épi 7

C'était étrangement calme , beaucoup trop calme, un calme qui ne présageait ni une calamité imminente mais , ni une paix éternelle .

Depuis cette nuit , ce palais qui ressemblait plus à une poudrière qui pourrait engendrer une explosion de sang en toute instant était aussi calme que les doux jour de plus.

Le Sultan qui était continuellement entouré d'une pénombre absorbant la lumière avant des yeux semblant perdu dans ses pensées et donnait l'impression d'avoir la tête beaucoup plus reposé.

Les gens autour n'avait pas remarqué ce ridicule mais radicale changement mais Salma avait assisté à la vie de shariar n'était pas dupe .

Au début elle croyait que celà n'était une création de son imagination. mais rapidement cette illusion semblait bien réel , aussi réel que le soleil frappant les terres d'Osaka.

_ tu as l'air heureuse Salma .

Lui fit remarquer Naël qui dressait le lit de Shénazade.

_ hmm cela ce voit tellement ?

_ je ne te connais pas vraiment et à vrai dire te connaître ne m'intéresse pas vraiment mais ta joie insouciante ....m'énerve .

Naël cesse son activité pour fixer Salma .

_ étrangement cela ne m'étonne pas.

_ grrr comment peut tu être heureuse alors que la vie de million de femmes est encore en danger . Tu pense que c'est parce que ce tyran à stopper un temps ses activités cela va durer ?!

_ .......

_ bien sûr que non c'est un meurtrier un bourreau , il reprendra rapidement ses habitudes immonde !

À cette derrière parole , Naël trébuche et atterri lourdement au sol .

Salma venait de lui donner une gifle qui venait de pourfendre l'air .

Naël leva la tête croisant son regard , un regard sombre , brute dénué de toute émotions.....des caractéristiques qu'elle n'avait jamais vu chez cette dame noble au comportement si tendre et sans défense.

_ ton impolitesse dépasse les bornes , tes arguments et ton ressenti son normal mais tu n'as pas le droit d'imposer tes graine de haine dans leurs cœurs des autres.

Toi dons la conscience est obstrué par le rouge ta haine n'est plus capable de percevoir la lumière , tu parle comme si le sang par le sang résoudrait nos problèmes.

_ grrr je ....

_ dois je te rappeller que celui qui a bannie les troupes de Barbare de l'ouest est shariar ? Celui qui a obtenu des droits pour les prostituées des cartier rouges est shariar, celui à imposer une éducation gratuite au enfant de 4 à 12 ans c'est encore lui .

C'est grâce à lui qui tu as échappé à un mariage forcé à tes 13 ans car il a condamné cette pratique !

_ et alors en compensation il prend le sang de femme innosante !? Tu essaies juste de justifier ses actions !

_ .....non .....pas du tout mais je ne crois pas qu'il soit totalement une abomination .

Naël regard son aimé son âme bouillonnait au plus profond de son cœur , le sultan avait accomplie des choses incroyables .cependant..... tout n'était que leurre , c'est un loup déguisé en agneau....le diable en robe blanche.

_ un....un problème ?

Shénazade venait de sortir de sa salle de bain recouvert d'un peignoir seulement . Ses longues cheveux ténébreux recouvraient une partie de son visage , ils degoulinaient de goutes d'eau finent et lissent .

Ses yeux bleus éclairer pas les rayons du soleil apporter grâce au fenêtre donnait une autre dimension à son apparence.

Salma retrouve son sourire habituelle tendice que Naël se relève.

_ non tout va bien , Naël à seulement trébucher rien de grave .

_ tout va bien Naël ?

Demande Shénazade inquièt.

_..... Oui , rien à signaler.

Soudain la porte de la chambre s'ouvre en grande , fanda venait de faire son apparition .

Les yeux grands ouverts , les joues couverts de trace de larme , la bouche haletant rapidement et la transpiration dégoulinant de son front.

Elle tombe au pied de Shénazade et lui saisit fermement les mollets , le regard avec des yeux désespéré.

_ je vous en supplie Shénazade....aider ma grande sœur , svp elle va mourir !

La confusion et le choc se lisaient sur le visage des trois personnes en particulier celui de Shénazade .

Après être installé dans une posture plus confortable et dois demande de Naël , Fanta commence son monologue.

_ hier ma sœur à été accusé d'avoir essayé d'avoir un rapport charnel avec le frère de mon beau frère dans la chambre conjugal.

Mon beau frère à réussi à s'extirper de la situation.

