Chapitre 15

Je suis demandé le lendemain matin. Je rentre, l’homme de la soirée dernière est en train de téléphoner.

Il finit son appel et se retourne.

- : « Bonjour, désolé pour l’attente. Aujourd’hui nous allons donc plus vous informer au sujet de votre école. »

Il allume un store, mon ‘ancien école’. Il commence

- : « Comme vous devez le savoir, cet institut regroupe des adolescent de toutes âges. La police a ouverte il y a quelques années une enquête dessus car elle a pu constater que les nouveaux élèves arrivaient à des périodes de non-acceptations, les cours n’étaient pas du tout normaux. Mais par contre ce n’était pas un dossier préoccupant donc la police n’a pas cherché plus loin. Cependant, il n’y a pas très longtemps elle a découvert qu’ils mettaient en œuvre des expériences scientifiques sur les élèves en les disséquant, ils les vendaient ensuite à un réseau criminel ils mouraient par la suite. Ils ont eu  un conflits et les terroristes en question les ont attaqués. »

Je suis bluffé par autant de blabla logique et qui semble réel grâce aux caméras de surveillances. Je suis choqué, j’allais leurs faire confiance. Shici, elle le savait ?

[…]

Elle m’a manipulé l’esprit et j’en rage. Elle qui disait qu’elle me comprenait..Tout n’est que mensonge.

- :« Je n’ai pas fini » commente t’il. Je le regarde froidement et il pense

- : ‘Voilà, pose moi la question.’ Il attend et je fulmine

« Allez-y, je vous écoute. »

- : « Jiu Wei né le **/**/**** à *****. Père :**** et Mère :****.

Qi inhabituellement très élevé\, habitation à **** dans le quartier *****. École à la maison et enfant humain […]

Voici toutes les informations que nous avons trouvés, surlignés dans le bureau du proviseur de ton école. » Ces phrases me brisent, il ajoute

- : « Pour vérifier si vous n’avez pas été un de leurs testes, nous aimerions que vous coopérer. On pourra vous laisser partir après. » Je hoche la tête.

Je mange ensuite, seul entouré de personnes costaudes et armées ;Leurs regards sont oppressants.

De retour dans ma chambre, installé un son crépite dans la lumière.

- : « Bonjour Jiu\, cette après-midi nous commençons nos échanges ; rendez-vous à 17 h dans la salle *** ».

C’est-à dire dans 2 minutes..je ne me prépare pas et file avec mécontentement dans les couloirs soudains vides.

« Suite »

J’arrive à la salle, à travers celle-ci se trouve une chaise avec de murs d’une blancheur trop lumineuse.

L’aspect du verre et des autres personnes séparés me bouleverse.

Je rentre donc dans cette pièce sans vie et pas chaleureuse. La porte se ferme et je suis seul.

Je vois les gens, ils sont loin; dehors.

- : « Test 1, 2. Vous nous entendez Jiu ? » Je n’apprécie pas comment il prononce mon prénom.

« Très bien. »

- : « Bien, nous allons débuter alors. Combien de temps avez-vous été en contact avec l’école de Gène. »

« Cela a été de courte durée dans cet établissement ; je dirai environ 1 semaine. » *

- : « Vous on t’il injecté quelque chose ? Ou vous avez mangé quelque

chose de bizarre ? »

Je continus dans ma tournée

« Non à ce que je me souvienne. »

- : « Quel genre de cours avez-vous suivi ? »

« Des cours de logique, de sport, d’anglais, d’histoire et de japonais.

Mais au dernier jour avant que je ne sois parti, ils nous ont fait un cour à l’infirmerie. »

- : « Pouvez-vous nous décrire comment c’était et qu’est-ce que vous avez faits ? »

J’allais répondre que des cercles magiques nous ont fait redevenir ‘normaux’ mais ces

informations sont beaucoup trop confidentielles. Je réponds directement pour ne pas être douteux.

« Eh bien, nous avons fermé les yeux pendant plusieurs secondes et ensuite pour ma part, j’ai vu des images qui sont arrivées dans mon esprit . Ils ont du les insérer dans mon cerveau. »

C’est la vérité, et j’en suis irrité ; ils m’ont trahis.

Ils réfléchirent en décrochant le micro qui était notre seul la seule chose qui nous liée.

Je n’entends pas ce qu’ils se racontent et le plus inquiétant est que leurs pensées n’existent pas.

Elles ne sont pas présentes. Je suis donc paralysé, pour la première fois depuis je suis ' né ', je perçois les pensées des gens. Je ne bouge plus et j’essaye et essaye encore de réussir. Troublé, je reprends mon sérieux.

- : « Continuons, tout à l’instant vous avez énoncé ‘nous’ ce qui signifie que vous étiez plusieurs, combien étiez-vous ? »

« Oui, il y avait plusieurs personnes, seulement des élèves. Ils devaient être 10. »

« Suite »

- : « Pouvez-vous nous dire comme ils étaient ou votre impression ? » Ils attendent avec impatience et je perds patience en jouant avec eux

« Mm..Non...Raah. »

je mime de faire. C’est vraiment hilarant de voir leurs têtes crispées.

- : « C’est important, souvenez-vous. »

« Je ne vois pas pourquoi cela est important ? »

- : « Ils pourraient s’agir d’un complot, toutes les informations que vous nous transmettez sont importante ; alors

s’il vous plaît répondez nous » me suppliant. Je ne remarque que maintenant mais ce n’est plus le même homme que tout à l’heure, c’est un scientifique.

Qu’est-ce qu’un scientifique fait-il dans une base militaire ? C’est louche.

Je reprends

« Très bien (je ne pose pas de question trop imprudente) Ils étaient plus vieux que moi. D’ailleurs, après ils m’ont tous regardés avec insistance. » Je donne trop de détails, mandouille ! Ce sont des alliés, ce sont des alliés ; fais leurs confiance.

Ils rangent leurs affaires et un autre ajoute

- : « Nous allons commencer les test ». Ce n’était pas des test, les questions ?

Mon esprit est trop embrouillé pour chercher quelques logiques que je me murmure

« J’ai faim. »

La chaise où je suis assis active des menottes à mes poignets et à mes chevilles.

Je gigote, paniqué; elles me serrent intensément.

- : « Test 1, test 1. Allumez la source. »

Je suis pris au piège, me rassure en me disant que c’est..Je n’ai pas le temps de synthétiser ma phrase qu’un courant électrique me parcours tout le corps.

Je hurle, ils continuent ; je hurle encore. Je crache du sang, je cris.

‘La roue infernale de douleurs’.

[…]

Plus un geste, je ne sens rien et le sol est rouge ; les menottes sont défoncées.

Mon visage est devenu blanc de fatigue. Je respire mais j’ai peur, peur qu’il y est encore ce fort courant qui me brutalise. Je regarde dans le vague, fatigué.

Un cône en métal apparaît où dessus, il y a une boite ; je me penche pour l’attraper et oublis les menottes qui me tiennent encore, je rage. J’arrive à proximité de la boite, l’attrape avec mes dents.

Un sachet, un sachet.

Je l’ouvre, ça tombe.

C’est crade mais je mange par terre comme un animal.

J’ai encore faim et j’ai froid sous le regard d’un point rouge qui clignote dans le noir de cette pièce.

La lumière du cône s’éteint et je fais face à l’obscurité, seul en sueur.

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