Chapitre 21

- : « Ils sont là, les imposteurs. » commencèrent les gens en nous voyant arriver.

Des tonnes de pensées malveillantes frappaient dans tous les coins.

- : « Qu’est-ce qu’un lycéen fais ici ? »

- : « Bonjour à tous, aujourd’hui nous allons débattre de la charge de l’enfant Harakû Liège. » introduit le juge.

- : « Veuillez vous présenter à la barre » ajoute t’il.

Je vois qu’il a beaucoup plus de personnes qu’une simple affaire, ‘il veut sûrement nous ridiculiser’ me remarquai je.

Le vieux s’avance en premier, obligé et répond

- : « Je suis le grand-père de Harakû. Je m’appelle **** »

- : « Je suis le père de Harakû. » souffle notre rival.

« Je m’appelle Jiu » en ajoutant rien de plus. Le juge me regarde intrigué et le père de Harakû commence.

- : « Hier, nous sommes allés chercher notre fils mais cet homme (en me pointant du doigt) s’est opposé et nous as insulté de comment nous aimons notre enfant. »

Le vieux parle en demandant parole

- : « Vous ne l’avez jamais porté dans votre cœur et vous n’avez jamais voulu l’avoir. »

Harakû se crispe par ces paroles et la salle se tait, il n’y a pas de conjecture.

- : « Vieux comme je suis c’est vrai que j’aurai du mal à payer tout le soutien qu’il faut... » L’homme de bureau crache

- : « Voilà ! Voilà ce que je disais ! »

- : « Laissez le parler » corrige le juge. Le vieux continu

- : « C’est pour cela que j’ai décidé que la charge de l’enfant sera à Jiu. »

Plus aucun son mais d’innombrables pensées envahissent l’espace. Je poursuis

« Mon honneur, je l’aime déjà et j’aimerais m’occuper de lui par contre comme à souligné les parents de Harakû, le problème d’argent se pose mais je peux affirmer que part mes propres moyens je trouverais un travail !

Comme vous le savez la socialisation des normes et des valeurs se construisent et débutent à cet âge si les instant de sa vie avec eux continuent, Harakû grandira froid, avide de pouvoir comme son père et s’éloignera probablement du ‘droit chemin’. » Quelques gens hochèrent la tête et je crois que nous avons convaincu l’assemblée.

L’homme à lunettes (le père de Harakû) ne fléchissait pas mais plus personne ne l’écoutait.

« Suite »

Le juge pose une dernière question

- : « Et toi Harakû, tu veux vivre avec Jiu et ton grand-père ? »

Celui-ci hochait la tête positivement.

Le juge finit par dire

- : « Nous avons décidé que dorénavant Harakû aura pour tuteur Jiu et son grand-père cependant l’affaire d’argent sera maintenu par ses parents et une rançon devra être posée toutes les semaines au grand-père.

On ajoute aussi, bien évidement que Harakû pourra retrouver ses parents les week-end. »

- : « Comment ? C’est à nous de s’occuper des problèmes financiers ?! Malheurs, impossible ! » insurgent les

parents. Ils ne crièrent pas longtemps car la sécurité les firent sortir.

Nous remercions le juge et revenons à la maison.

*: La notion de mana, fondation de la magie et de la religion, est l'émanation de la puissance spirituelle du groupe et contribue à le rassembler.

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