Chapitre 18

Attention : ce chapitre peut contenir des scènes pouvant choquer les lecteurs (ex : Sexe..Érotique)

PS: J'essaye à chaque fois de faire deux épisodes pour un personnage mais comme l'autre histoire a un peu débordé et que l'attente de scènes popcorns en plus (demandé par vous, mes très chères lecteurs); je continus donc cet épisode !

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Désolée pour l'attente...

Je regarde la mienne, elle vole vers lui et je ne suis pas épuisé.

Les draps ne me semble plus glacé, ils sont même brulant.

Mon corps frétille d'extase et ma bouche remplit de sp*rme déglutit de temps à autre.

Mes yeux scintillent et attrapant ses cheveux de couleur lunaire, ses gémissements amplifient la pièce, dehors une pluie diluvienne tombent sur le toit rugissant, le vent hurle de tout son être malgré cette ambiance pas tout à fait rassurante; nous continuons à nous baiser mutuellement.

Mes cris et le siens composent une musique étrange et nos corps qui rebondissent sur celui de l'autre font les instruments, nos souffles; eux marquent le tempos.

Le décor est aussi important ! Le lit couine d'où les planches craquent à chaque coups violents quand je m'agrippe sur les rebords de lit ou quand c'est lui, assit et que j'entre en lui.

Je participe

"Ah....ah....c'est...bon...mmmmm..ghhhhhh...gmmm....Houch....là...là.......oh...oui...mm...rrr..."

Je l'enlace et tiens fermement son dos gluant

"Ah...ah...ah...ah...ah................"

-:"Je veux...je veux...........mmmmm....mmmmmm....mmm....ah..."

J'ouvre un œil interrogateur

"Tu.....~ veux ..........quoi ?.....mmmm...ou...ou....ou....ah....."

-: "Je te veux toi, toi et toi....toi seul......AH.....tu.....si....bon....aghghh...Toshiiiiiiiiiiiii.....Je...te veux tellement pour moi...." je reste imperturbable mais rougis de plus belle.

Il me veut ? Moi ?

"AH...."

-: "Je viens.......ah...."

[...] Le matin au château

Je finis de préparer mes affaires, réorganisa ma veste et partis de cette magnifique pièce.

Les soldats m'attendent devant l'entrée et je vois le roi.

Il vient de me rejoindre et je le remercie gracieusement en disant

"Merci pour votre hospitalité, monseigneur." Il dit dans mon oreille

-: "Ne t'approche plus jamais de mon fils !" Ces yeux cruels me jettent des regards mauvais et je lui demande à haute voix

"Et la paix monseigneur ?" je suis troublé, c'est vrai qu'Eiji n'est pas venu me saluer..ce serait-il passé quelque chose en rapport avec moi ?

-: "La paix se maintiendra mais ne touchez plus jamais à mon fils, vous avez compris ?" dit-il avec colère, je m'incline.

"Je ferais de mon mieux..." Une présence derrière moi, me fis frémir. Je n'ose pas tourner la tête et je pars sans regarder en arrière.

[...] De retour au pays de Gifu.

La belle lumière des prés me donne une impression de légèreté.

La calèche avance toujours et je regarde le blé scintillant. Le ciel est bleu mais des nuages timides effleurent les contrées, le vent joue dans mes cheveux et les dômes de pierres me rappellent de vague souvenir.

Le soleil réchauffe mes mains glacés et je ferme les yeux prenant un bain de soleil...que c'est agréable.

Je respire un grand coup, l'odeur d'herbe mouillée me chatouille les narines et je fixe au loin les collines vertes.

Je me couche contre ma fenêtre et je me repose.

Un rêve arrive ensuite...sur une étendue d'herbe je touchais les herbes et je jouais avec les fleurs.

Je reniflais un pissenlits, je souriais et je me retournais et la tendit à quelqu'un.

A un enfant lumineux et chaleureux, il la prit...je ne me souvenais plus de sa voix mais je savais qu'il m'avait remercier.

J'avais sauté sur lui et on rigolait tous deux, lui sans visage...je ne me souviens plus de son visage.

Toutes les photos de lui, ont été brulé et ce ne sont que des souvenirs vagues que j'ai de lui.

Je me réveille et j'aperçois les portes de l'immense château.

J'ouvre la porte et je vois avec surprise 4  mains tendues vers moi pour m'aider à descendre.

Je rougis un peu, c'est les princes.

Je reconnus Hiroaki, Isao et Katsuno et Masaki

Je n'ose pas les prendre et préfère sauter, ils sont un peu étonnés; je me retourne et m'incline en les saluant

"Bonjour mes très chères princes."  Ils ne disent rien puis Hiroaki avance, me lève le menton

-: "J'ai appris que vous vous êtes évanoui pendant votre voyage dans le pays de Miyagi."

