epi 8

Elle n'était enfermé que depuis hier pourtant cette obscurité qui entrave une partie de sa vision ne lui était pas encore familière, pareil pour cette odeur infectes de ces rat qui grouille partout comme des vers sur ce sol écoeurant de moisissures.

La chaîne à sa cheville qui la liais au mur lui faisant ressentir un désespoir si grand que la terre entière pourais paraître minuscule, elle n'était rien d'autre que du bétail.

Qu'elle humiliation pour un être humain .

Son corps présentait plus marque de coup ,une partie de son visage avait enflé fort heureusement elle n'avait pas de blessure interne , c'était déjà un malheur éviter sinon elle aurait déjà agoniser jusqu'à la mort avant même sa sentance .

Une sentence qui ne pourrait être évité seulement si le bon Dieu intervient lui même et prenant la pauvre femme qu'elle est en miséricorde pour avoir commis le crime d'avoir donné une simple coupe d'eau à son beau frère.

Toute son âme criait à l'injustice , mais elle n'avait personne pour l'aider.... dès ce midi elle aura rdv avec la gorde de pendaison.

_ grande sœur Fatou !! C'est moi Fanta .

Elle leva la tête de sa position assise , ses yeux dessine la silhouette de deux femmes grâce au reflet de la torche sur leurs silhouette en parti cacher par des menteau long et ténébreux.

Fatou se leva d'un bon comme possédé elle se jette sur la grille l'attrapant fermement.

_ Fanta Fanta es ce bien dis , je ne rêve pas ? Comment es tu entré ici ?

Fanta senti des larmes sur ses joues qu'elle n'avait pu repousser plus longtemps.

_ oui c'est moi ma grande sœur , c'est bien moi. Je j'ai pu entré ici grâce à l'aide de dame Salma .

Fatou n'en revenait pas l'une femme les plus distinguées et proche du sultan était ici et avait escorté sa sœur . elle n'en revenait pas.

Son regard dérive vers Fatou .

_ je merci dame Salma je ne....

_ inutile de me remercier je n'ai encore rien fais d'incroyables. Fatou nous croyons à votre Total innocence de ce fait nous sommes déterminés à vous libéré.

_ hien ! Mais..... c'est impossible le Sultan est....

_ non grande sœur, n'abandonne pas. Tu vas sortir d'ici dame Salma veux t'aider et moi aussi alors fait nous confiance. Et raconte nous ta version de l'histoire.

_ je...... à quoi bon je serais pendu à midi au porte du palais vous n'auriez jamais assez de temps pour l'innocenter.

_ Fatou faite preuve d'un peu de détermination, je vous assure que votre excursion sera repousser.

_ quoi ? Êtes vous sérieuse dame salma

_ vous m'avez bien entendu, votre excursion à de forte chance d'être repousser. En ce moment nous avons quelqu'un qui s'occupe du sultan alors raconté nous en détail.

Fatou était très résistante pendant un moment, mais finalement ses lèvres s'entrouvre légèrement et son souffle se dilate avant qu'elle ne commence à dévoiler tout ce qui c'est vraiment passé sous les oreilles attentive de Salma et Fanta .

Quand vient l'heure de l'exécution , sectat entra dans le bureau du sultan . Après des salutations digne du rang de son maître , sectar prononce c'est parole .

_ mon seigneur , la potence pour la condamnations est prête , la foule ne tardera pas à se rassembler.

Shariar leva la tête de ses documents et fixe son garde .

_ il est donc déjà l'heure ? Le temps passe à une vitesse folle.

_ devrons nous y amener la .....

_ ce n'est pas la peine.

Sectar sursaute que venait il d'entre .

_ pouvez vous répété seigneur je suis confus.

_ je déteste me répéter, démonté la potence !

_ seigneur je. ...mais pourquoi ?

_ ai je des comptes à rendre à mon souffrir, ma journée se déroulait bien jusqu'à ce que tu me dérange sectar . Démonte cette potence . Je ne suis pas d'humeur pour regardé un cadavre !

