Dans l'auberge l'atmosphère à quelques choses de bizarre, je dirais que ces brigands sont totalement calmes jusqu'à rendre l'atmosphère détendue. Je les imaginais bagarreurs et sans foi ni loi, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il soit tous assis à boire et à papoter tranquillement.
Kefors est une ville peut fréquenter par les gens de la noblesse, pas assez sophistiqué ou luxueux pour leur culotte de petit noble capricieux, alors que cette ville a bien des coins luxuriants. Ces débauchés sont bien plus vulgaires que ses pauvres brigands attablés, il faut voir les immenses soirées qu'ils organisent et leur manière qui reste à désiré. Si nous devions comparer certains nobles à ces bandits, je les mettrais sur un piédestal, car tout deux vole et dépouille.
Mon pouls s'agite lorsque mon maître pénètre l'espace chambre le torse nu et dégoulinant signe qu'il venait de prendre son bain. J'évite de trop laisser mes yeux trainer de peur de le froissé en violent son intimité, même si celui-ci n'a presque aucune pudeur.
- Keith
- Oui maître, je sursaute à la soudaine appellation.
Il claque la langue et secoue la tête, désapprouvant quelques choses que je ne réussis pas a capté ou qui m'a peut-être échappé. Je me reprends vite fait, réalisant qu'encore une fois j'ai mis commis l'erreur qui peut nous être fatale.
- Il faut qu'on vérifie la maison des "papillon éternel".
- La maison close la plus réputé de la ville ? je l'interroge.
- Celui-ci est placé à trois maison de la taverne qu'on a visité hier, il nous faut à tout prix y jetter un coup d'œil.
- Attendez ! mais pourquoi irait il dans un endroit où il risque de se faire reconnaître.
- Non tu as faux, il me regarde un rictus aux lèvres.
Je le fixe dans l'incompréhension attendant qu'il continue sa tirade, justifiant le fait que j'ai faux selon lui.
- Il ne se risquerait jamais dans un endroit peu bondé, car là, oui il aurait des chances de se faire reconnaître, mais dans un endroit bondé où personne n'a le temps de s'occuper des affaires de son voisin, il pourrait se fondre dans la masse comme un caméléon. La chance que les courtisanes le reconnaisse ne sont pas bien grande, puisque beaucoup d'entre elle n'ont jamais quitté Kefors, rare sont celles qui viennent d'aecia, c'est une petite ville plus ou moins prospère.
- Et comment comptez-vous rentrer au papillon éternel ?
- Si elle est la plus grande maison close de la ville ce n'est pas pour rien, c'est qu'il y a pour tous les goûts là-bas.
Mon cœur loupe un battement en comprenant le sens de ses mots.
À la tombée de la nuit, nous pénétrons l'enceinte de la maison close. Tout de suite ordre de demoiselle en tenue gênante nous accoste, proposant de passer la meilleure nuit de notre vie en leur compagnie, certaine ne se gêne même pas pour nous toucher ouvertement. Mais elles se font chasser bien vite par une femme beaucoup plus habillée qu'elle, et à sa façon je devine qu'elle doit être la responsable ou la propriétaire.
...****************...
- Pourquoi ne m'as-tu pas dits que tu venais ?
Depuis bientôt une heure, je regarde mon maître conversez avec la femme de plus tôt. Celle-ci se fait d'ailleurs appeler Léa, elle est responsable de toutes les filles, c'est-à-dire les formées et les apprendre à utiliser leur charme pour faire plaisir à la gent masculine.
- As-tu accueilli un client particulier la semaine dernière ?
Je vois son visage blêmir d'un seul coup à la question de mon maître, celle ci commence dès lors à balbutier des truques incompréhensible, je crois qu'elle risque de faire une attaque. Je lance à mon maître un regard pour voir sa réaction, mais son visage neutre m'empêche de savoir ce à quoi il pense.
- Je vais faire plus claire le client que tu as reçu il y a bien maintenant presque quinze jours... Il laisse sa dernière phrase en suspension dans l'air analysant le visage de la femme, celui-ci toujours autant pâle.
- Je-je ne peux pas vous en parler, elle dit des sanglots dans la voix, de ses yeux me suppliants d'en dissuader mon maître de posé plus de question.
- Léa il faut nous dire ce que tu sais, une vie est peut être en danger en ce moment, j'interviens.
- Ok il y a environ treize jours un homme est venu, il était accompagné d'un autre homme il a pris une chambre et a passé la nuit avec Nirva l'une de nos filles, il est resté ici deux jours, il est ensuite reparti et est revenu lui et son compagnon. quatre jours plus tard un autre client qui se démarquait du lot comme ses deux là est venu, il a demandé une chambre, mais n'a pas pris de fille, celui-ci portait d'ailleurs une chevalière bleu à son index. Je ne les ai plus revu après la soirée qu'ils ont passé à la taverne clair de lune...
- Et pourquoi refusais-tu de nous en parler ?
- Ce n'est pas aussi simple que vous le pensez, il y a maintenant trois jours un homme est venu et m'a fait juré de me taire...
Elle s'arrête au beau milieu de son monologue sans que l'on ne comprenne pourquoi, elle écarquilles les yeux en se tenant le cou pendant que je lance à mon maître un regard d'incompréhension. Brusquement je me fais plaquer sur au sol par mon maître tout en déposant sa main sur mes lèvres.
- Shut, il m'intime de faire silence alors que son visage n'est qu'à quelque centimètre du mien.
Des bruits de pas se font entendre dans la pièce, la personne semble fouiller le placard que j'avais eu le temps de voir plus tôt, qui contient des documents. Ses yeux ne quittent pas les miens alors que les pas se rapproche de nous.
Soudain la personne s'arrête, j'ecarquille les yeux lorsque les siens captes les miens et dans un mouvement fluide mon maître évite de justesse la lame de l'homme masqué, mais ma cuisse lui est en sang. Il charge vers mon maître voulant à tout pris l'atteindre, celui ci l'évite et ce saisit du fer qui était dans la cheminée, dans un mouvement bien contrôlé il abat son arme de fortune sur les jointures de l'homme. L'arme de l'assaillant tombe sous la douleur de la brûlure causé par le fer chauffé. S'en suit ensuite un combat à main nu. Je le vois profiter pour sortir une petite lame de sa poche quand l'attention de mon maître se porte légèrement sur moi, un vase posé à côté de moi attire mon attention, faisant abstraction de la douleur je le brise contre le crâne de l'assaillant qui s'écroule sur le sol.
Je m'écroule sur le sol fatigué une fois l'adrénaline redescendu.
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Comments
Dōri
Wesh j'suis vraiment pas doué en scène de combat 😂
2024-03-15
4