épi 18 . pour noel

L'instant d'après les boiseries se refermaient derrière eux et la salle des tapisseries étaient vite.

10in plus tard environ la cloche sonna pour le thé et comme Virginia ne descendait pas madame Otis envoya l'un des vallées de pieds la prévenir .

au bout d'un moment il revint et dès qu'il n'avait pu trouver Miss Virginia nulle part, comme elle avait l'habitude de sortir dans le jardin chaque soir cueillir des fleurs pour orner la table du dîner madame otis ne s'alarme à pas tout de suite mais six heures sonère et Virginia n'apparaissait toujours pas.

alors elle commença à s'inquiéter et envoya les garçons à sa recherche tandis qu'elles-mêmes et monsieur otis fouillaient chaque pièce de la maison à.

6h30 du soir les garçons revient en déclarant qu'ils n'avaient trouvé aucune trace de leur sœur. monsieur otis se souvint brusquement que quelques jours plus tôt il avait donné à une bande de bohémien l'autorisation de camper dans le parc.

Ils partit donc séance tenante pour blackfel hollow où il savait les trouver accompagnés de son fils aîné et de deux domestiques de la ferme.

le petit duc de chescher au comble de l'anxiété fit des supplications pour faire partie du groupe mais monsieur otis refusa de l'emmener parce qu'il craignait une échafaurée.

en arrivant sur les lieux il constata que les romanichel étaient partis et de toute évidence ce départ avait été précipité car le feu brûlé encore et des ustensible traînaient dans l'herbe .

après avoir envoyé Washington et les deux domestiques explorer les environs otis rentra précipitamment et envoya les dépêches à tous les inspecteurs de police du comté en leur demandant de rechercher une jeune fille qui avait été enlevée par des vaGabon ou des romanicheles

il commanda ensuite quand scella son cheval et après avoir insisté pour que sa femme et les trois garçons se mettent à table pour le dîner il partit le long de la route d'ascotte escorté d'un valet d'écurie .

il a fait à peine parcouru 3 ou 4 km qu’il entendit derrière lui un cheval qui galopait et c'etant retourner il vit le petit duc qui arrivait sur son poney tete nue et le visage en feu << je suis désolé monsieur otis>> dis le jeune garçon <>.

vivement touchée par la dévotion qu'il manifestait à l'égard de Virginia le ministre ne puis empêcher de sourire au jeune et gracieux chenapan pencher sur l'encolure de son cheval il lui tapota affectueusement l'épaule et dit <>

<< au zut pour le chapeau c'est Virginia que je veux>>.

s'écria le petit du en riant.

ils prirent le galop en direction de la gare monsieur otis demanda au chef de gare si une jeune fille répondant à la description du Virginia avait été vu sur le quai. mais il n'apprit rien à son sujet le chef de gare toutefois Expedia des dépèches dans les deux directions opposées de la ligne et assura Monsieur otis qu'une étroite surveillance serait exercée en vue de retrouver sa fille .

après avoir acheté un chapeau pour le petit duc chez un Mercier qui était en train de fermer ses volets .

Mr otis chevaucha jusqu'à bexcley un village à 6 km de là environ .

lieu bien connu lui avait-on dit de rassemblement des bohémiens dans le vaste pré communal voisin .

Il alerta le représentant de la police locale mais n’obtint aucun renseignement et après avoir exploré à cheval tout le pré , ils tournaient à bride pour regagner la maison et arriver à Canterville chase vers 7h recru de fatigue et lames en peine .

ils retrouvaient Washington et les jumeaux qui les attendaient au portail avec des lanternes car la venue était très sombre.

on avait découvert aucune trace de Virginia les bohémiens avaient été retrouvé dans les prés de boxley mais vieginia n’etait pas evec eux , et s'ils étaient partis précipitamment expliquerent ils c'était à la suite d'une erreur sur la date de la foire de Charton où ils avaient craint d'arriver trop tard.

Ils avaient même été désolé d'apprendre la disparition de Virginia d'autant qu'ils étaient très reconnaissants à mr otis de les avoir autorisé a camper dans son parc et 4 d’entres eux c’etait séparés du groupe pour participer au recherche .

