambes légèrement écartées et les mains entrelacées entre ses cuisses. Son sourire ne s'effaçait pas.

— Et maintenant ?

— Ne bouge pas, je reviens.

Je l'abandonnai pour disparaître quelques minutes dans la cuisine, puis revins avec une petite culière et un pot de glace au citron. Depuis que j'étais enceinte, c'était devenu mon péché mignon.

Non sans mal, j'enfourchai les jambes du brun et m'installai sur ses cuisses, lui faisant face, mes genoux pliés sur le canapé. Naturellement, il posa ses mains sur mes hanches et l'une d'elles se déplaça lentement jusqu'à mon ventre. Je souris à ce geste.

— Ils vont bien ?

— Oui, ils vont très bien, mon amour, le rassurai-je.

Un sourire sincère trôna sur son beau visage.

— Et maintenant, qu'est-ce qu'on fait de beau, Chère Épouse ?

— C'est l'heure du dessert ! m'exclamai-je joyeusement.

Il arqua les sourcils et je souris sournoisement en détachant le couvercle en plastique. Plongeant ma cuillère dans le pot, j'étalai la glace - assez dure - sur les pectoraux de mon mari. Il sursauta dès que le froid envahit sa peau.

— Putain ! C'est de la glace ? devina-t-il.

— Exact.

— Oh, bon sang ! J'aurais mieux fait d'enfiler un boxer moins moulant...

Je me mordis les lèvres, électrisée par l'excitation, puis je poursuivis en étalant la glace au citron sur son buste, effleurant ses tétons qui se raidissaient avant de descendre jusqu'à son nombril. Il grogna sans retenue, ses muscles se contractant, sa respiration devenant erratique, luttant pour rester immobile.

Une fois satisfaite des dégâts que je venais de causer ; nos peaux collantes et les petites tâches sur nos vêtements et sur le canapé, je me mis à lécher la glace qui avait commencé à fondre sur la partie haute de son corps. Chaque coup de langue sensuel de ma part le fit frissonner de la tête aux pieds. Ma bouche chaude contrastait avec la glace froide. Il s'agrippa à mes hanches comme si sa vie en dépendait.

— Isabella... oh, bébé...

Amusée, je remplis ma cuillère avant de l'enfourner dans sa bouche, le faisais hoqueter de surprise. Ça aurait été indélicat de ma part de ne pas le laisser goûter au dessert à son tour...

Je lui retirai lentement le couvert, lui laissant le temps d'avaler, puis me remis à ma tâche qui consistait à blaireauter sa peau avec ma langue, m'attardant sur toutes ses zones érogènes ; ses tétons, son nombril et sa hanche gauche, là où se trouvait son tatouage.

D'ailleurs, je me permis d'aspirer doucement cette zone, après avoir ajusté ma position, lui arrachant un gémissement rauque. Je léchai l'ecchymose fraîchement dessinée, puis l'embrassai comme pour guérir la blessure d'un enfant. J'étalai de nouveau de la glace, et recommençai de plus belle ; léchant, suçotant, aspirant...

— Isabella... je t'en prie, me supplia-t-il.

— Qui y a-t-il mon amour ? Le dessert ne t'a pas plus ?

— Si... un peu trop même... c'est quoi la suite ? On va faire l'amour hein ? Parce que là... j'en peux plus... mon érection est...

Il se tut, se pétrifiant quand je posai scrupuleusement ma main sur son entrejambe, pressant la bosse qui déformait ses vêtements.

— Douloureuse ? C'est le mot que tu cherches ?

— Je t'ai offert des roses et des chocolats ce matin, ce serait injuste et cruel que tu me tortures en retour ! rouspéta-t-il.

— Ce n'est pas mon intention, ne t'inquiète pas.

Mes mots ne semblaient pas le convaincre alors je décidai d'agir. Je l'avais assez malmené comme ça. Je me levai alors et m'agenouillai entre ses jambes. Je déboutonnai son jean et baissai sa braguette. Impatient, il le retira lui-même et mes yeux s'arrondirent en découvrant l'énorme enflure dans son boxer.

Ah bah d'accord, il n'exagérait pas en se plaignant de son érection !

