La fusion des âmes.

Au fil des mois, Hazel et Enzo avaient trouvé un rythme commun. Entre le travail de Hazel dans son entreprise d’architecture, aux lignes épurées et aux projets ambitieux, et la gestion méticuleuse du restaurant d’Enzo, leurs journées étaient rythmées par des réunions, des dîners tardifs et des instants volés à la routine. Pourtant, malgré cette vie active et structurée, une tension brûlante continuait d’opérer en arrière-plan, une force sauvage prête à éclater à tout moment.

Hazel avait appris à canaliser ses émotions, mais une part de lui restait irrésistiblement guidée par ses instincts primaires. Tandis qu’il présentait ses projets, qu’il signait des contrats ou qu’il échangeait avec ses collaborateurs, une agitation intérieure grondait. Cette agitation se nourrissait du désir, du manque, et surtout de l’image d’Enzo, toujours présent dans ses pensées.

Un jour, alors qu’un important chantier venait d’être finalisé, Hazel ressentit en lui un bouleversement inattendu. Ce fut comme une montée de chaleur incontrôlée, un appel viscéral qui le submergea. Dans le feu de l’action, dans le tumulte d’une réunion qui s’étirait, il sentit soudain ses phéromones se libérer en une déferlante irrésistible, une fragrance enivrante mêlée de pêche juteuse et de magnolia s’échappant de lui de manière incontrôlée.

Il tenta de se ressaisir, de contenir l’explosion, mais la puissance du rut le dominait désormais. Chaque fibre de son être vibrait d’un désir primitif, le poussant à fuir l’agitation du bureau pour rejoindre l’unique ancre de sa stabilité : Enzo.

La Perte de Contrôle (Début du Rut)

Hazel revint du travail *les cheveux en bataille*, *les pupilles dilatées*. Son parfum de *pêche et magnolia* avait tourné à l’*alcool brûlant*, *âcre et enivrant*. Enzo n’eut même pas le temps de parler qu’il fut *cloué au mur*, *les lèvres de Hazel écrasées sur les siennes*.

*« Je peux plus… penser »*, grogna l’alpha contre sa bouche, *ses mains déchirant littéralement le col de la chemise d’Enzo*. Le tissu *craqua* sous la pression.

Hazel plaqua Enzo contre le matelas, *ses mains brûlantes encerclant ses poignets*. Un doigt *enduit de lubrifiant froid* traça des cercles *torturants* autour de son entrée, *sans pénétrer*.

*"Tu trembles..."*, murmura Hazel, *sa voix rauque chargée de désir*. *"C’est si effrayant que ça ?"*

Enzo secoua la tête, *les paupières papillonnantes*. *"J’ai juste... jamais ressenti ça avant."*

Le premier doigt *s’enfonça lentement*, *brûlant comme la braise*. Hazel *le tordit délicatement*, *cherchant*—

*"HAZEL !"* Enzo *se cambra*, *un jet de pré-éjaculats tachant son ventre*. *"Là... c’est là !"*

Hazel *sourit*, *ajoutant un second doigt*. *"Je sais."*

*« T’es pas assez ouvert… »* murmura-t-il, *enfonçant d’un coup* les premières phalanges.

Enzo *hurla*, *les muscles se contractant autour des doigts* qui *scintillaient de lubrifiant naturel*. Hazel *les tordit*, *cherchant la petite zone spongieuse* qui fit *sursauter* Enzo. *« Là… »* Il sourit, *ajoutant un troisième doigt*, *les articulations étirant le muscle avec une précision sadique*.

- **La Douleur-Désir** :

Enzo *griffa les draps*, *les larmes aux yeux*. *« J’ai… mal… »*

Hazel *pencha son front contre le sien*, *haletant*. *« Je sais. Mais tu me fais confiance, n’est-ce pas ? »*

Quand Hazel *aligna son sexe*, *le gland seul força l’entrée*, *étirant le muscle au-delà du possible*.

Hazel *gela*, *les veines saillantes sur son front*. *"Dis 'stop' et j’arrête."*

Un silence. Puis Enzo *secoua la tête*, *les larmes coulant sur ses tempes*. *"...Continue."*

Hazel *poussa*, *centimètre par centimètre*, *jusqu’à ce que leurs hanches se touchent*. Enzo *haletait*, *les yeux révulsés*, *incapable de penser*.

*"Tu me prends tout entier..."*, murmura Hazel, *transpercé par la chaleur étouffante d’Enzo*.

Chaque poussée était *une brûlure divine* :

- *Les veines* de Hazel *raclaient les parois internes*, *envoyant des éclairs de plaisir* le long de l’échine d’Enzo.

- *Le pré-éjaculat* *brûlant* *ruisselait en lui*, *créant un lubrifiant vivant*.

- *Les hanches* de Hazel *claquant contre ses fesses* à chaque *poussée profonde*.

*« T’es… si… serré… »* Hazel *gronda*, *les canines descendues*, *la mâchoire crispée*.

Hazel *se retira presque complètement*, *laissant le vide torturer Enzo*, avant de *claquer* à nouveau en lui. *"T’es si serré... comme si ton corps était fait pour moi."*

Chaque *coup de reins* était calculé :

- *Profond* : Le gland *frottait cette petite zone* qui faisait *déborder* Enzo de larmes.

- *Rapide* : Les *hanches* de Hazel *martelaient* ses fesses, *la chaleur se propageant* dans son ventre.

- *Circulaire* : Il *roulait les hanches*, *faisant tournoyer son sexe en lui*.

Enzo *n’était plus qu’un tas de sensations* :

- *La douleur* de l’étirement.

- *Le plaisir* qui *montait*, *inexorable*.

- *L’odeur* de Hazel, *envahissant ses poumons*.

*"Je... Je vais..."*, *bégaya-t-il*, *perdu dans le tourbillon*.

Hazel *pencha son front contre le sien*. *"Lâche prise. Je te tiens."*

Quand Hazel *sentit Enzo se contracter*, il attrapa la nuque d’Enzo *plongea ses dents dans sa glande*, *liant leurs âmes*.

Enzo *explosa*, *son sperme jaillissant entre eux*, *son corps secoué de spasmes incontrôlables*. Hazel *le suivit*, *remplissant Enzo de chaleur*, *leurs phéromones fusionnant en une tempête*.

*"À moi... pour l’éternité"*, *grogna Hazel*, *les lèvres encore collées à sa peau*.

IL EST À MOI POUR L'ÉTERNITÉ.

MON COMPAGNON

POUR LA VIE....

MON OMÉGA

Leurs essences *fusionnèrent* en une

*tempête* :

• *Cannelle* et *pêche* → *caramel

flambé*.

• *Ambre* et *magnolia* → *encens sauvage*.

Enzo *vibrait*

* *son propre orgasme