Ce dernier à tous dit à mon beau frère qui en rentrant brusquement à la maison avec trois hommes battus ma grande sœur avec violence en utilisant des bâtons.

Ils ont failli la tué mais mon neveu de 15ans c'est interposé en protégeant ma sœur et en proliférant des paroles contre le frère de mon beau frère.

mon beau frère là aussi battus avec la même intensité que sa mère , par l'intervention du voisinage ma sœur et mon neveu sont devant la cour du sultan avec toute les ministres et enuque . Fanta recommence à pleurer avant de reprendre. Elle risque l'échafaud , je vous en supplie sauvé là !

Le cœur de Shénazade se pince en écoutant cela , c'était la première fois que l'annoncence des yeux de Fanta était remplacé par un désespoir si puissant que la couleur de ses yeux c'était assombri .

_ grrr sa va alors recommancer . Grogne Naël . Fanta tu vas devoir être forte mais .... c'est peut être finie pour elle , le sultan ne laissera pas cela sans effusion de sang .

_ n..non non ma grande sœur non non pourquoi mon Dieu , je suis sur qu'elle est innosante ....elle elle les gens veulent juste la calomnié.

_ hmm! Rien n'est encore joué Fanta ta sœur peut être encore sauvé , la sentence n'a sans doute pas été annoncée il y'a de l'espoir .

Je vais aller assister à l'audience pour vous tenir informé .

_ vous vous en en êtes sur ?

_ fait moi confiance Fanta .

Sur ce , Salma sortie de la chambre direction la cour du souverain.

Shénazade ne savait pas comment réconforté les gens alors doucement il etrain le corps de la jeune fille.

_ tout ira bien , garde la foi .

Fanta laisse échapper quelque larmes avant d'enfoir son visage dans le creux du coup de Shénazade et de lui rendre affectueusement son étreinte .

Naël qui les observait n'avait rien dit ni fait car pour elle, fanda devrait déjà fait son deuil ...... c'est le mieux.

Shénazade était vêtu correctement, avec engoisent tous attendent le retour de la dame noble et après plusieurs heures , elle montre enfin le bout de sa silhouette.

_ je suis désolée Fanta .... elle sera pendu demain et ton neveu est chez ta mère.

_ nooooonnnnnnn ! Ma sœur je refuse dite moi que ce n'est pas vrai!

Annonce désespérément Salma en attrapant les avant bras de Salma .

_ j'avais dis qu'il n'y avait pas d'espoir.

_ tu te trompe nael , il y'a encore de l'espoir . Nous pouvons sauver cette femme n prouvant son innocence.

_ tu délire et même si c'était le cas cela est casiment impossible pour nous de l'innocenter avant sa condamnation.

_ si avec un délai .

_ un délai ?

Demande Shénazade .

_ oui ...un délai que seul vous pouvez nous accordé Shénazade.

Salma se met à genoux ,front au sol à ses pieds. Raconter une histoire au sultan ......une histoire suffisamment longue et qui nous accorderait au moin un délai d'une semaine .

_ une Une histoire mais je ne.....

_ s'il vous plaît , chaque soir raconté une histoire au sultan et à chaque fois que minuit sonne répéter là à demain . Le sultan serra focaliser sur votre histoire au point d'en oublier l'exécution de la sœur de Fanta .

Shénazade frisonne . Être en contact avec le sultan le terrorise .... surtout qu'il restera avec lui pendant la moitié de la nuit .

Son rythme cardiaque s'accélère , battant dans sa poitrine comme un tambour.

Mais il fut sortie de sa torpeur lorsque Fanta rejoint Salma dans la même position de supplications.

_ svp Shénazade ailler pitié.

_ je je.

Shénazade serre les points, il ne voulait pas ..il ne voulait pas . Il n'était pas un héro pourtant malgré sa peur et sa résistance , il ne pouvait supporté la douleur de Fanta car il savait à qu'elle point perdre un membre de sa famille est douloureux.

_ c'est d'accord, je le ferais Fanta .

Le soir venu , Salma accompagne Shénazade au porte de la chambre du sultan et lorsqu'ils arrivent devant les grandes portes .

_ Shénazade, je sais que c'est un supplice pour toi mais je t'en pris prend sur toi . Je suis sur qu'il ne te feras rien .

Shénazade ne répondit pas immédiatement.

_ je .....je j'espère.

Salma eu mal au cœur mais elle toc à la porte.

_ mon seigneur , Shénazade voudrais vous voir .

La réponse ne tarda pas à donner son autorisation, après un dernier regard entre eux , Shénazade entra.

