CHAPITRE 06 : confrontation

Je sortais de la douche après que Monsieur noa a essayer de me noyer dans la piscine du camp nan mais allô.

Le silence dans la chambre était lourd. Il y avait cette atmosphère pesante, comme si l’air lui-même attendait une explosion. Je n’arrivais pas à le regarder sans ressentir une montée de colère dans ma poitrine. Il était là, allongé sur son lit, comme si rien ne s’était passé, comme si tout allait bien dans son monde parfait.

Moi : “Tu te fous de moi, Noah ?”

Je m’approche du lit, mes poings serrés. Il ne me regarde même pas. Son regard est plongé dans son téléphone, comme s’il était à des années-lumière de ce que j’avais à lui dire.

Moi : “Tu crois que tu peux tout faire, hein ? Me pousser, me jeter ma valise dans la piscine, me foutre de la colle dans les cheveux… Et tu crois que ça va passer comme ça ?”

Il lève enfin les yeux de son téléphone, un regard froid et indifférent.

Noah : “T’es toujours là à te plaindre.”

Il se redresse légèrement, son regard se fait plus intense, mais pas un signe de regret. Il m’ignore encore, ou plutôt, il me regarde comme si je n’étais qu’un problème à régler.

Moi : “T’as vraiment aucune limite, hein ? T’as été plus qu’un connard avec moi depuis le début, mais là, tu as franchi la ligne.”

Je prends une grande inspiration, essayant de ne pas exploser. Mais c’est plus fort que moi. Ça fait trop de temps que je supporte ses conneries, que je fais semblant de rien. Mais aujourd’hui, il ne s’en sortira pas comme ça.

Noah : “Tu veux qu’on parle de limites ? Regarde-toi, Riley. T’es la première à venir chercher la merde et après tu viens te plaindre.”

Il se lève enfin du lit, venant à ma hauteur. Son ton est devenu plus acerbe, plus tranchant.

Noah : “T’as voulu jouer au petit jeu de la confrontation, alors maintenant t’assumes.”

Moi : “Je t’assure que si tu veux jouer à ça, on a pas fini.”

Leurs regards se croisent, la tension est palpable. Il y a cette lueur dans ses yeux, un défi, un désir de m’humilier encore plus. Mais je ne reculerai pas. Pas cette fois.

Moi : “Tu crois que t’es au-dessus de tout, Noah, mais t’es juste un gamin qui a trop de privilèges et pas assez de cervelle.”

Il rit doucement, ce rire froid et sarcastique qui me fait bouillir de l’intérieur.

Noah : “Et toi, Riley ? T’es juste une pauvre gamine naïve, à croire que tu vas pouvoir m’intimider avec tes petites menaces.”

Je ferme les yeux, respirant profondément pour ne pas exploser. Mais c’est trop. Trop d’années à me faire traiter comme ça, à accepter des trucs que je n’aurais jamais dû accepter.

Moi : “Tu sais quoi, Noah ? J’en ai marre. T’es juste un putain de connard et je vais te le dire en face.”

Je m’approche de lui d’un pas déterminé, mais il ne bouge pas. Il me fixe, un air supérieur toujours sur le visage.

Noah : “C’est mignon, Riley, tu crois vraiment que ça me fait quoi ?”

Et là, c’est comme si une étincelle avait été allumée. Je sais que je suis sur le point de faire quelque chose de fou, de risqué, mais je n’y pense même pas. Ce que j’ai ressenti pendant ces années, toute cette colère refoulée, tout éclate enfin.

Je me rapproche de lui encore, assez pour qu’il puisse sentir mon souffle. Et, sans même réfléchir à ce que je suis en train de faire, je le pousse légèrement contre le mur de la chambre.

Moi : “Tu sais quoi ? T’as peut-être raison. Mais juste une fois, Noah, je vais te prouver que je peux aussi être celle qui te fait réagir.”

Il se fige, tout son corps tendu, avant de tourner les yeux vers moi. Il ne dit rien, mais je vois le défi dans son regard. C’est comme s’il savait que ça allait déraper, mais qu’il l’attendait. Il a ce sourire un peu en coin, presque amusé, mais il ne bouge pas.

Moi : “J’en ai marre de ton arrogance.”

Je sens mon cœur battre plus fort, mais cette fois, c’est différent. C’est comme si tout ce qui me retenait, toutes les limites que je m’étais fixées, tout s’effondrait sous cette colère qui se transforme en quelque chose d’encore plus fort.

Sans réfléchir, sans le moindre scrupule, je le pousse à nouveau, plus fort, et cette fois, je l’embrasse. Je le fais, malgré tout ce qu’il m’a fait, malgré tout ce qu’il est, je le fais parce que j’en ai besoin. Parce que ça fait trop longtemps que je le désire, et je suis fatiguée de lutter contre cette attraction qui m’embrase.

Je me Cole contre lui l'embrassant langoureusement, il pause c'est main sur mes hanches et me plaque au murs il l'embrasse et me caresse et putain que c'est bon.

Qu'est-ce-que j'aime j'halete contre lui tandis qu'il me souleve j'envoie mes jambes autour de ça taille il pose C main sous mes fesses.

Et C a SE moment précis que mon heure arriva, je me retire en le regardant.

Noah : putain...

Je reposé mes pieds par terre et le regarde un sourire espiègle au levres.

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