Chapitre 9 - Chapitre 10 - Chapitre 11

- : « Où est-ce qu’on va ? » remarquait-t ’il en chemin. Nous avions passé maintenant des dizaines de plaines et de champs, en ce moment même nous sommes dans une foret d’immenses montagnes et orangés. Des énormes roches de toutes sortes nous faisait face avec ces gigantesques arbres plus haut que des immeubles. Ce sont celles qui nous dominent. Je répondais

« Je t’emmène à Nicara pour que les Or te marque notre symbole pour que tu sois aussi mon apprenti. » Il était intrigué d’entendre de ce que c’était les ‘Or’ et il croyait qu’il était déjà mon apprenti. Je prenais mon souffle et expliquai

« Les Or sont comment dire les chefs des spirits, ils sont souvent des scientifiques expérimentés encore vivants du virus. » Il me coupait

- : « Tu en fais parti ? Car je trouve que ta culture en biologie est extraordinaire ! » Je lui répondais farouchement

« Non...enfin

[…]

Moi je fais parti des ‘13’ qui sont des grands et spécialiste

spirits en collaboration avec les Or.. » Il m’interrompait

encore, je grognai

« Je finis ! Enfin, moi j’ai approuvé que tu sois mon apprenti

mais pour autant, on embauche pas , n’importe qui pour la sécurité

si tu collabore avec les traqueurs. » Il maugréait

- : « Mais tu sais très bien que je ne suis pas un traqueurs. »

« Je sais, je te fais confiance ! » allégeai-je.

Chapitre 10

Il ne disait plus rien, il fixait le paysage avec un regard absent. Un faucon tournait dans les aires, la

terre était brune et quelques sapins avaient des épines orange-rouge. Le ciel, lui était bleu éclaircit qui rajoute

l’irréel déchu.  Il dit d’un ton lucide

- : « Le monde est cruel..Il nous oblige à nous entre-tuer, à verser du sang..Je ne reconnais plus rien, rien n’est pareil. On a peur alors que l’on dominait la nature. Une nation a été détruite mais qui sommes nous maintenant ? » Puis il reprenait son air enjoué et demandait

- : « Et toi ? Qui es-tu ?(Il dit d’un ton noir) on ne

s’entre-tuera jamais, hein ? » Je laissai un blanc puis

je sifflai sans grande conviction

« J’approuve l’idée du monde apocalyptique mais la nature a un droit, elle est juste revenue se venger comme en 21 avec le Covid, elle a renouvelée en puissance. Tout a changer ? Non il faut toujours tuer pour vivre. Mais qui je suis ? Une question que ne peux répondre car je ne sais plus moi-même. » On finit de discuter dans une

atmosphère chaude et chaotique.

Chapitre 11

Cela faisait 3 jours que nous avions quitté le pied de la falaise et notre nourriture manquait de plus nous puons. Chent allégeait

- : « Pourquoi vous portez quand vous dormez ? » Je

chuchotai

« Ceci ne te concerne pas. » Il continuait avec des questions bizarre comme

- : « Pourquoi vous n’avez pas voulu vous baigner pour vous

doucher ? Vous préférez peut-être seul ? » Je disais sans conviction

« Oui, oui c’est ça… » ‘ Il m’agace celui là’ ...me commentai-je.

« On arrive », nous arrivions devant une énorme grotte construite

dans la pierre de la falaise.

« Voilà, nous sommes arrivés ; attention ils pourront être un peu agressif. Mets cette veste et reste derrière moi. » On se dirigeait donc vers ce lieu, un garde immense nous faisait face devant l’entrée. Quand il aperçut Chent derrière moi, il chargeait son arme. J’annonçai

« Tu dois me reconnaître, Maasha. Je suis Cardleuco, numéro de matricule : 0162022. Mot de passe :

Spirit Ward actuel du **/**/**** » Je lui montrai le logo et ajoutai

« Sujet de venu exceptionnel : embauchement apprenti. » Il n’exprime aucune émotion et se décolla pour nous laisser passer dans le refuge. C’était un énorme domaine et magnifique de pierres comblées et tassées.

Énormément de personnes étaient rassemblées. Un grand homme avec des lunettes parlait. Je murmurai

« Tu vois l’homme sur cette place ? C’est un des juges que tu vas devoir impressionner pour t’intégrer dans nos rangs et il se nomme U4 » Il écoutait maintenant ce que disait U4

- : « Je sais que vous êtes nouveaux, je sais que vous êtes très jeunes, je sais vous avez sûrement vécu des choses horribles, je sais bien que vous voulez réussir mais n’y croyez pas trop. (Tous les jeunes en cette instant furent ébahis et en colère) Ils faudra de la persévérance, de la force, de l’intelligence, d’être sociable. Toutes ces qualités doivent être remplis sans un discernement ! Vous n’êtes que des fillettes et mauviettes qui chialent d’avoir perdu leurs proches ou quoi que ce soit ; on a tous une histoire a raconter mais il faudra dépasser vos espérances, vos limites pour être admis dans nos rangs… »

[…]

Je me dis que c’était le même discours prononcé que la dernière fois. Cela m’a fatigué d’entendre celui-ci, j’ai sommeil. Thomas était à mes cotés et commentait

- : « C’est le même discours, non ? Pas fatigué ? »

« Suite »

Je grognai

« Si, si Thomas (je baillai) Oui, je n’en peux plus. J’ai besoin d’une

douche. »

- : « Tu veux que je t’accompagne ? »

« Non » ronchonnai-je. Puis je la vis, cela me fais encore un chamboulement ; cette personne..Mais je n’ai plus de sentiment pour lui, c’est bizarre. Xya était fort loin de moi, il était accompagné par la remarquable Échec qui a tout mon respect.

Elle a tué énormément de traqueurs, son combat est sans pareil ; elle sait manier toutes les armes et sa tactique de perception est incroyable, de plus elle est belle et elle a une grande confiance en elle. Sa tignasse rousse comme le feux et ses yeux aussi perçant qu’un aigle se remarque très vite. Elle avait avec elle un inconnu, frémissant qui était sûrement son apprenti. Xya, lui

[…]

Comment le décrire ? Avant je l’aurai dit beau-gosse, héroïque, intelligent, surprenant et distant. Mais c’est finit, je le trouve plutôt ; oui avec du charme, intelligent et sympathique mais surtout il a pas de pitié.

Je me retournai en lui tournant le dos. Je me cognai contre un torse en commentant

« Hey, fais attention ». Chent s’accroupit vers moi et demandait

- : « Ça va, maître ? » Il m’aidait à me relever, la personne qui m’avait fait tomber , grognait

- : « Tu as intérêt à t’excuser, crevette. » C’était un grand homme avec des tas de tatouages aux visages et avec un

regard mauvais. Je sifflai en l’ignorant

« Merci Chent, ça va aller. » L’homme crachait

- : « Hey crevette ne me fais pas répéter ! » Je

ronchonnai

« De qui traites-tu de crevette ? »

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