_ bon bon bonsoir.

_ es tu Venu siamant pour perdre ta virginité enfin si tu en a encore une .

Le sultan , était emballé dans une moindre couverture fixant une bougie dons la flamme dansait agréablement.

Sont regard était plongé dans un lointain passé, ce que Shénazade trouvait étrange , ce gros tigre à la férocité légendaire était là comme s'il était blessé à une de ses pattes.

_ je suis venu vous raconter une histoire....je je ....

_ une histoire ?

_ ou...oui si vous le voulez bien votre majesté .

_ approche et installe toi là.

Le sultan pointa un cousin du doigt et Shénazade se met délicatement là.

_ ne te méprend pas , je ne suis juste pas d'humeur aujourd'hui cependant vue que le sommeil me fuit lui aussi. J'ai du temps à perdre.

Shénazade deglutine en secouant la tête pour affirmer qu'il comprenait.

Salma avait raison, le sultan ne lui fera rien ,enfin cette nuit en tout cas.

Inspirant un grand coup il entre les lèvres et raconta.

_ Un jour , un jeune calife avertit le grand vizir Jafar de se trouver au palais la nuit prochaine << vizir >> lui dit il << je veux faire le tour de la ville et m'informer de ce qu'on lui dit . Et particulièrement Si on est content de mes officiers de justice s'il y en a dont on est raison de se plaindre nous les déposerons pour en mettre d'autres à leur place qui s'acquitteront mieux de leurs devoirs. Si au contraire il y en a dont ont se loue, nous aurons pour eux les égards qu'ils méritent>>.

le grand vizir c'est en rendu au palais à l'heure marqué .

le calife lui et Mesrour chef des eunuques se déguiser pour n'être pas reconnu et sortir tout trois ensembles.

Ils passèrent par plusieur place et marché.

Puis en entrant dans une petite rue , ils virent au clair de la lune un bonhomme à la barbe blanche qui avait la taille haute et qui portait des filets sur sa tête.

il avait au bras un panier pliant de feuilles de palmier et un bâton à la main .

<<à voir ce vieillard>> dit le calife<< il n'est pas riche abordons-le et lui demandons l'état de sa fortune>><> lui dit le vizir << qui es-tu? >> <> répondit le vieillards << je suis pêcheur mais le plus pauvre et le plus misérable de ma profession. je suis sortie de chez moi tantôt sur le midi pour aller pêcher et depuis ce temps-là jusqu'à présent je n'ai pas pris le moindre poisson. cependant, j'ai une femme et deux petits-enfants et je n'ai pas de quoi les nourrir>>.

le calife toucher de compassion des taux du pêcheur, lui dit <>

le pêcheur à cette proposition oubliant toute la peine de la journée pris le calife aux mots et retourna vers le tigre avec lui jiafar et mesrour en disant en lui-même [[ ces seigneus paraissent trop honnête et trop raisonnable pour ne pas me récompenser de ma peine . et quand il ne me donnerait que la centième partie de ce qu'il me promette ce serait encore beaucoup pour moi ]].

Ils arrivèrent au bord du tigre le pêcheur jeta ses filets puis les ayant tirés il emmena un coffre bien fermé et fort pesant qui s'y trouve.

le calife lui fait compter aussitôt cent sequins par le grand vizir et le renvoya.

Mesrour porta le coffre sur ses épaules par l'ordre de son maître qui dans l'empressement de savoir ce qu'il y avait dedans retourne au palais en diligence .

Là le coffre ayant été ouvert on y trouve un grand panier pliant de feuilles de palmier fermé et cousu par l'ouverture avec un fil de laine rouge .

pour satisfaire l'impatience du calife ,on ne se donna pas la peine de le découdre on coupa promptement le fil avec un couteau et en tira du panier un paquet enveloppé dans un méchant tapis et lié avec de la corde.

la corde délier et le paquet d'effaits on vit avec horreur le corps d'une jeune dame plus blanc que de la neige et coupé par morceaux.

De la surprise Il passa en un instant à la colère et lancent au vizir un regard furieux , il lui dit<< ahhhh malheureux , donc c'est ainsi que tu veilles sur les actions de mes peuples? on commet impunément sous ton ministère des assassinats dans ma capitale et l'on jette mes sujets dans le tigre afin qu'il crie vengeance contre moi au jour du jugement . si tu ne venge pas promptement le meurtre de cette femme par la mort de son meurtrier. je jure par le salon de Dieu que je te ferai pendre toi et 40 de ta parenté !>>

<> lui dit le vizir <><< Je te donne que 3 jours pour cela>> reparti le calife <> .