Il me fixe et Isao farceur le pousse de moi et me prend sous ses épaules, me renifle et dit

-: "Votre odeur m'a manqué" sourit-il avec sarcasme. Katsuno, délicatement me tire vers lui et transmet

-: "Ne le touchez pas avec vos sales mains..." il m'observe avec finesse et trop pris dans son observation il ne remarque pas que Masaki me lève dans les airs pour me prendre dans ses bras en annonçant

-:"Il est à moi !" Dans quoi je me suis embarqué...franchement.

Ils commencent à se disputer me promenant de bras en bras comme un sac précieux pour finir je sors de cette ronde et grogne

"Arrêtez, bon sang !" ils me fixent tous maintenant, certains rougissent et le roi arrive au bon moment.

-:" Mon fils...(je me raidis) je suis ravie de te revoir, comment s'est passé tes voyages ? Venez nous avons préparé un festin pour cette nouvelle ère de paix" dit-il en s'adressant aux princes.

Je m'installe dans un fauteuil, ils se jurent encore pour savoir qui va à côté de moi mais sa Majesté les fait taire.

Je ne mange pas trop et sa seigneuresse parle

-: "Comment allez-vous depuis votre évanouissement ?" je le regarde, crispé...il met encore le sujet sur la table.

"Beaucoup mieux depuis...le prince Eiji a eu l'amabilité de bien s'occuper de moi." Les princes me fusillent du regard.

-: "Je n'étais pas au courant que vous ne supportiez pas la chaleur.." Tous les regards se tournent cette fois-ci vers Masaki qui n'a fait aucun commentaire depuis.

Je dis pour le soulager

"C'est vrai que je ne vous avez pas prévenu mais ce n'est pas la faute de Masaki..il m'a quand même accueilli avec les plus grand soins et il s'est occupé de mes désirs littéraires (précision quand même)" Masaki me jette un regard qui veut tout dire.

Je n'examine aucun de mes prétendants et le roi continu avec ses questions à la c*n.

-: "Il parait que vous vous êtes blessé plusieurs fois pendant votre voyage et retardé le convoi et essoufflé les soldats..."

Isao l'interrompt

-:"Votre Majesté si je peux me permettre, il s'est bien blessé chez nous mais c'est parce qu'il a sauvé avant tout mon peuple et moi-même quand il y a eu l'attaque des créatures divines." Je suis un peu troublé

Katsuno prend le relais

-:"Toshi a fait preuve de courage et d'audace à l'entrée de notre pays, il a sauvé ma mère qui s'était faite attaquer par des bridgeant; il n'a pas hésité une seul seconde pour les repousser." Je me renferme un peu

Masaki en fait plus

-: "Et moi, il a sauvé une esclave pendant un conflit des commerçants.." Je ne dis rien et énonce

"Majesté c'est vrai que je me suis blessé mais je n'ai jamais demandé quelconque aide à vos soldats, il me semble..."

Le roi ne parle plus, et j'annonce à tous

"Veuillez m'excuser." Je m'incline une dernière fois et pars.

J'entends les chaises sur le carrelage et les pas de plusieurs personnes me suivant.

Je ne regarde pas en arrière trop occupé.

J'arrive à ma chambre et je m'enferme, j'enfonce la clé dans la porte et la secoue ensuite la laisse; je ne m'attarde pas aux fenêtres et les ferme en noircissant la chambre avec les volets et les rideaux.

Je m'installe sur mon bureau et je pousse un soupir..enfin seul.

Je commence à réfléchir et me pose pour enfin penser.

Comment suis-je arrivé dans ce monde ? Et pourquoi ?

Si je suis mort pourquoi mon corps et mon âme ne sont toujours pas disparues ?

Résumons un peu la situation quand j'étais dans mon vrai monde...

Je note sur une feuille : Cherche de mon apparition

"J'ai longtemps étudié à l'étranger, je suis devenu militaire pour fuir ma famille et gagner mon propre argent.

Je n'ai aucun ami et aucune relation.

J'ai aussi appris à temps partielles la médecine pendant de longue années et..." je me bloque et je continus à écrire.

"Etant mort, je n'ai pas pu passer le concours et rentrer dans un vrai métier.

Pourquoi je suis mort d'ailleurs ? ....(j'essaye de me souvenir et réécris) J'ai participé à une guerre en Corée, j'espionnais mes adversaires; comme ma présence n'est pas remarquable je n'ai pas été tué.

J'étais au-dessous d'un arbre...un arbre..réfléchis..(je deviens noir et rigole, rigole encore.)

(Je pleure de rire et note)

Je suis mort car j'ai une branche est tombée sur ma tête."

