Chapitre 13

Ils chantent une belle mélodie "鬼は外 ! 福は 内 !"en mangeant une drôle de nourriture rouge-violacé et des lumières scintillantes de tout part.Elles brillent dans le ciel sombre et coquin.

Leurs larmes s'écoulent dans le désert du ciel et brillent comme des fleurs ou encore comme le feu sanglant.

Des gens me poussent, époustouflés par ce spectacle brillant et magique.Je ne reste que troublé et fixe les prestations dans le ciel.Les guirlandes jaunes et d'or se lèvent à l'arrivée du vent faisant office d'une douce mélodie et les vendeurs regardent avec béatitude le ciel trouble et lunaire.

Les gens m'attirent et m'amènent au plus proche de ce spectacle. Je ne les repousse pas et oublis un instant mes vies terribles et ensanglantées. Ils appellent mon nom et nous oublions les soucis du passé.

Les yeux rivés vers ce batême, je suis troublé ;je me retourne et vois les gens sous leurs plus beaux jours.Un long temps les figures et décide de marcher à travers eux sans bruits.Les sons du bombardements continuent lentement et je sens une présence s'accrochant à mes semelles.

Je regarde les articles qui sont vendus d'un marchand et me gèle soudain, des enfants jouant avec mes masques mémorables.

Le marchant en porte un autre de couleur bleue et une étrange orge apparaît derrière lui.

Il m'observe et crie en me fonçant dessus.Je saute et il court en m'ignorant vers les autres maisons pour brayer et emporte avec lui des ténèbres étranges.Je me distingue autour de moi pleins d'anciennes créatures mythiques et passe à travers humains et maisons en soufflant, jouant des tours et grignotant offrandes et péchés.

Beaucoup de ces individus me semblent et ressemblent, eux aussi des yeux uniques rapprochés, des cheveux de couleurs et des bouches remplient de crocs mais elles sont toutes des femmes.

Certains sont devenus des animaux sauvages, ressemblant aux renards couleurs jaunes ou marron.Je me retourne ne faisant pas attention, croyant ne pas être le seul à les voir, quelques uns se figent des fois pour m'examiner et repartent dans leurs vadrouilles en ne posant aucune question.Les enfants les traversent mais moi, ils me touchent et me frôlent amèrement.

Beaucoup de ces individus me ressemblent et ressemblent, eux aussi des yeux uniques rapprochés, des cheveux de couleurs et des bouches remplient de crocs mais elles sont toutes des femmes.Certains sont devenus des animaux sauvages, ressemblant aux renards couleurs jaunes ou marron.

Je me retourne ne faisant pas attention, croyant ne pas être le seul à les voir, quelques uns se figent des fois pour m'examiner et repartent dans leurs vadrouilles en ne posant aucune question.

Les enfants les traversent mais moi, ils me touchent et me frôlent amèrement.Beaucoup de ces individus me semblent similaires et tiennent, eux aussi des yeux uniques rapprochés, des cheveux de couleurs et des bouches remplient de crocs mais elles sont toutes des femmes.

Certains sont devenus des animaux sauvages, ressemblant aux renards couleurs jaunes ou marron.Je me retourne ne faisant pas attention, croyant ne pas être le seul à les voir, quelques uns se figent des fois pour m'examiner et repartent dans leurs vadrouilles en ne ne posant aucune question.

Les enfants les traversent mais moi, ils me touchent et me frôlent amèrement.Je me retourne ne faisant pas attention, croyant ne pas être le seul à les voir, quelques uns se figent des fois pour m'examiner et repartent dans leurs vadrouilles en ne ne posant aucune question.

Les enfants les traversent mais moi, ils me touchent et me frôlent amèrement.

Je me retourne ne faisant pas attention, croyant ne pas être le seul à les voir, quelques uns se figent des fois pour m'examiner et repartent dans leurs vadrouilles en ne posant aucune question. Les enfants les traversent mais moi, ils me touchent et me frolent amèrement.

    Je reviens vers ces masques.

Ils sont tous de couleurs rouges et blanches, mais seul un masque a été peint en noir et rouge. Unique comme il est, il est rempli de bleu et de rouge sang brillant ; je le dévisage maladroitement et ose avancer ma main vers cet objet que je n'avais pas touché depuis des années.

Mon doigt le frôle et une chose gronde dans mon être ou dans mon âme. J'y apporte un doigt et soudain, je sens une énergie démesurante remplir mes sens et me plonger dans de profonds souvenirs douloureux.

Mes dents s'allongent et une drôle de lumière émane de mon corps, je grandis sauvagement et mes cris silencieux s'intensifient dans ma conscience.

Des poils débordent de mes fesses, poussent m'entourant de tout part et mes ongles deviennent des couteaux rouges.Des minuscules billes colorées s'ajustent sur mon torse et forment avec magie un collier.Mes cheveux s'affirment gris, blanc et ma vision devient plus performante.

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