Toute la propriété canterville fut passer a une fouille minutieuse meme l’etan au carpe sans le moindre résultat , il était évident que pour cette nuit-là du moins Virginia etait perdu et c'est dans un état d'abonnement profond que Monsieur otis et les garçons rentrèrent dans la maison suivi par le valet d'écurie qui ramené les deux chevaux et le poney .

dans le hall ils trouvaient un groupe de domestiques sur le qui-vive et allongé sur un canapé dans la bibliothèque la pauvre madame otis à demi folle de peur et d'anxiété dont la vieille gouvernante bassinait le front avec des compresses d'eau de Cologne.

monsieur Otis insista aussitôt pour qu'on lui servit quelque chose à manger et commander un souper pour tout le monde .

ce fut un triste repas personne ou presque nous souffla mots et les jumeaux eux même étaient désemparés car ils aimaient énormément leur sœur.

parce qu'ils ont fini monsieur Otis en dépit des prières du petit duc leur donna l'ordre d'aller se coucher en disant <>.

au moment où ils sortaient de la salle à manger minuit se met à sonner à l'horloge de la tour et ils entendirent un grand bruit accompagné d'un cris aigu.

un roulement de tonnerre effrayant fut trembler la maison des accents d'une musique céleste flotaire dans l'air. un panneau de la boiserie au sommet de l'escalier se déroba avec fracas sur le palier , un petit coffret à la main surgit Virginia.

ce fut en un instant une rue est générale vers le haut des marches monsieur Otis etraignit Virginia avec passion le petit duc l’etouffa de baisers frénétique et les jumeaux se Mirent à exécuter une danse autour de groupe .<< grand Dieu mon enfant où etais tu donc ?>> s’ecria monsieur otis avec une certaine humeur pensant qu'elle avait voulu leur jouer un tour de sa façon.<< Cécil et moi avons parcouru tout le pays à cheval pour te retrouver et ta mère était mortellement inquiète il ne faut plus jamais faire de mauvaise farce de ce genre>>

<< sauf au fantôme sauf au fantôme>> rigolent les jumeaux.

<< ma petit Dieu merci te voilà retrouver ,je ne veut plus jamais que tu me quitte .>>murmura madame otis en embrassant l’enfant.

<< papa >> dit virginia << j’étais avec le fantôme, il est mort et il faut que tu vienne le voir . Sa avait été un très méchant homme mais il regrettait sincèrement tout ce qu’il avait fait de mal et avant de mourir il m'a donner cette cassette de bijoux >> toute la famillevla regardait .mais Virginia était parfaitement sérieuse et grave et puis elle se détourna pour les conduirent le longue d’un couloir secret .

Washington Suivai avec une bougie allumée qu'il avait prise sur la table enfin il part voir à une lourde porte de chaîne réhaussée de clous rouillé.

sous les doigts de Virginia la porte pivota sur ses gonds il se trouvèrent dans une petite pièce basse avec un plafond voûté et une minuscule fenêtre garni de barreaux .

scellé dans le mur un énorme anneaux de fer auquel était enchaîné un squelette gisant de tout son long sur le sol de pierre et qui semblait essayer de saisir de ses long doigt decharner une cruche antique et une écuelle placée juste hors de sa portée.

de toute évidence la cruche avait été jadis remplie d'eau car ces parois intérieures étaient tapissés d'une mousse verdâtre dans lecueille ne restait qu'un infime tas de poussière .

Virginia s'agenouilla à côté du squelette et joignant ces petites mains elle se mit à prier en silence tandis que les autres semblaient songer avec effroi à la terrible tragédie dont le secret venait de leur être dévoilé . <> dit soudain l'un des jumeaux qui regardaient par la fenêtre pour tenter de découvrir dans quel aile du manoir était situé la pièce <><>dis gravement Virginia en se relevant et lumière radieuse parue illuminer son visage<< vous êtes un ange>> s'écria le jeune duc il lui passer un bras autour du cou et l'embrassa .