Le regard émeraude du sultan bouillonne d'une instance lueur de ténèbres et son corps semblait désormais un peu plus massif et imposant .

Sectar en perdu l'équilibre et ses fesses tombe à terre , il reconnaissait se regarde .

Cette colère que ce monstre montrait ouvertement.

L'air était irrespirable pour le garde su corps personne de ce dirigeants .

Aucun être humain de pouvait avoir une aura aussi suffoquante ..... n'est-ce pas ?

_ sorte ! Si tu ne veux pas me mettre encore plus en colère.

Sans hésitation sectat se relève , s'incline doucement avant de sortir.

Dans le couloir il s'appuie contre un mur au risque de s'effondrer au sol , c'était la deuxième fois qu'il voyait son maître être aussi en colère après la trahison de sa compagne .

Mais que pouvait il penser à la fin . Sectar ne le comprenait pas avant mais là c'était encore plus incongru.

Dans son bureau , sharya se tenait debout en face de sa fenêtre. il inspire profondément quand soudain un papillon aux ailles bleu scintillant au soleil se pose sur la fenêtre.

Il consciemment il laissa échapper un sourire et comme un enfant découvrant le monde pour la première fois, il observe l'insecte.

_ hey ta condamnation à été repoussé à demain.

Fatou lève la tête n'en croyants pas les dire du garde .

_ que que dite vous ?

_ le sultan à repousser ton execution, estime toi heureuse mais sois certaine que demain tu n'auras pas autant de chance.

Le garde partie , Fatou n'arrivais pas encore à l'accepter.

Dame Salma et Fanta avait donc raison , il y'a un espoir qu'elle ne meurs pas.....Dieu lui montrait enfin la lumière au bout de se tunnel .

À la nuit tombée le sultan était dans sa chambre à faire les cent pas en imaginant avec un certain enthousiasme apeine perceptible la suite de l'histoire.

Les portes s'ouvrent enfin .... c'était Shénazade .

_ je bo..bonsoir votre majesté soyez bénis.

_ tu es en retard de quelques minutes.

Le corps frisonnant il répond.

_ je je suis désolée je je ferais plus d'efforts.

_ bref raconte moi donc la suite de ton histoire.

_ très bi....bien.

Après s'être installer, Shénazade pris une profonde inspiration comme pour relâché le stress , la peur et ouvrit la bouche

_La contestation du vieillard et du jeune homme obligea le vizir Jafar a les mener tous les deux devant le calife avec la permission du lieutenant criminel qui se faisait un plaisir de le favoriser.

Lorsqu'il fut en présence de ce prince il baisa la terre par 7 fois et par là de cette manière <>

Alors le calif demande à aux accusés qui des deux avait massacré la dame si cruellement et l'avait jeté dans le tigre?

Le jeune homme assura que c'était lui mais le vieillard de son côté soutenant le contraire <>dis le calife << faite les pendrent tous les deux! >><> dit le visir<< s'il n'y en a qu'un de criminel il y aurait de l'injustice à faire mourir l'autre>> à ses paroles le jeune homme repris<< je jure par le grand Dieu qui a élevé les cieux à la hauteur où ils sont que c'est moi qui est Dieu la dame qu'il les couper par quartier et je t'ai dans le tigre il y a 4 jours.

Je ne veux plus avoir de part avec les justes aujourd'hui jugement ci ce que je dis n'est pas véritable ainsi je suis celui qui doit être puni>>

Le calife surpris de ce serment et y ajoute ta foi d'autant plus que le vieillard ni réplique à rien, c'est pourquoi ce tournant vers le jeune homme <> lui dit-il <>

Le jeune homme répondit<> <> réplique à le calife<< je te l'ordonne!>> le jeune homme obéit et comment ça son récit de cette sorte.

