Chapitre 16

Le matelas se retrouve cassé le lendemain et des flaques blanchâtres liquident le sol que les domestiques lavent avec horreur.

L'odeur constante du sueurs d'hommes remplit la chambre tout à fait dérangée.

Des livres se sont retrouvés par terre, plusieurs objets se sont brisés et des draps déchirés se sont tassés n'importe où.

Les domestiques ont des énormes cernes et les chandeliers se sont éteins ou détruit depuis bien longtemps.

Mon corps me lance et je soupire de temps en temps ensommeillé.

Mes jambes sont lourdes et mon dos me gratte.

Je dois repartir l'après-midi et le prince m'embrassa encore une fois en ayant un air triste quand je le quitta.

Je m'installe sur mon dromadaire et nous partons vers les ports d' Alexandrie (Alexandra comme la chanson mdr, dans leurs mondes ce n'est vraiment pas là)

Le soleil brule le sillage désertique et nous avançons lentement, il n'y a rien à l'horizon à part une grande étendue de sable et de collines.

Mes lèvres sont sèches et mes yeux à moitié fermé me font mal à cause des grains de sable qui envahissent mes habits.

Aucun vent, aucune terre verte, aucun nuage ni aucune vie ne prospère ici.

Il n'y a que ce soleil qui massacre nos habits de ces rayons brulants.

Nous ne devons pas abuser de notre eau et il est impossible de faire pause.

Le sol est instable et les collines jaunes envahissent l'espace silencieux et mortel.

Les sueurs sous nos épaules sèchent et nos souffles deviennent de plus en plus réguliers.

Ma tête commence à me faire mal et je tousse régulièrement depuis tout à l'heure.

Les craquements des sabots de ma monture me rendent fou et je commence à ne pas me sentir bien.

Des ombres noirs apparaissent sur le chemin mais le dromadaire n'a pas l'air impressionné, il continu sa route.

Ces ombres dansent et disparaissent de temps à autres; elles n'arrêtent de me taquiner et virevoltent à côté de moi dans leurs danses trop énigmatique pour comprendre ce qu'elles font.

Elles sautent derrière le dromadaire et tournent en rond, une ronde à l'infini.

Je commence à perdre la tête en imaginant qu'elles m'entrainent vers le sol, je me redresse et me baffe.

Il n'y a rien à l'horizon à part toujours cette mer de sable, je recommence à délirer et je tombe de mon dromadaire.

[...] Des chants sourdinent dans mes oreilles, des chants où les paroles n'ont aucune lettre.

Des lumières s'allument dans le noir et dansent, encore et encore.

Elles sourissent, elles fredonnent toujours la même chanson en boucle tellement cela devient glauque.

Je me bouche les oreilles, je cris et j'ai mal aux tympans.

"Taisez-vous ! Taisez-vous !" je hurle.

Je lève ma tête et je continu à perdre la boule.

"Ah...ah...ah..." elles se taisent et je vois une image floue apparaitre.

Ce petit filtre à couleur jaune montre un enfant se cajolant la tête et en pleure; cet enfant a un des bandages sur tout le corps; il pleure encore, seul.

Soudain des mains fur et à mesure se posaient sur lui, l'enfant se levant grandi en rayonnant.

[...]je me réveille en pleure mais pas de tristesse...mais en étant totalement bouleversé par l'image tellement chaleureuse que je recherche depuis toujours, ce rêve m'a totalement touché.

Je suis dans une chambre où le bois noir constitue les murs, le ciel est gris et je me lève.

J'ai soudain froid, mais remarque qu'on a changé mes habits, ils sont d'un blanc pur ce qui distingue avec mes cheveux de couleurs gris et blanc.

(imaginez svp qu'il a les cheveux courts et gris, merci)

Je regarde dehors, il neige.

Mes yeux s'illuminent, je vois des cigognes voler dans la brume des montagnes et le blanc lumineux entourent le paysage.

L'eau glaciale sort et s'illumine, les tas de neiges recouvrent les bâtiments et tout semble paisible.

J'ai tellement envie de sortir....

