Chapitre 21 - Chapitre 22

Il maugréait

- : « C’est vrai, maître.. » Je révélai

« J’aime le théâtre, tu sais bien que je suis sarcastique. » Mon sourire s’élargit à nouveaux et il se retournait vers Maélia pour dire

- : « Il est comme ça mais en vérité, il ne pourra jamais me faire du mal. » Son amie le regardait bizarrement ; il

aurait une expression ? Laquelle, alors ? Ils discutèrent un peu dehors sur des troncs de bois, elle lui racontait comme elle avait survécu et j’ai décidé de les laisser.

J’allais vers un fleuve, à coté du cabanon, de l’autre coté on pouvait apercevoir un ancien chemin utilisé avant le virus. Encore et encore ma mémoire me rappelait ce lieu où j’ai grandi, où j’ai vécu. Je suis triste et abattus.

Je suis moi et j’enlève mon masque. Je regarde tant bien que mal mon reflet qui bouge ; je fixe la personne qui est

là. J’observe avec intensité désespéré la couleur de mes yeux. Une couleur qui est si désagréable. Elle me met mal à l’aise et elle me terrifie..Cette couleur me hante et me ronge. Alors je changea de point fixe et examinai mes cheveux cachés sous ma capuche ; de grosses masses de cheveux à l’intérieur. Soudain, j’entendais une branche casser. Je retournai la tête en oubliant mon masque ; Chent était là. C’est à cet instant précis que tout mon monde s’écroula en mille morceaux.

A t’il vu mon visage ? A t’il eu peur ?

Je tournai vite la tête en espérant qu’il ne m’avait pas vu et je remettais mon masque. Je tremblai

« Qu’est-ce qu’il y a Chent ? » Il bredouillait

- : « Je te cherchais... » Je me levai en un instant puis me retournai avec un air dépressif et assez tendu. Je marchai donc rapidement pour revenir à la cabane. Soudain Maélia sortait de nul part.

« Pas mal » remarquai-je. Elle annonçait décidé

- : « Toi ! Cardleuco. Je te demande de m’affronter dans un duel singulier ! » en pointant du doigts. Je souriais

« Quelles sont les règles ? » Elle répondait avec ambiguïté

- : « Les règles sont simples : tu dois me m’être K.O Tu ne dois pas me tuer (je ronchonnai mais écoutai en ricanant) Comme la différence de force est défiguré, tu seras pénalisé de te déplacer ou d’attaquer en premier. Le vainqueur aura droit à presque tout ce qui veut ! »

« Suite »

Je riais en souriant

« Très amusant ce jeux..Très bien, soit ! »

Chapitre 22

‘Le jeu’ commençait dés qu’elle attaquait, je regardai avec quel partit du corps elle allait me faire mal, j’étudiai son geste.

Elle va frapper avec la jambe droite et pied droit ! Elle cria en affirmant le coup tant attendu vers moi.

Cependant je lui prenais dans une vitesse toujours incroyable la jambe.

Donc j’arrêtai avec souplesse son coup.

Puis comme je l’attendais, elle réagit frénétiquement en m’envoyant un coup de poing à l’estomac c’est-alors que

j’esquivai en appliquant de lui prendre le bras.

Afin de la retourner en la plaquant par terre. Les mouvements d’aïkido était très pratique, je pouvais tordre son bras.

Elle résistais pour autant, elle m’assena

un coup de jambe. Je me dégageai en commentant

« Tu progresses même si je me retiens. » Mon masque d’origine de couleur noir devenait rouge.

Elle changeait de technique et choisit de me tourner autour pour m’attraper de

derrière

« Jamais derrière ! » rageai-je. Je lui assénai un coup qui la faisait tomber de plus belle. Elle essayait de se relever. Maélia se tenait là et cachait le sang qui coulait de ses cotes.

Elle me regardait avec espoir, un espoir si intense. L’amie de Chent ne voudra pas abandonner de si vite.