Jafar se retira chez lui dans une grande confusion de sentiments<< hélas >>disait-il <

Un autre que moi tirerait de prison à misérable et le ferait mourir pour contenter le calife . mais je ne veux pas me charger ma conscience de ce forfait et j'aime mieux mourir que de me sauver à ce prix-là>>

L'ordonnat aux officiers de police et de justice qui lui obéissait de faire une exacte recherche de criminel . Ils mirent leur gens en campagnes et si mirent eux-mêmes ne se croyant guère moins intéressé que le vizir en cette affaire.

Mais tout leur soins furent inutile quelques diligences qu'ils y apportèrent ils ne pur découvrir l'auteur de l'assassinat et le visé hier jugea bien que sans un coup du ciel c'était fait de sa vie.

Effectivement le troisième jour étant venu. un huissier arriva chez ce malheureux ministre et le somma de le suivre ,

le vizir obéit et le calife lui ayant demandé où était le meurtrier <> lui répondit-il les larmes aux yeux

<< je n'ai trouvé personne qui est pu m'en donner la moindre nouvelle>>

le calife lui fit des reproches remplies d'emportement et de fureur et commanda qu'on le pendit devant la porte du palais lui et 40 de sa parenté.

Sa parenté venait d'une grande famille perce dons était issue le vizir Jafar . Pendant Que l'on travaillait adresser les potences et qu'on se saisissait des 40 de sa parenté dans leur maison .

un crieur public alla par ordre du calife faire ce cri dans tous les quartiers de la ville <>

Lorsque tout est prêt le juge criminel est un grand nombre d'huissiers et du palais amenèrent le grand vizir avec les 40 de sa parenté disposées chacun au pied de la potence qui leurs était destiné et on leur passant autour du cou la corde avec laquelle il devait être levé en l'air.

Le peuple dans toute la place était remplie ne pu voir ce triste spectacle sans douleur et sans verser de larmes .

car le grand vizir Jafar et sa parenté etaieny chéris et honoré pour leur probité leur libéralité et leur désintéressement , non seulement à Bagdad mais même partout l'empire du calife.

Rien n'empêchait qu'on exécute à l'ordre irrévocable de ce prince trop sévère et on allait ôter la vie au plus honnête gens de la ville.

lorsqu'un jeune homme très bien fait et fort proprement vêtu fondit la presse ,pénétra jusqu'au grand visir et après lui avoir baisé la main<< souverain ville chef des émirs de cette cour refuge des pauvres, vous n'êtes pas coupable du crime pour lequel vous êtes ici. retirez-vous et me laisser expier la mort de la dame qui a été jeté dans le tigre c'est moi qui suis son meurtrier et je mérite d'en être puni>>

Quoi que ce discours causa beaucoup de joie au vizir et ne laissa pas d'avoir pitié du jeune homme dans la physionomie au lieu de paraître funeste avec quelque chose d'engageant et il allait lui répondre lorsqu'un grand homme d'un âge déjà fort avancer ayant aussi fondu la presse arriva et dite <><< seigneur !>> Repris le jeune homme en s'adressant au vizir

<< je vous jure que c'est moi qui ai commis cette méchante action et que personne au monde n'en est complice>><< mon fils >>interrompit le vieillard <

Laissez-moi donc sacrifier ma vie pour la vôtre >> <>ajouta le jeune homme en s'adressant au grand vizir<< je vous le répète encore c'est moi qui suis l'assassin. faites-moi mourir et ne différer pas.>>

_ mais qu'elle est donc cette situation incongrue ? Qui est donc le criminel de cette histoire ?

Le sultan avait un regard curieux , ses yeux essayant de percé la solution à ce problème et ses oreilles attendait avec un empressement déranger la suite des mots de Shénézade.

Shénazade regarda l'horloge qui venait le sonner minuit.

_ navré mais votre majesté doit se reposer le reste de la nuit pour assumer ses fonctions de la journée .

_ hmmm c'est vrai ....dans ce cas , Demain à la même heure retrouve moi ici j'ai hâte d'écouter la lui .

Shénazade pour une raison inconnue était étrangement alaise avec la présence de ce tyran , alors il se leva doucement et sortit de la pièce sans se retourner laissant sharya dans ses pensées.

Lui qui n'avait pas le sommeil s'endormit paisiblement malgré une imagination débordante.

prochain chapitre le 8,9

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