I'Ll Be Backs In Two Years
...𝐿𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑖𝑠 𝑑'𝑜𝑟 ...
...𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑛𝑎𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑣𝑖𝑒 𝑒𝑛 𝑟𝑜𝑠𝑒...
^^^𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟎𝟏 : 𝖫'é𝗍é 𝗈ù 𝗍𝗈𝗎𝗍 𝖺 𝖼𝗈𝗆𝗆𝖾𝗇𝖼é^^^
^^^𝟐𝟎 𝐣𝐮𝐢𝐧 𝟐𝟎𝟏𝟕^^^
Moi : non je veux pas y aller !
C’était tout ce que j’avais répété depuis des semaines. À chaque fois que le mot « colonie de vacances » venait sur le tapis, mon cœur se serrait un peu plus. Pourquoi moi ? Pourquoi fallait-il que je parte là-bas, loin de tout ce que je connaissais, loin de ma chambre, de mes livres et de mes petites habitudes ?
Loin de l'été calme et paisible, que je passer habituellement seul chez moi avec mes parents.
Moi : aller !!!! S'il-vous-plaît !
Je me tenais dans le salon, les bras croisés, le regard défiant, en espérant que mes parents allaient céder. Mais, bien sûr, je savais au fond de moi que ça ne se passerait pas comme ça.
Papa : riley tu y va c'est non négociable.
dit mon père, avec ce ton ferme qu’il employait chaque fois qu’il n’avait pas envie de discuter. Il était assis dans son fauteuil, les yeux rivés sur son journal, comme s’il venait de décider que c’était la meilleure chose pour moi.
Moi : mais je veux pas ! Pourquoi je vien pas avec vous chez papi et Mami !!!
Maman : Mami et malade ma cherie on doit aller s'occuper d'elle, Ce sera bien pour toi, tu verras. Tu rencontreras de nouveaux amis, tu te feras des souvenirs.
Je n’avais pas envie de nouveaux amis. Je n’avais pas envie de souvenirs. Je voulais juste rester là, dans mon propre monde.
Moi : non je veux pas
papa : Riley tu n'a que 15ans il n'ya pas de je veux pas c'est nous qui décidons pour toi.
Moi : c'est pas juste pourquoi vous voulais jamais m'écouter !!
Je monte ensuite en vitesse dans ma chambre, claque la porte, enlève mes pantoufles et m'allonge sur mon lit.
Le jour du départ, je m’étais levée tôt, les yeux encore gonflés de sommeil. Il faisait beau, trop beau pour partir dans un endroit inconnu. Je traînais des pieds, jetant un regard las vers les valises déjà prêtes. Pourquoi avaient-elles été préparées pour moi, alors que je n’en voulais pas ? C’était juste… trop.
Outfit :
Maman : Allez, on part, ma chérie,
dit ma mère en entrant dans le salon, avec un sourire bien trop enthousiaste pour le moment.
J’avais fait la moue, refusant de bouger.
Moi : non !
Maman : Riley, tu vas t’amuser, c’est tout ce que je veux. Et je suis sûre que tu te feras de bons amis.
Elle parlait comme si ça allait tout changer, comme si j’allais soudainement adorer l’idée de partir.
Mais elle n’avait pas répondu. Elle s’était contentée de prendre ma main et de m’emmener vers la voiture. Le trajet s’était fait dans un silence pesant, avec le bruit de la radio en fond sonore, et la route qui défilait devant nous. Ma tête était pleine de pensées noires : ce camp allait être une catastrophe. Je savais que je n’allais pas y arriver, que tout serait gênant et ridicule. Que j’allais me retrouver seule.
Lorsque nous sommes arrivés à la colonie, mes jambes tremblaient un peu. Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait. Le site était grand, trop grand, avec des bâtiments à perte de vue, des gens partout. Je me sentais comme une étrangère dans un endroit qui ne me correspondait pas. Je n’avais même pas eu le temps de m’adapter à l’idée, et là, on me poussait déjà à m’intégrer. À me faire une place.
Papa : Bon, Riley, on va t’installer dans ta chambre.
dit mon père, avec cette voix d’adulte qui voulait me rassurer. Mais je n’avais pas du tout l’impression d’être rassurée.