_ es ce ainsi que ce termine l’histoire ?

Demande une jeune dame . Une petit foule c’était rassembler autour de Shénazade toussent captiver par sa jolie voie et surtout intriguer de savoir qui était cacher derrière ce voile mais aussi qui était le loubards à ses côtés .

Shénazade répondit tranquillement.

_ hmm non en effet le squelette d'y fantôme fut enterrer. Mr ottis voulut rendre les bijoux que le fantôme avait donner à Virginia à lord canterville car il estimait que cela appartenait à la famille du lord . Mais ce dernier refusa poliment car pour lui cela était juste de le leur laisser . Virginia se marier plus tard au petit duc lorsque ce dernier fut en age ,un mariage plein d’amour qui suscitait beaucoup d’envie .

Répondit il en rigolant avec un sourire.

_ Virginia à t’elle raconter comment elle a sauver le fantôme ?

Demande un autre .

_ non jamais même à son époux qui pourtant avait instanter car pour elle le fantôme lui avait fait comprendre la signification de la vie et de la mort et que surtout l’amour pure et véritable était plus fort que l’un et l’autre . C’était le fantôme de canterville.

Terminé Shénazade.

Un murmure d’admiration parcourut l’assistance, mais Shariar, jusqu’alors silencieux, intervint d’un ton grave, brisant l’enchantement :

— Pourtant... l’amour est souvent la cause de plus de malheurs que de bonheur. Jamais Virginia n’aurait dû libérer cette âme si facilement.

Tous les regards se tournèrent vers lui, surpris par son interruption. Shariar fixa alors Shénazade, son regard perçant semblant sonder son âme.

— Le fantôme a payé pour ses péchés, dit-il, sa voix résonnant comme une vérité absolue. Mais sa souffrance n’était qu’un cri de désespoir... une manifestation de la souffrance de son âme.

Puis, après une pause, il ajouta, plus bas mais avec une intensité palpable :

— Tout comme la souffrance de ton âme.

Ces mots tombèrent comme un couperet. Le silence qui suivit fut si profond qu’on aurait pu entendre une épingle tomber. Les clients autour d’eux se figèrent, fascinés par la tension entre les deux hommes. Shénazade, pétrifié, sentit son cœur s’accélérer. Il baissa les yeux, incapable de soutenir plus longtemps le regard du sultan, et une chaleur monta en lui, mélange de honte et d’une émotion qu’il ne pouvait nommer.

Shariar se leva alors lentement, dominant la scène comme un roi quittant son trône. Il sortit quelques pièces de sa bourse et les posa sur la table, le tintement métallique rompant le silence.

— Nous partons, déclara-t-il, sa voix calme mais impérieuse.

Il tendit une main ferme et sûre à Shénazade. Ce dernier hésita une fraction de seconde avant de la prendre. La paume du sultan était chaude et enveloppante, un contraste frappant avec la froideur qui semblait habiter ses mots.

Ensemble, ils quittèrent le café sous les regards intrigués des spectateurs, laissant derrière eux une atmosphère empreinte de mystère. La lumière dorée du soleil couchant baignait la ruelle, les ombres dansant sur les murs ornés, tandis que Shariar et Shénazade s’éloignaient, liés par une tension palpable et une énigme encore non résolue.

Shénazade baissait les yeux, fixant sa main prisonnière de celle du sultan. Une chaleur réconfortante émanait de cette étreinte, mais elle semblait aussi peser comme un fardeau. Chaque pas qu’ils faisaient dans les ruelles pavées résonnait dans son esprit, amplifiant sa culpabilité.

"Pourquoi ai-je dit ça ?" pensa-t-il, le cœur lourd. La journée avait pourtant si bien commencé. Il avait découvert la ville, raconté une histoire qui avait captivé les foules, et partagé un moment presque paisible avec le sultan. Mais ses mots... Ces maudits mots avaient tout gâché.

Il osa un regard furtif vers Shariar, dont le visage restait impassible, l’expression cachée par le foulard. Rien dans son allure ne trahissait de colère ou de mécontentement, mais cela ne faisait qu’amplifier l’angoisse de Shénazade.