Je pose ma plume..je me lève et cherche dans mes affaires, un bique.

C'est tellement baveux la plume, je vais plutôt utiliser ça..ma seule preuve que je ne fais pas parti de ce monde.

Mais donc où a disparu la princesse ? J'ai pris sa place ?

"Ah....j'ai mal à la tête.." j'entends des bruits d'épées en dehors et je veux sortir.

Je cache dans un tiroir mes notes et je sors avec mon épée.

J'observe le couloir, personne.

Je marche à pas feutré et je gondole comme un escargot sur les murs.

J'arrive à sortir, je respire et les coups d'épées continuent à frapper.

Je marche vers ce son envoutant et je vois avec surprise les gardes s'entrainer.

Je m'assois sur une rambarde en les observant.

Yori (mon conseiller) m'informe en apparaissant

-: "Vous voulez essayer, prince ?" je le regarde avec surprise et demande

"De les battre ?" il hoche de la tête.

"Bah..si j'ai le droit." je rentre dans la mini arène, les chevaliers rigolent en me voyant et un homme assez costaud vient devant moi.

-: "Ne vous retenez pas." sourit-il

"Vous aussi." Je prends mon fourreau sans dégainer.

Il ne dit rien et j'ajoute

"Ça vous va si j'utilise mes propres techniques ?"

Il sourit avec sarcasme et positive.

-:" Faites comme vous voulez..." je comprends déjà sa pensée mais ne commente rien et laisse faire le suspens.

Je ne dégaine et il se jette sur moi, je décale mon pied et lui enfonce mon fourreau dans son ventre d'un coup sec. Je suis dos tourné et il m'attaque cependant je me retourne d'une longueur d'avance et le frappe en plein visage, fais un grand pas de côté et le pointe sur le dos; il tombe à la renverse.

Il ne se passe rien puis les acclamations commencent à flamber.

Je le regarde, il a perdu.

Les enchainement voletés de mes mouvements fait tomber mes adversaires uns par uns et je n'ai toujours pas dégainé mon épée.

-: "J'ai entendu dire que les soldats qui l'accompagnaient pendant le voyage, l'ont vu dégainer son épée et il parait qu'il n'est plus le même homme..car il devient trop dangereux pour l'empêcher de se faire toucher.

Ils lui ont donné un surnom : la cigogne." dit un chevalier sur les rambardes en expliquant aux autres.

Un homme remarque

-: "Maintenant que tu le dis..c'est vrai. Ses coups sont rapides et silencieux, ses cheveux gris-blancs marquent encore plus cette ressemblance en plus avec sa beauté de couleur pâle; il ressemble bien à une cigogne.

(imaginez toujours qu'il a les yeux verts svp...)

Je tourne autour de l'arène et annonce

"Personne d'autre ?" je souris en ne voyant aucun participant avancer mais une voix derrière moi clache le silence

-: "A mon tour, alors." Ce fut Hiroaki qui s'avançait vers moi.

Fin du chapitre

J'espère que vous avez apprécié !

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BONUS : LE PRONOSTIC QUE M'A DONNE LE MEDECIN

Rappel :

-: "Oui, c'est ça. Vous êtes bien Jun ?" il me fixe ensuite; son regard de braise me fait rougir.

Du calme..du calme...ne tombe pas amoureux de ton kiné.

"Vous êtes **** ?"

-: "Appelle moi Daisuke. Où est-ce que vous avez mal concrétement ?" dit-il sans gêne.

Je rougis et balbutie

"A la cou*le gauche"

-: "Montre-moi ça !"

Suite

"Hum..vous n'avez pas reçu le constat fait par mon médecin traitant ?"

-:" Bien sûr que si mais comme tu dois le savoir, je suis maintenant ton kiné; tu dois donc m'obéir !"

Il me colle au mur, je rougis de plus belle

"Je dois donc exécuter vos ordres ?" Il hoche de la tête, regarde sa feuille et dit

-: "Déshabille toi."

Je ne dis rien et baisse mon pantalon, son regard revient sur moi quand j'ai totalement enlevé mes habits de bas.

Il fixe mon engin et mes couilles.

Il s'approche, je recule un peu et il m'assoit dans un canapé.

Il met des gants blancs et commence.

C'est un kiné de confiance..c'est un kiné de confiance.

Il attrape mes couilles et les massent, je gémis

"Mmmmm...ah...aille...ah.." il m'observe et continu d'entreprendre ses massages autour de mes boules

"Ah...ah...ah.." il me fixe cette fois-ci et son visage vient vers moi quand...

Fin désolée..j'ai arrêté en pleine scène. Je suis diabolique eheh

Bye les choux, je vous aime !

PS: Vous préférez quel bonus ? Je continus lequel ?

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