— Juste par curiosité, ça fait combien de temps que tu bandes comme ça ? demandai-je, choquée.

— Depuis ce matin. Je n'ai pas arrêté de fantasmer sur la soirée et... voilà le résultat ! Tu m'as nourri puis étalé de la glace sur mon corps alors que j’ai les yeux bandés, à quoi tu t'attendais, franchement ?

Je me pinçai les lèvres, incapable de détourner mon regard de son entrecuisse.

Bon, quand il faut y aller...

J'attrapai l'élastique de son sous-vêtement et il hissa le bassin, me permettant de le lui retirer. Une fois libérée, sa queue était divine ; tressautant contre son ventre, zébrée de veines, gorgée de sang. Son liquide pré-éjaculatoire pulsait, signe qu'il était vraiment au bord du précipice.

— Retire ton bandeau, je veux que tu voies ça.

— Tu vas me sucer ?

Je ris, amusée par sa maladresse et il faufila ses mains derrière sa tête pour dénouer le tissu. Il l'enleva, et cligna des yeux pour s'habituer à la lumière, ayant été trop longtemps dans l'obscurité. Son regard bifurqua sur moi, agenouillée devant lui, souriante. Ses yeux bleus s'agrandirent.

— Tu es magnifique, Isabella.

Je rougis, me félicitant intérieurement d'avoir acheté cette nuisette sexy pour femme enceinte, d'un rouge aussi foudroyant que le bandeau que portant mon mari tantôt. Il balaya le salon du regard, impressionné par la décoration que j'avais accrochée. C'était un peu niais de mettre des ballons en forme de cœur et de parsemer le sol de pétales de rose, mais c'était la saint-valentin, tout de même !

— Bon boulot, sourit-il, dommage que je ne vois tout ça qu'à la fin.

— Qui te dit que c'est la fin ? arquai-je un sourcil.

— Eh bien, on a dîné, on a pris le dessert et je suis à poil sur le canapé… Techniquement, il est temps de forniquer !

Je roulai des yeux.

— Figure-toi que j'ai encore envie de dessert.

Son expression confuse se mua en outrage lorsque je récupérai le pot de glace, et il agrippa la base de son sexe, craignant ce qui allait suivre.

— Tu as la trouille ?

— Non, ce n'est pas ma première fois... enfin si, c'est la première fois qu'on m'enduit de glace pour me sucer ensuite. Avant, il m'est arrivé de laisser mes conquêtes mettre de la crème chantilly sur ma...

— Christopher ! grondai-je, irritée.

— Pardon !

Tétanisé, il se tut et m'observa attentivement ramener la cuillère remplie jusqu'à son anatomie. Il sursauta, puis serra les dents dès que j'étalai la glace sur toute sa longueur. Vue à quel point il était brûlant, ça n'allait pas tarder à fondre. Je m'attardai sur son gland, le point sensible de tout homme, mais hélas, le mien était des plus bruyants :

— C'est froid ! Bordel, c'est froid ! cria-t-il.

Il se débattit sur le canapé, cherchant la fuite sous ma mine sarcastique et amusée. Ses doigts empoignaient plus fort sa base, ce qui faisait virer son membre au violet. Je fronçai les sourcils.

— Pourquoi tu serres autant ? Tu te fais du mal !

— Non, je me retiens pour ne pas jouir et... bordel ! Je suis à bout là ! Fais quelque chose !

— D'accord, haussai-je les épaules.

Je reposai le pot sur la table basse, en prenant tout mon temps, sous le regard suppliant de mon époux qui se noircissait à cause de la frustration accumulée. Je reposai mes genoux à terre et me rapprochai suffisamment de son entrejambe. Ses yeux bleus m'électrifièrent.

— Tu permets ? pointai-je sa main autour de sa virilité.

Il la retira immédiatement, n'attendant que ça depuis un bon moment. Je me léchai les lèvres en admirant la grosse saucisse que j'adorais avoir en bouche, sur laquelle dégoulinait le citron qui avait fondu, comme je m'y attendais.