— Je suis désolé, murmura-t-il finalement, presque inaudible.

Shariar ne ralentit pas son pas, mais ses doigts se resserrèrent légèrement autour de ceux de Shénazade.

— Faute avouée est à moitié pardonnée, répondit-il calmement, son ton neutre, mais empreint d’une certaine douceur.

Shénazade leva les yeux vers lui, surpris par cette réponse.

— Mon seigneur, je n’aurais pas dû...

Shariar s’arrêta brusquement au détour d’une ruelle plus calme, loin des regards indiscrets. Il se tourna vers Shénazade, son regard émeraude brillant sous la lumière tamisée des lanternes suspendues.

— Peut-être pas, mais tu as parlé avec sincérité. Peu osent le faire en ma présence, dit-il, une pointe de bienveillance dans la voix.

Shénazade sentit sa gorge se nouer, mais aussi un léger soulagement. Il baissa à nouveau les yeux, murmurant :

— Merci, votre majesté...

Un silence s’installa, seulement troublé par le souffle léger du vent qui faisait danser les lanternes au-dessus d’eux. Puis Shariar, un sourire presque imperceptible sur les lèvres, relâcha doucement la main de Shénazade avant de reprendre leur marche.

— Allons, reprit-il, il y a encore beaucoup à voir dans cette ville. Mais dis-moi, que dirais-tu d’une balade à la mer ?

Shénazade releva la tête, ses yeux brillants d’étonnement.

— La mer ? répéta-t-il, comme s’il n’avait jamais imaginé une telle proposition.

— Oui, répondit Shariar avec une assurance tranquille. L’air marin fait des merveilles pour apaiser l’esprit.

Un mélange d’appréhension et d’excitation s’empara de Shénazade, qui hocha timidement la tête.

— je heu .....très bien mon seigneur.

Shariar fit un signe de tête et se remit en marche, suivi de près par Shénazade, qui, malgré ses doutes et ses craintes, sentit son cœur s’alléger légèrement.

La mer s’étendait devant eux, infinie, teintée d’or et de pourpre sous les rayons mourants du soleil. L’air était chargé d’une douce odeur saline, et les vagues, dans leur va-et-vient incessant, semblaient chanter une mélodie apaisante.

Shénazade s’avança lentement, ses yeux écarquillés d’émerveillement. Jamais il n’avait vu une telle étendue d’eau, mouvante et vivante, semblant respirer sous le ciel flamboyant.

— C’est... incroyable, murmura-t-il, presque pour lui-même.

Shariar, resté un peu en retrait, observait silencieusement, un sourire discret se dessinant sur ses lèvres en voyant l’émerveillement pur de son compagnon.

Shénazade, fasciné, s’approcha davantage du bord, les pieds frôlant le sable humide. Mais lorsque la marée monta soudainement, une vague s’écrasant doucement près de ses pieds, il recula brusquement, pris de panique.

— Ah !

Dans sa précipitation, il perdit l’équilibre et tomba lourdement sur le sable. Le choc fit glisser son voile, révélant son visage sous la lumière dorée du crépuscule.

Shariar, surpris, s’approcha rapidement. Il s’arrêta net lorsqu’il vit le visage de Shénazade, enfin découvert. Sous les derniers rayons du soleil, sa peau semblait presque lumineuse, et ses traits délicats étaient empreints d’une innocence troublante. Ses yeux, légèrement agrandis par l’embarras et la surprise, brillaient comme des gemmes.

Shariar resta un instant figé, le regard fixé sur lui, comme s’il découvrait un trésor insoupçonné.

— Shénazade... commença-t-il doucement, sa voix teintée d’un mélange d’étonnement et de tendresse.

Shénazade, réalisant ce qui venait de se passer, porta précipitamment ses mains à son visage, tentant de se couvrir maladroitement.

— Je suis désolé ! Je... je n’ai pas fait exprès ! balbutia-t-il, le rouge lui montant aux joues.

Shariar, les bras croisés et un sourire espiègle sur le visage, observa Shénazade avec amusement.

