Nourriture et intrusions.

Le Repas (Nourrir son Oméga)**

*(La cuisine est baignée de soleil, Hazel porte seulement un bas de pyjama, ses marques de griffures encore rouges sur le torse. Enzo, enveloppé dans le peignoir de Hazel (*trop grand pour lui*), s’affale sur une chaise, *les jambes molles*.)*

L’odeur* du *chocolat chaud* (Hazel y a ajouté de la *cannelle*, *comme le parfum d’Enzo*).

- *Le bruit* des *œufs qui crépitent* dans la poêle, *le bacon grillé*.

- *Les mains* de Hazel, *habiles*, *versent le jus d’orange frais* – *sans pulpe*, *comme Enzo l’aime*.

Enzo *renifle* l’air, *les yeux mi-clos*. *"Tu cuisines *maintenant* ?"*

Hazel *sourit*, *posant une assiette devant lui* – *œufs brouillés, toasts beurrés, fruits coupés en cœur*. *"Faut te refaire des forces."* Un regard *appuyé*. *"J’ai *encore* des plans pour toi."*

Enzo *rougit*, *mais attrape la fourchette*. *"T’es…"*

*"Génial ? Oui, je sais."*

*(La sonnette retentit *trois fois* – *insistante*. Hazel *grogne*, *jetant un coup d’œil par le judas*.)*

**Le Voisin :**

- *Lucas*, *beta*, *25 ans*, *l’appartement d’à côté*.

- *Ses yeux s’écarquillent* en voyant Hazel *torse nu*, *les marques de griffures bien visibles*.

*"Putain, Hazel…"* *Il baisse la voix*. *"T’as *défoncé* quelqu’un ou c’est un accident de bricolage ?"*

Hazel *bloque la porte*, *un sourcil levé*. *"Qu’est-ce que tu veux ?"*

*"Rien, juste…"* *Lucas jette un regard *par-dessus son épaule*, *vers la cuisine où Enzo mange*. *"Ah. *C’est lui* le type que t’as *marqué* hier soir. Tout l’étage a entendu."*

- *Hazel* : *Les épaules se raidissent*, *les phéromones *piquantes* (défense). *"T’as un problème ?"*

- *Enzo* : *La fourchette *claque* contre l’assiette, *les oreilles écarlates*.

- *Lucas* : *Recule*, *les mains en l’air*. *"Non, non ! Juste…"* *Un sourire gêné*. *"Félicitations ?"*

Hazel *claque la porte*.

- *Hazel* : *Les épaules se raidissent*, *les phéromones *piquantes* (défense). *"T’as un problème ?"*

- *Enzo* : *La fourchette *claque* contre l’assiette, *les oreilles écarlates*.

- *Lucas* : *Recule*, *les mains en l’air*. *"Non, non ! Juste…"* *Un sourire gêné*. *"Félicitations ?"*

Hazel *claque la porte*.

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Enzo *a enfoui son visage dans ses mains*. *"Je peux *mourir* maintenant ?"*

Hazel *revient vers lui*, *attirant sa chaise contre la sienne*. *"Non. Parce que *moi* je veux t’entendre crier mon nom *encore* ce soir."* *Un baiser *volé* sur ses doigts qui cachent son visage*.

*"T’es *impossible*."*

*"Et t’es *à moi*."* Hazel *lui tend une bouchée de toast*. *"Mange. Faut que tu reprennes des forces."*

Enzo *obéit*, *rougissant*, *mais incapable de cacher son petit sourire*.

Lorsque cette semaine d’union intense prit fin, le monde extérieur reprit lentement ses droits, mais rien ne serait plus jamais pareil. Hazel et Enzo, forts de cette expérience, reprirent leur quotidien, le regard empli de la certitude que leur lien venait d’être scellé d’une manière irréversible.

Hazel continua d’exercer son métier, mais désormais, chaque projet, chaque création, portait en lui l’empreinte de cette passion et de cette protection qu’il avait juré à Enzo. Quant à Enzo, dans son restaurant, il y avait désormais cette marque, ce symbole indélébile sur sa peau et dans son cœur, rappel constant qu’il n’était plus seul, qu’il appartenait à quelqu’un qui le chérissait et le protégeait.

Ce chapitre de leur vie devint le fondement d’un amour inébranlable, mêlé de douceur et de force, où chaque épreuve passée renforçait leur détermination à marcher ensemble vers un futur commun, envers et contre tout.

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