J'adressai un petit sourire débordant de malice à mon partenaire avant de tirer la langue et d'en approcher le bout de son méat qui ne cessait de pulser. Chris contracta la mâchoire, et renversa sa tête en arrière, dissimulant un gémissement sonore entre ses dents serrées.

Satisfaite, je me déplaçai plus bas pour lécher tout le citron qui coulait. Je nettoyai méticuleusement son pénis, à mon aise, ignorant à quel point ma lenteur le torturait. Aux bouts de quelques secondes, j'eus pitié de lui et le pris dans ma bouche, à moitié.

— Bordel ! haleta-t-il, les yeux ronds.

Je souris intérieurement, taquinant son gland avec ma langue. Ma main droite s'enroula autour de la partie inférieure de son sexe et je m'activai à le branler.

— Non, non, ne fais pas ça !

Je me stoppai, confuse.

— Je suis sur le point de jouir, c'est inévitable ! Serre ta main autour de ma base pour bloquer le flux sanguin, autrement je... oh, oh non !

Sans écouter la moitié de sa phrase, je m'étais remise à le pomper avec plus d'entrain. Mes joues se creusèrent et je le suçai avec application. C'était stupide qu'il ne veuille pas jouir, il s’était retenu toute la journée !

— Isabella, il faut vraiment que tu...

Trop tard.

Ses jambes tremblaient sans qu'il ne puisse les contrôler et son bassin se releva inconsciemment. En sueur, il se crispa avant de lâcher un lourd gémissement et là, sa semence se déversa dans ma bouche en plusieurs jets abondants. J'avalais le tout sans-gêne ni dégoût. Son goût salé m'avait manqué.

J'étais peut-être perverse, mais j'aimais bien quand il éjacule dans ma bouche. Le goût du sperme n'était pas si désagréable que ça, on s'y habitue. Après un dernier coup de langue pour bien le nettoyer, je me redressai pour affronter son regard... estomaqué ?

— Quoi ?

— Pourquoi t'as fait ça ? se braqua-t-il.

— Je crois que tu voulais plutôt dire : merci Isabella, j'ai adoré cette fellation !

— Ce n'est pas ce que je voulais dire, secoua-t-il la tête, faussement fâché.

Je baissai mon regard sur son pénis qui n'avait pas diminué de taille, loin de la… il bandait deux fois plus ! C'est possible ça ?

— T'es un surhomme ou quoi ?

— Trois mois sans sexe ça a des conséquences, chérie.

Je ne réfléchis pas plus que ça - de toute façon, il était temps que j'en profite moi aussi - et saisis l'ourlet de ma nuisette pour la passer par-dessus ma tête. Je me retrouvai nue comme un ver, sous le regard conquit de mon homme. Il me scruta de haut en bas, s'attardant quelques instants sur mon ventre avant de verrouiller ses yeux sur les miens.

— On va baiser ?

— Tu préfères aller te branler ? arquai-je un sourcil.

— Non, du tout ! Viens-là ma belle !

Je ne me fis pas prier et grimpai sur ses genoux. Je m'installai sur lui comme tout à l'heure et il se pressa de coller deux doigts à mon clitoris, vérifiant si j'étais prête à l'accueillir. Je haletai à ce contact.

— Trempée rien que pour moi, murmura-t-il d'une voix suave.

— Toujours.

Il plaqua sa main sur ma nuque et m'attira pour m'embrasser sauvagement. Entre temps, sa main libre empoigna sa base pour guider son gland vers mon entrée. Il me pénétra lentement et doucement, me faisant geindre contre sa bouche. Centimètre par centimètre, il me remplit et grogna à son tour entre deux baisers. Il était tout collant, mais ça ne me retenait pas d'enrouler mes bras autour de son cou, l'admirant, extasiée.

— Tu me rends fou, Isabella...

— Ça aurait été plus marrant si tu avais gardé le bandeau.

Ses yeux firent des allers-retours entre les miens et le tissu en satin qui traînait sur le canapé, juste à côté de nos deux corps emboîtés ensemble.

— Il ne faut rien refuser à sa femme enceinte, et encore moins à la saint-valentin !

Ma confusion se transforma en une tornade de volupté quand il fit dérouler le bandeau autour de ses yeux, et le noua dernière sa tête, comme tout à l'heure.