— Tu sais, tu pourrais goûter l’eau, elle est bonne, dit-il avec un sérieux feint.

Shénazade, intrigué, se tourna vers lui, les sourcils légèrement froncés.

— Vraiment ? demanda-t-il, hésitant mais curieux.

— Oui, répondit Shariar, en hochant la tête d’un air convaincu.

Poussé par sa curiosité et la confiance qu’il plaçait en Shariar, Shénazade s’approcha doucement du bord. Il se pencha, ramassa une petite quantité d’eau dans ses mains jointes, et porta le liquide scintillant à ses lèvres.

Aussitôt, une grimace déforma son visage.

— Beurk ! s’exclama-t-il en recrachant précipitamment l’eau salée. C’est horrible !

Shariar éclata de rire, incapable de retenir son amusement devant l’expression outrée de Shénazade.

— Pourquoi tu ne m’as pas prévenu que c’était salé ? protesta Shénazade, le regard accusateur, tout en essayant de se débarrasser du goût persistant.

— Parce que tu avais l’air si sûr de toi, répondit Shariar entre deux éclats de rire. Et puis, avoue que c’était drôle !

Shénazade, les joues rouges de honte et de frustration, croisa les bras et détourna le regard.

— Ce n’est pas drôle... marmonna-t-il, mais une petite lueur amusée passa malgré lui dans ses yeux.

Shariar, reprenant son sérieux, posa une main légère sur son épaule.

— Allons, ne sois pas fâché.

Le moment semblait suspendu dans le temps, comme si l'univers tout entier s'était figé pour ne laisser place qu'à eux deux, éclairés par les derniers rayons dorés du soleil couchant.

— Je ne veux pas que tu sois fâché, murmura Shariar, sa voix basse et apaisante.

Avant que Shénazade ne puisse répondre, il sentit une main ferme mais douce se poser sur sa taille, le rapprochant lentement. Pris de court, son souffle se coupa.

— Je vais t’aider à passer ce goût, ajouta Shariar avec un sourire énigmatique.

Puis, sans attendre, il se pencha et déposa un baiser sur les lèvres de Shénazade.

Ce n’était pas un baiser comme les autres, rien à voir avec ceux qu’il avait reçus auparavant. Il n’y avait ni avidité, ni possessivité. C’était tendre, délicat, presque hésitant. Shénazade resta figé, ses pensées tourbillonnant dans un chaos silencieux. Ce contact, si inattendu, éveillait en lui des sensations qu’il ne comprenait pas tout à fait.

Son ventre frémit, comme si des papillons y avaient élu domicile. Son cœur battait à tout rompre, résonnant dans ses oreilles. Le temps s’effaça, et tout ce qui importait était cette douceur, cette chaleur partagée dans la lumière déclinante.

Lorsque Shariar se recula enfin, Shénazade restait figé, son visage empourpré, ses yeux grands ouverts, contemplant l’homme qui le tenait encore doucement par la taille. Shariar, éclairé par le soleil couchant, semblait presque irréel, ses traits adoucis par une lueur dorée.

— Rentrons maintenant, dit calmement le sultan, sa voix ramenant Shénazade à la réalité. La nuit tombe.

— O... Oui, rentrons, balbutia Shénazade, toujours rouge, évitant son regard tout en ajustant son voile avec des gestes nerveux.

Ils reprirent le chemin du retour, Shariar marchant à ses côtés avec une assurance tranquille, tandis que Shénazade ne pouvait s’empêcher de jeter de furtifs coups d’œil vers lui, son cœur toujours en émoi.

salut salut et joyeux Noël mais aussi bonne année. J’ai eu la pire année de ma vie et la fête de mes 18ans ressemblait plus à un enterrement alors j’espère avoir la chance de mon Côté cette fois , je vous souhaite une tres bonne fete .

et surtout j’espère avoir beaucoup de courage pour continuer mes histoires car croyez moi j’ai un pas mal de situation decouragante .

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Merone Kiara

Merone Kiara

la suite s'il te plaît 🤤

2025-01-09

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01irid

01irid

bientôt ahahq

2025-01-21

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