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Il y a environ 2 mois elle tomba malade j'en eu tout le soin imaginable et je n'épargnais rien pour lui procurer une ne pronte guérison. au bout d'un mois elle commence à de mieux se porter , elle voulu aller au bain avant que de sortir du logis elle me dit "mon cousin" car elle m'appelait ainsi par familiarité" j'ai envie de manger des pommes vous me feriez un extrême plaisir si vous pouviez m'en trouver , il y a longtemps que cette envie me tient et je vous avoue qu'elle s'est augmenté à un point que si elle n'est pas bien tout satisfaite je crains qu'il ne m'arrive quelques disgrâces"

très volontiers" je lui dis je "je vais faire tout mon possible pour vous contenter". J'allais aussitôt chercher des pommes dans tous les marchés et dans toutes les boutiques mais je n'en plus trouver une quoi que j'offrirai d'en donner un sequin revint au logis fort fâché de la peine que j'avais prise inutilement pour ma femme.

quand elle fut revenue du bain et qu'elle ne vit point de pommes.

elle en est un chagrin qui ne lui permit pas de dormir de la nuit .

je me levais de grand matin et aller dans tous les jardins mais je ne réussis pas mieux que le jour précédent. Je rencontrais seulement un vieux jardinier qui me dit que "quelques peines que je me donne je n'en trouverai. Ailleurs qu'au jardin de votre Majesté à balsora".

comme j'aimais passionnément ma femme et que je ne voulais pas avoir à me reprocher d'avoir négligé de la satisfaire je prie un habit de voyageur et après l'avoir instruite de mon dessin je parti pour balsora .

je fis une si grande diligence que je fus de retour au bout de 15 jours.

Je rapporter 3 pommes qui m'avait coûté un sequin la pièce.

il n'y en avait pas davantage dans le jardin et le jardinier n'avait pas voulu me les donner à meilleur marché.

En arrivant je l'ai présenté à ma femme mais il se trouva que l'envie lui en était passé ainsi elle se contenta de les recevoir et les poser à côté d'elle.

Cependant elle était toujours malade et je ne savais qu'elle remet d'apporter à son mal.

peu de jours après mon voyage et j'étais dans ma boutique au lieu public où l'on vend tout sorte d'étoffe fine je vis entrer un grand esclave de fort-méchante mine qui tenait à la main une pomme que je reconnais pour une de celle que j'avais apporté de balsora.

Je n'en pouvais douter puisque je savais qu'il n'y en avait pas une dans Bagdad ni dans tous les jardins aux environs j'appelais l'esclave "bonne esclave" lui dis-je "apprends-moi je te prie ou tu as pris cette pomme?"

"c'est "me répondit-il en souriant "un présent que m'a fait mon amoureuse j'ai été la voir aujourd'hui et je l'ai trouvé un peu malade. j'ai vu trois pommes auprès d'elle et je lui ai demandé d'où elle les avait eu elle m'a répondu que son bonhomme de Mari avait fait un voyage de 15 jours exprès pour les livres et qu'il les lui avait rapporté.

Nous avons fait collation ensemble et en la quittant j'en ai pris et emporter une que voici"

Ce discours mimi hors de moi-même je me levais de ma place et après avoir fermé ma boutique je cours chez moi avec empressement et monter à la chambre de ma femme .

je regardais d'abord où étaient les pommes et n'en voyant que deux je demandais où était la troisième.

alors ma femme ayant tourné la tête du côté des pommes et n'en ayant aperçu que deux me répondit froidement "mon cousin je ne sais ce qu'elle est devenue".

à cette réponse je ne suis pas difficultés de croire que ce que m'avait dit l'esclave ne fut véritable en même temps je me laissais emporter à une fureur jalouse et tirant un couteau qui était attaché à ma ceinture, je le plongeais dans la gorge de cette misérable .

ensuite je lui couper la tête et mis son corps par quartier , j'enfie un paquet que je cachais dans un panier pliant et après avoir cousu l'ouverture du panier avec un fil de laine rouge je l'enfermais dans un coffre que je chargeais sur mes épaules dès qu'il fait nuit et que j'allais jeter dans le tigre.