Quand la porte de ma chambre s’ouvrit, je fus accueillie par un regard hostile. Là, dans le coin, il y avait un garçon. Il avait les cheveux d'un noire corbeau avec quelque reflet bleu des yeux bleu foncé et un teint blanc , un regard un peu moqueur et un sourire presque narquois.
... : Tu es la nouvelle ?
Il avait demandé ça d’une voix qui sonnait plus comme une question provocante qu’une simple curiosité.
Je l’avais observé quelques secondes, détestant déjà l’air qu’il avait. Ce genre de garçon qui te regarde comme si tu n’étais rien.
Moi : Ouais, et toi, tu es qui ?
avais-je répliqué, mes bras toujours croisés. Je savais que je devais déjà me défendre.
Il m’avait regardée comme si j’étais une créature étrange.
... : noah
Il avait haussé les épaules.
Noah : tu vas passer un été horrible.
Il avait dit ça avec un petit rire. Il était comme un petit chef de cette colonie, même s’il ne le disait pas comme ça. Je pouvais déjà voir l’arrogance dans ses yeux.
Papa : c mixte ??????
Maman : oh je ne savais pas
Animateur : oui mais les enfants son surveillée et on sais dit que durant cette colognie de vacances les enfants apprendront les différence entre une fille et un garçon
Maman : moi j'aime bien l'idée cheri
papa : bah pas moi
Animateur : je m'excuse ça aurait dû être mentionné
maman : c'est rien chéri
Papa : oe
Pendant que mes parents les autistes oui je le dit parle a l'animateur je lance des regard noir au garçon, ils m'énerve avec son air hotain et son sourire narquois.
Je veux le frapper.
Mes parents finissent par partie me laissant seul dans cette chambre avec se noah.
Bon je suppose qu'il faut sociabilisé.
Moi : ta quel age ?
Noah : 17ans
Ok il est vieux
Moi : moi j'ai 15ans
Noah : j'ai pas demandé je m'en fiche
Moi : tu parle beaucoup pour quelqu'un qui s'en fiche
Noah : ta gueule
Je me tais vu que il me fait un peu peur il a un corps plutôt Athletic et un regard profond. Tout se que j'aime pas j'ai la Gente masculine.
Maman je veux partir.
Je pose mon sac sur le bord du lit et ma valise dans un coin.
Les jours passaient, et ça ne devenait pas plus facile. Le groupe d’enfants autour de moi ne m’aidait pas. Ils étaient déjà soudés, amis depuis des années, et je me sentais comme l’intruse. Mais Noah, lui, semblait prendre un plaisir étrange à me rendre les choses encore plus difficiles. Chaque occasion était bonne pour me lancer une petite remarque ou me défier de façon subtile.
J'etait assise sur un banc entrain de lire un livre, quand une fille au cheveux blonds s'asseoid a côté de moi. Qu'est-ce-que elle était belle de beau yeux bleu un teint bronzé.
Blonde : coucou moi c mika
Moi : Je m'apelle Riley
Mika : enchanté Riley tu lis quoi ?
Moi : quand souffle le vend du nord C un classique
Mika : je connais pas je suis plus le genre de meuf soit belle et tais toi
Elle ricane tout doucement, elle était douce et calme ça se voyait dans ça manière de parler.
Mika : pourquoi tu est tout le temps seul ici ça fait déjà 5jours que tu est la.
Moi : je sais mais personne veut sympathisé avec moi, sachant que mon coloc est un vrai tirant il a mis de la Cole dans mon shampooing hier.
Mika : ma pauvre tu n'auras plus a être seul tu est mon amie maintenant
Moi : heureuse de l'être mika
mika : tu a quel âge au fait ?
Moi : j'ai 15ans
Mika : moi j'en est 16
Moi : oh on a que un an de différence
Mika : oui C pas grand chose
Je continue de discuté avec elle encore quelques minutes jusqu'à l'heure de dîner.
Je m'asseoid a une table, et commence a manger Mika assise juste a coté de moi on parler de tout et n'importe quoi
Dans la table d'enface était assis noah, avec plein d'autre garçon super bruyant qui m'énerve au plus haut point.
Depuis que je suis ici noah les ramène tout les soir et discute, alors je suis obligé de bouché mes oreilles avec mon oreiller.
Noah : qu'est-ce-que tu regarde ?
