Chapitre 8(Ce qui n'a pas été dit)

Attention, ce chapitre contient une scène légèrement innaproprié ne pouvant contenir à tout le public. Si cela, vous met mal à l'aise, alors s'il vous plait passer dirrectement à l'autre chapitre

(vous ne manquez rien, j'ai ramener un bout du texte du Chapitre 8 et y ai rajouté la scène)

et ne pas reporter s'il vous plait. La censure ne devrait pas avoir de place pour les livres, ou pas pour ça en tout cas. Merci et bonne lecture!

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Après un délicieux ragout de gibier, lui et moi sommes aller nous coucher. Nous ne pouvions pas s'offrir deux chambres, mais ça nous était égal. Nous dormions dans la même chambre enfant et nous n'étions pas gènés de recommencer. Il m'a prit et m'a jeté sur le lit avant même que je puisse observer la petite pièce démunit d'un foyer fonctionnel. Il se pencha sur moi en m'abrillant et s'allongea à mes côtés sous sa forme de loup. Il était tout chaud, c'était rassurant. Alors que nous nous collions l'un contre l'autre autant pour la chaleur que le simple fait d'être à nouveau ensemble, la neige battait les fenêtres et le bâtiment tremblait.

Mais la fenêtre ne tremblait pas seule. Il avait repris sa forme humanoïde et me carressait doucement la joue. Puis sa main desscendit vers mon chemisier, qu'il détacha lentement, me touchant encore de l'autre main. Il me caressait doucement, son nez entre mes seins, ses désirs l'emportant sur le devoir. Il colla son bassin sur moi, je l'ai senti. Il voulais tout de moi, et je voulais tout de lui. J'ai détaché son pantalon, toujours sous lui alors que sa main relevait doucement et impatiemment ma jupe. Il colla doucement son membre sur ma peau, près de mon sexe. Je n'avais jamais désiré auparavant, mais je commençais à regreter cette bienséance et cette innoncence enseignée aux jeunes filles. Certe, je savais plus de chose que certaines autres filles, mais tandis que ses coups de reins devenaient plus rapide et dur sur ma peau, que sa respiration s'accèlerait et que ma voix se perdait dans les vents de la tempête, l'amour qui brûlait entre nous et nous arrachait nos jouirs me démontrait que mes enseignements étaient censurés.

Nous sommes restés éveillé, en silence, sa main dans ma main. Il me regardait doucement, ses doux yeux étaient rassurants. Il était rassurant.

 Puis il est passé dans mon esprit. Laniel. Comme une prémonition, ou un souvenir, je le voyais souffrir, ses ailes fraichement arrachées, et puis je voyais toutes les autres fées. Elles souffraient aussi. J'ai chassé cette vision de mon esprit, mais je savais ce qu'elle représentait. Nous devions agir plus rapidement que les autres royaumes. Nous devions nous rendre à Nordica. 

Nous nous sommes levés très tôt le matin, reprenant la route à cheval. Nous en avions acheté, nos économies s'affaiblissaient. Nous allions devoir travailler quelques temps pour assurer notre survie. Nous étions assé près de la cité pour y arriver en après-midi. Alors nous avons galopé longtemps en suivant la grande route, seule moyen d'accéder aux portes de la cité du Nord. Nous sommes arrivés un peu après l'heure du thé et nous nous sommes tout de suite mis en quête d'une auberge bon marché, nos chevaux ayant ammaigrient notre bourse. Nous en avons trouvé une, au coût de deux nuits. Nous allions réellement devoir se trouver un job et rapidement

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