Chapitre 8 - Chapitre 9

- : « Voici ta chambre. »

Des petites statuettes sont posées sur une table et il y a un lit.

Il y a aussi un énorme frigo avec une énorme boule orange.

- : « Touche là. » Je la touche donc (la boule). Le décor de la chambre se change. Une armoire apparaît et un cintre s’accroche au mur.

- : « Tu pourras récupérer, tes affaires plus tard. Viens, je vais te faire visiter. »

« Dis moi, où nous sommes ? » je brime.

Elle répond

- : « Nous sommes dans un lycée spécialisés qui s’appelle Gène ». Nous arrivons dans une assemblée de personnes, où des bans et des chaises entouraient une estrade en marbre.

Nous étions peu nombreux, quinze pour être exact.

Un adulte s’avance et fit régner le silence d’une main. Je ne dis rien, écoutant ce qu’il a dire.

- : « Bonjour, mes chères élèves. Nous voici, une nouvelle année ensemble.

Pour ceux qui ne me connaissent pas ou on oubliait mon nom,

je suis le professeur Cheso. Bienvenu dans le domaine de la Terre que vous appellerai l’institut de Gène.

Quelques règles à suivre :

*

interdiction formel d’aller au-delà de la porte Est.

*

interdiction de prendre possession des esprits de vos collègues et

de vos professeurs.

*

interdiction d’utiliser ces pouvoirs en dehors des cours.

*

interdiction de sortir sans autorisation

*

interdiction.. »

‘Mais de quoi il parle, possessions des esprits ou utiliser ces pouvoirs, il est sérieux là. Il se croit dans un monde féerique ?’

Shici ne me parle pas de la journée, ce qui me soulage un peu ;

je ne veux pas rester à l’écouter alors je me promène dans un parc.

Regardant, les ombres des arbres danser.

Chapitre 9

- « Ding\, ding\, ding\, ding\, ding. » Je dors et je perçois un rêve.

Je n’entend qu’un son qui se répète à l’infini, un son de clochette. Je vois apparaître une image.

C’est une jeune fille qui sonne ces clochettes, elle danse et fait remuer ce son assourdissant et elle n’a pas de visage. L’image de cette fille dans mon cerveau s’arrête, un mini temple rouge la remplace.

J’essaye de me rapprocher mais je ne bouge pas. Un autre son ricoche dans ma tête.

Des -« Dong » grave immobilisent le silence et le temple disparaît, des portes rouges se ferment, je glisse et je recule.

Je continus à essayer d’avancer mais je me fais traîner. Je sens la tension monter et mes peurs resurgissent.

[…]

Du noir (je rêve toujours)

Une sorte de vitre brille dans l’obscurité maintenant c’est un miroir, un miroir triste et vide.

Une ombre bondit, juste une ombre noir et je ne vois qu’elle.

Elle se forme et se défigure, aboutant à ressembler à une silhouette animal.

Un..Je n’ai même pas le temps de finir ma pensée que je me réveille haletant.

Je transpire et je sus, je tremblote à la lumière de la lune.

Je reprend mon souffle cependant j’ai mal au cœur et aux yeux.

Mon cœur palpite comme jamais. Je me lève et mes pas me portent,

je me perds dans les couloirs. J’ouvre une porte coulissante, cette salle est plongée dans le noir seul des

lumières rouges qui éclaire_ des petites statuettes et des personnes me regardent.

Des êtres étranges et mystérieux sont assis là, en rond ; une personne commente

- : « Nous t’attendions ». Je ne dis rien mais je m’avance, des cercles de couleurs se forment.

Je suis ébahi de me voir dans ma forme originel que je déteste tant.

- : « Oh divinités, apparaissez ; apparaissez. Nous sommes tous ici dans cette salle.

Vous qu’y cherchez et vous qu’y nous regardez, apparaissez, apparaissez. »

Il ne se passe rien, pendant un temps. Des présences pesantes jaillirent autour de moi. *

Je me sens si faible et fragile. Des rires et des voix sans paroles naissent dans ce noir.

Des nouvelles images s’impriment dans mon esprit. Un arbre en flamme, des champs désertique et de la tristesse. Une boule en cristal d’un noir ténébreux.

Les flash se stoppèrent et les rires affables ne s’entendirent plus. Je lève les yeux, les autres se scrutent tour à tour et ensuite leurs regards oppressants se finirent sur moi. Chacun reprirent ‘forme humaine’ sans être étonné et ils allèrent dans leurs chambres respectives.

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