Je l'ignore et continue de manger avec Mika qui me parler de Frank son chiwawa
Le crépuscule s’installait lentement sur la colonie, recouvrant les lieux d’une ambiance feutrée. Le bruit des grillons et le murmure lointain des autres enfants accompagnaient les dernières lueurs du soleil. Dans notre chambre, l’atmosphère était toute autre : un silence lourd pesait, interrompu seulement par le bruit des doigts de Noah tapotant distraitement sur son téléphone.
Je me tenais assise sur mon lit, mes genoux repliés contre ma poitrine, observant d’un œil discret mon colocataire. Noah était allongé, une jambe pliée et l’autre étendue, son bras sous sa tête. Ses cheveux noirs tombaient légèrement sur son front, et une lueur bleutée de l’écran de son téléphone éclairait son visage. Il n’avait pas dit un mot depuis que nous étions rentrés dans la chambre, et cela m’agaçait autant que ça me fascinait.
Je finis par poser mon carnet sur la table de chevet et prendre une profonde inspiration. Si je devais passer encore trois semaines dans cette chambre, autant essayer de briser cette glace qu’il semblait protéger avec tant de soin.
Moi : Tu écoutes quoi ?
Aucune réponse.
Je plissai les yeux, vexée. Je savais qu’il m’avait entendue.
Moi (plus fort) : Noah, tu écoutes quoi ?
Il retira un de ses écouteurs avec un soupir exagéré, tournant enfin la tête vers moi.
Noah : Pourquoi tu demandes ?
Son ton était plat, sans aucune trace de curiosité.
Moi : Peut-être qu’on a des goûts en commun.
Un sourire moqueur étira ses lèvres, mais ses yeux restèrent froids.
Noah : Ça m’étonnerait.
Je haussai un sourcil, piquée.
Moi : C’est vrai que t’as l’air du genre à écouter de la musique déprimante.
Noah : Et toi, t’as l’air du genre à écouter des trucs niais et sans intérêt.
Je me redressai, croisant les bras.
Moi : C’est faux. Et pour ta gouverne, j’écoute plein de styles différents.
Il haussa les épaules, totalement désintéressé, et remit son écouteur.
Moi : Sérieusement ? C’est tout ce que t’as à dire ?
Il leva les yeux au ciel, retirant son écouteur une fois de plus.
Noah : Écoute, Weber, je suis pas là pour discuter. Tu fais ta vie, je fais la mienne, et tout ira bien.
Je fronçai les sourcils, sentant ma patience s’effilocher.
Moi : On partage la même chambre. Tu crois pas qu’on devrait au moins essayer de s’entendre ?
Il se redressa légèrement, appuyant un coude sur son oreiller pour me regarder.
Noah : Pourquoi t’essaies autant ?
La question me prit de court.
Moi : Parce que c’est logique ? Je préfère pas passer mes vacances à me disputer avec toi.
Il eut un petit rire, mais il n’y avait rien de chaleureux dedans.
Noah : Logique. Ouais, c’est ça. Tu te fais des illusions, Riley.
Le fait qu’il utilise mon prénom me surprit, mais je ne le relevai pas.
Moi : Des illusions sur quoi ?
Noah : Que tout le monde a envie d’être ton ami.
Ses mots me frappèrent comme une claque, et je sentis la colère monter en moi.
Moi : Pourquoi t’es si désagréable ?
Il haussa les épaules, comme si la réponse n’avait aucune importance.
Noah : Peut-être parce que je suis pas intéressé.
Son ton était glacial, et je restai sans voix pendant quelques secondes. Je finis par détourner le regard, prenant mon carnet pour cacher la rougeur qui montait à mes joues, mélange d’embarras et de frustration.
Moi : Très bien. Fais ce que tu veux, Noah. Mais un jour, t’auras peut-être envie de parler à quelqu’un, et ce jour-là, je serai pas là.
Il ne répondit rien, se rallongeant sur son lit et remettant ses écouteurs comme si rien ne s’était passé.
Je fixai mon carnet, incapable de me concentrer sur quoi que ce soit. Pourquoi m’importait-il autant ? Je n’avais pas la réponse, mais une chose était sûre : Noah Wagner était un mystère que je n’allais pas résoudre cette nuit-là.
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