— Chris... tu es sûr ? hésitai-je.

— Oui. J'ai une confiance aveugle en toi et je t'aime... je sais à quel point tu adores me chevaucher, alors vas-y, je suis tout à toi mon amour.

Le prenant aux mots, je plaquai fougueusement mes lèvres contre les siennes, tout en me relevant pour l'extraire de mon vagin, laissant uniquement son bout en moi, puis m'empalai sur lui profondément. Il agrippa mes hanches pour me guider, me faisant aller et venir sur son érection qui m'écartelait délicieusement. Il ne voyait rien et pourtant, il savait toujours comment me faire perdre la tête.

Nous gémîmes à l'unisson, à chaque montée et à chaque descente. Mes seins se balançaient et se cognaient à son torse luisant de sueur et des restes fondus de la glace, m'excitant encore plus. Mon ventre tapota contre le sien, le faisant un peu grimacer, mais je le distrayais en caressant ses cheveux.

— Je ne peux pas te voir... ça va ? me demanda-t-il.

— Je ne me suis jamais senti aussi bien, collai-je mes lèvres à son cou.

— Les bébés bougent ?

— Non...

Il ne dit rien, et à la place, m'encercla de ses bras avant de changer de position, s'allongeant confortablement sur le canapé, moi encore à cheval sur lui. Ses ongles courts se plantèrent légèrement dans ma peau lorsqu'il hissa le bassin, envoyant son gland cogner contre mon utérus. Merde.

Je criai ; de surprise, de plaisir et un peu de douleur.

— Ça va ? Ou tu veux que j'y aille plus doucement ? m'interrogea-t-il.

— Ça va, mais Marie... si elle m'entend crier elle risque de mal interpréter ce qui se passe...

Il se figea.

— Attends, Marie est là ? Je croyais que tu l'avais congédié pour la soirée !

— Non...

— Comment ça se fait que tu nous laisses avoir des rapports sexuels au salon et risquer qu'elle nous surprenne ? me taquina-t-il.

— C'est... excitant.

— Décidément, tu me surprends de jour en jour, chérie...

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Episodes
1 Prologue
2 Chapitre 1 : Ressemblance
3 Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
4 Chapitre 2 : Un père
5 Chapitre 2 : Un père (la suite)
6 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
7 Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable (la suite)
8 Chapitre 4 : Petits miracles
9 Chapitre 4 : Petits miracles (la suite)
10 Chapitre 5 : Une battante
11 Chapitre 5 : Une battante (la suite)
12 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence
13 Chapitre 6 : Drôle de coïncidence (la suite)
14 Chapitre 7 : Propriété exclusive
15 Chapitre 7 : Propriété exclusive (la suite)
16 Chapitre 8 : Sexy
17 Chapitre 8 : Sexy (la suite)
18 Chapitre 9 : Course poursuite
19 Chapitre 9 : Course poursuite (la suite)
20 Chapitre 10 : prénoms
21 Chapitre 10 : prénoms (la suite)
22 Chapitre 11: Brooklyn
23 Chapitre 11: Brooklyn (la suite)
24 Chapitre 12 : Un pari
25 Chapitre 12 : Un pari (la suite)
26 Chapitre 13 : Le passé reste dans le passé
27 Chapitre 13 : Le passé reste le passé ( la suite)
28 Chapitre 14 : La relaxation
29 Chapitre 14 : La relaxation (la suite)
30 Chapitre 15 : Un frisson
31 Chapitre 15 : Un frisson ( la suite)
32 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT
33 Chapitre 16 : ENTRAÎNEMENT (la suite)
34 épisode 17 : Le pire jour de sa vie
35 Chapitre 17 : Le pire jour de sa vie (la suite)
36 Chapitre 18 : Une belle journée
37 Chapitre 18 : Une belle journée (la suite)
Episodes

37 épisodes mis à jour

1
Prologue
2
Chapitre 1 : Ressemblance
3
Chapitre 1 : Ressemblance ( la suite )
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Chapitre 2 : Un père
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Chapitre 2 : Un père (la suite)
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Chapitre 3 : Un dilemme irrésolvable
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