Je me retournai en annonçant

« J’abandonne, c’est bon. » Elle s’écroulait et je pressentais la rage en elle mais s’apaisait très vite en regrettant.

[…]

Un peu plus tard.

Je revenais vers la chambre où Chent la soignait. Elle discutait

- : « Il est si fort, c’est incroyable ; il a du travailler

ses techniques des années avant.. »

- : « Ah bon ? » avait questionné Chent. Elle avait répondu

- : « Ses coups étaient de d'aïkido et sa souplesse pour esquiver  est incroyable ! Pourtant cela me fournit assez d’espoir pour continuer à apprendre. A devenir plus forte pour un jour rivaliser avec lui. » Je souriais un peu et Chent disait sagement

- : « Même les plus forts ont des faiblesses. » Il se passait un long silence avant que Maélia ne défonce cet air. Je

me retirai de la scène et les laissèrent encore discuter de leurs temps perdus comme..Comment on dit déjà..un couple ?

[...]

« Suite »

Tandis que j’étais sur une bûche entrain d’étudier les arbres en me rappelant tous leurs noms, Maélia s’approchait de moi et informait avec conviction

- : « Comme j’ai gagné vous me devez un souhait ! Je veux que vous soyez mon maître ! » Chent était là et choqué. Je disais directement et simplement

« Je refuse. » Elle faisait les gros yeux et Chent était encore

plus abasourdi. Je continuai

« Dans le protocole N°6, je ne peux pas prendre un deuxième apprenti à part si finis la formation du premier c’est-à dire Chent. De plus, maintenant que nous sommes ici ; cela nous mettrait 2 ou 3 mois pour rejoindre le repère où l’assemble les spirit, je devrais encore attendre 1 mois pour que tu finisses ta vraie formation et que

tu sois vraiment mon apprenti Maélia. Dans le protocole N°78 je peux refuser de prendre en charge le nouveau

venu. » Je me retournai et allai vers la cabane.

Je faisais un large sourire de réussite. De pur égocentrisme, de pouvoir. Je ressortais ma cruauté dans mes yeux de démons et de mon rire machiavélique et allais dehors.

- : « STOP ! » entendais-je crier. Je me retournai, courrais vers le bruit.

Je voyais avec surprise Chent à terre et Maélia qui était dans la même posture que la fille marine ; la même scène ; la même réticence de Chent et la même rage qui s’imprégnait en moi comme un virus.

Il répétait

- : « J’ai dit stop ! » Maélia ne bougeait pas d’un pouce. Il chamboulait

- : « J’ai déjà rejeté tes avances et j’ai voulu être amical..mais là c’est trop ! Tu as dépassé mes limites. »

Il l’a poussé d’un geste brusque. Il se levait et reculait sans trop me remarquer. Elle pleurait

- : « Il faut bien avoir une chance d’avoir une chance à deux. Juste toi et moi, tu pourras continuer à suivre l’enseignement de Cardleuco bien entendu ; (Je ne commentai pas). Une simple vie, quoi. » Il révélait froidement

- : « Ça à l’air agréable, crois moi mais je ne veux pas partager cette vie avec toi. Je préfère.. » Elle le coupait

- : « Mais tu ne peux pas rester seul ! Tu ne vas continuer à être au près de Cardleuco ! »

‘Elle me mêle beaucoup trop à leurs histoires’ m’énervais-je. Il

commentait

- : « Et alors ? Si, c’est vrai ? Tu n’en sais strique-ment rien à ce que je sache ! »

- : « Mais il n’y a personne avec qui tu veux rester et partager ton foyer ? Créer quelques choses ? » souciait-elle

en parlant de sexe.

- : « J’ai déjà quelqu’un » avouait-il.

« Suite »

Elle grondait

- : « Je le savais ! Tu as changé ! Tu es.. » Elle me regardait du coin de l’œil en colère.

Elle était choqué par sa conclusion puis elle partait en lui tournant le dos. Elle ne reviendra pas.

Je me retournai en laissant Chent pour qu’il puisse réfléchir.

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