CHAPITRE 8 : souvenirs et rancœur

Moi : noah....

Noah : ....riley

Une inquiétude mélanger a umde la haine se plonge en mon cœur, qu'est-ce-que cette homme fait ici.

Moi : uhm comment vous vous êtes blessé ?

Noah : en a fermer la porte sur la main.

Je lui mets un garo au tour de son bras pour stopper le sang.

Moi : bien ça va faire mal.

Noah : faite vite

Moi : je vais y aller tout doucement pour ne pas vous arracher le bras

J me demande sivje suis la seul surprise, bouleversé ? J'ai l'impression que mon cœur va quitté ma cage thoracique. Mon dieu je me rappelle mes 15ans...mes 16ans mes...17ans

Le jour où on s'est embrassé pour la première fois sans être forcé ou juste "pour me taire". La fois où on a coucher ensemble a mes 16ans. La fois où il l'a dit qu'il m'aime. tout c souvenir re font surface, mais je n'est pas envie d'etre Amicale avec lui.

Il reste muet tandis que je transperce ça peau avec mon aiguille.

Moi : tenez encore un peu.

Il ne répondis pas se contenter de se mordre la lèvres. Je levés les yeux vers lui voyant que son regard et poser sur moi. Putain c yeux oceon que ça m'avait manqué.

Moi : tu compte...faire comme si de rien n'était.

Noah : de quoi tu parle.

Moi : nous deux

Noah : quel nous deux ?

Moi : noah...

Noah : ta fini j'ai un rendez-vous important.

J'enfonce l'aiguille dans son musclé prenant soin de pas touché une veines.

Moi : oups

Il lâche un gémissement de douleur tandis que je me délecte de son expression.

Noah : wow IL embauche n'importe qui dans cette hôpital.

Moi : malheureusement

Je finie de le coudre en vitesse sachant que si je reste ici plus de deux 2minutes soit je me mets a pleurer soit je le tue.

Noah regarde au tour de Lui conne si mon aiguille ne lui faisait rien. Ça m'énerve.

Noah : Tu veux bien arrêter de me regarder comme si tu voulais m’achever ?

Je lève les yeux vers lui, mon visage impassible.

Moi : C’est une option à laquelle je pense, oui.

Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres. Ce sourire que je détestais autant que j’aimais.

Noah : Toujours aussi dramatique.

Je serre les dents et me redresse, retirant mes gants et les jetant dans la poubelle à proximité.

Moi : Évite de te blesser la prochaine fois, ça m’évitera de te recoudre.

Il hausse un sourcil, amusé par ma froideur apparente.

Noah : C’est bien, Riley. T’as appris à te défendre.

Ses mots sont comme une claque. Il dit ça comme si c’était un compliment, mais ça sonne plus comme une provocation.

Moi : Tu crois que c’est grâce à toi ?

Je croise les bras, le défiant du regard. Il penche légèrement la tête, son sourire s’effaçant.

Noah : Non, Riley. Je crois que c’est malgré moi.

Un silence tendu s’installe entre nous. Mon cœur bat trop fort dans ma poitrine, mais je refuse de le laisser voir à quel point il m’atteint encore.

Moi : Tu devrais partir.

Il se lève lentement, ajustant sa chemise avec désinvolture.

Noah : Ça fait des années que je suis parti, Riley.

Je reste figée. Il m’observe un instant de ses yeux océans, mais je détourne le regard.

Moi : Alors pourquoi t’es là maintenant ?

Il s’approche légèrement, réduisant la distance entre nous.

Noah : Parce que c’est là que la porte s’est refermée sur ma main.

Je lève les yeux au ciel, exaspérée par son ton sarcastique.

Moi : Toujours aussi insupportable.

Il s’arrête juste devant moi, son regard perçant le mien.

Noah : Et toi, toujours aussi rancunière.

Je sens la colère monter. Pourquoi est-ce qu’il est toujours comme ça, à jouer, à minimiser, à éviter le vrai sujet ?

Moi : Rancunière ? Noah, tu m’as laissé. T’as disparu comme si de rien n’était. Et maintenant, tu débarques ici comme si tout était normal ?

Noah : Parce que c’est ce que tu veux, non ? Que je reste un souvenir lointain ?

Je secoue la tête, les larmes me montant aux yeux malgré moi.

Moi : Tu comprends rien…

Il tend la main pour attraper la mienne, mais je recule d’un pas.

Moi : Non. T’as perdu ce droit.

Je ramasse mes affaires, tentant de garder ma dignité intacte.

Noah : Riley…

Sa voix est plus douce, presque hésitante, mais je refuse de l’écouter.

Moi : Ne dis rien. C’est mieux comme ça.

Je quitte la pièce, mon cœur lourd, laissant Noah derrière moi, une nouvelle fois.

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