Les yeux de shariar s'écarquillèrent, ses lèvres voulut faire un commentaire mais finalement il ne dit rien, attendant la suite.

Les deux plus petits de mes enfants étaient déjà couchés et endormi et le troisième était hors de la maison.

je le trouvais à mon retour assit près de la porte et pleurant à chaud de larmes.

je lui demandais le sujet de sa tristesse il dit "j'ai pris ce matin à ma mère sans qu'elle en ait rien vu une des trois pommes que vous lui avez apporté je l'ai gardé longtemps mais comme je jouais tantôt dans la rue avec mes petits frères un grand esclave qui passait me l'a arraché de la main et l'a emporter j'ai couru après lui en la lui redemandant mais j'ai eu beau lui dire qu'elle appartenait à ma mère qui était malade que vous aviez fait un voyage de 15 jours pour aller aller chercher tout cela a été inutile il n'a pas voulu me la rendre et comme je le suivais en criant après lui il se retourner m'a battu et puis c'est mis à courir de toute sa force par plusieurs rues détournées de manière que je l'ai perdu de vue .

Depuis ce temps-là j'ai été me promener hors de la ville en attendant que vous revinciez et je vous attendais mon père pour vous prier de ne rien dire à ma mère de peur que cela ne la rende plus mal"

En achevant ces mots et il redoubla ses larmes.

le discours de mon fils me jeta dans une affliction inconcevable , je reconnu alors l'énormité de mon crime et je me repentis mais trop tard d'avoir ajouté froid aux a postures du malheureux esclaves, qui sur ce qu'il avait appris de mon fils avec composé la funeste fable que j'avais prise pour une vérité.

Mon oncle qui est ici présent arriva sur ses entrefaites il venait pour voir sa fille mais au lieu de la trouver vivante il a pris par moi-même qu'elle n'était plus car je ne lui déguisé rien et sans attendre qu'il me condama je me déclarais moi-même le plus criminel de tous les hommes.

Néanmoins au lieu de m'accabuler de juste reproche et Joignit ces pleures aux miens et nous pleurames ensemble 3 jours sans relâche.

Lui il a perdu une fille qu'il avait toujours tendrement aimé et moi celle d'une femme qui m'était cher et dont je m'étais privé d'une manière si cruelle et pour avoir trop légèrement cru le rapport d'un esclave menteur.

Voilà commandeur des croyants la voeux sincère que votre Majesté a exigé de moi vous savez à présent toutes les circonstances de mon crime et je vous supplie très humblement d'en ordonnée ma punition.

Quelques rigoureux est-ce qu'elle puisse être je n'en murmurerai point et je la trouverai trop légère >>.

À ses mots, minuit sonna sur l'horloge présente dans la chambre, coupant ainsi l'attention que portait le sultan pour les paroles enivrante d'y jeune Shénazade.

_ j'imagine que c'est terminé, encore une fois tu me laisse sur ma fin . Je me demande ce que fera le souverain de ton histoire chéri .

_ heu je il ...il faudra attendre demain mon seigneur. Mais si je...puis je me permettre que ...que feriez vous à la place du souverain de cette histoire ? Prenant conscience de ses paroles il commença aussitôt à les regrettée. Je je suis désolée je n'aurai pas du....

Le sultan attrape le menton de Shénazade et sans préavis, l'embrassa goulûment.

Il lécha ses lèvres avec faim et dévore le souffle de ce dernier qu'il forçait à ouvrir la bouche .

Shénazade était tellement surprit qu'il resta immobile pendant un instant , mais lorsque l'air viens à manquer, il pousse un long gémissements d'agonie.

Un gémissement qui fit tremblé sharya, avant que celui ci ne le relâche puis lui chuchote à l'oreille.

_ j'aurais tué, l'oncle , le mari et tout les esclaves de la ville!

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