Je m'enfuis de me chambre pour arriver dehors sous le ciel gris, je souris parce que je me sens à l'aise.

J'adore tellement le froid, l'hiver; la neige, la pluie.

Je suis reposé à nouveau et je me sens libre dans cet atmosphère constant et rassurant.

Une voix d'homme vibre dans le silence de la pluie de neige

-: "Bonjour votre Altesse, le prince." Je me retourne surpris par son arrivé (je ne l'ai pas entendu venir).

Cet homme étrange s' incline avec respect et son visage est caché par un masque robotique, bleu.

" Bonjour, pouvez-vous me dire où nous sommes ?" je réponds. Toujours incliné, ne se levant pas il m'explique

-: "J'espère que vous allez mieux mon prince..." sa voix fraiche et directe commence à m'intriguer et je commente

"Tu peux te lever, donne-moi ton nom s'il te plait." Surpris il se redresse et il est beaucoup plus grand que moi

-: "Je m'appelle Eiji prince, je suis le fils de sa Majesté **** du pays Kitami." Il a grande allure et ses mains sont majedtueuses et très blanche.

"Bonjour Eiji, appelle moi Toshi et rassure toi je vais bien." je dis totalement en confiance.

(imaginez qu'il a les yeux verts svp)

Je tends ma main, il ne bouge pas.

Je lui prends sa main sous sa plus grande confusion (il est gelé) et je la sers.

Je la regarde, ses grandes mains m'impressionnent; ses veines marqués montre qu'il travaille beaucoup.

Je pose mon pouce et câline celle-ci, j'ai soudain envie de m'occuper de lui.

Je le regarde, il n'a toujours pas bougé ce laissant faire et ne dit rien.

Ses épaules larges me surprennent et je lui demande

"Que pratiques-tu Eiji ?"

-:" Plusieurs activités qui me permettent de me dépenser votre Altesse." dit il

"Toshi, appelle moi Toshi...j'imagine qu'il est difficile de se nourrir ici ?"

-: "Vous avez tout à fait raison mais nous pratiquons différentes activités pour ne pas tomber malade."

"Pourrais-je visiter votre pays ?"

-:"Si ça vous va, je serais votre guide." Je le regarde et me note qu'il est attentionné et gentil.

Son immense carrure me calme et je me sens protégé avec lui.

Je continu de lui poser quelques banalités et je vais rentrer dans ma chambre.

"Ne tombe pas malade, tu vas attraper la crève comme ça." Je me mets à sourire et il répond toujours avec monotonie

-: "Vous aussi..Ne retombez pas malade."

"A une prochaine et tiens ta promesse ! " je souris une dernière fois et je disparais de sa vue en rentrant dans l'immense chambre.

Une lettre est posée sur mon bureau, je la déplies et il y est écrit

'Bonjour Prince,

J'espère que vous allez bien car j'ai eu de méchante nouvelle de votre part ce qui m'attriste;

il parait que dans le désert du pays Miyagi vous êtes tombé de votre dromadaire et que vous n'arriviez plus à reprendre connaissance.

Par tous les soins

Son altesse royale Toshio le roi de Gifu'

Je me rappelle que je suis encore un espion et un pion de ce foutu homme et je mords mes lèvres avec tristesse.

Je me jette sur mon lit la lettre entre les mains.

Fiches personnages :

Masaki \= arbre fleuri

Prince du pays Miyagi

Cheveux noirs.

Yeux verts-gris, visage mate.

Très grand et musclé.

Eiji \= éternité

Prince du pays Kitami

Cheveux blancs.

Yeux ???, visage blanc.

Très grand et imposant.

C'est fini pour aujourd'hui les choux ! J'espère que vous avez apprécié !

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BONUS HISTOIRE : LE PRONOSTIC QUE M'A DONNE LE MEDECIN

(PS: bien sûr c'est une fiction fictive alors cette histoire est tout à fait imaginé et ne réfère pas avec la réalité, merci)

Rappel de ce qui s'est passé :

"Ah...Ahhhh....mmm..Vous croyez...mmm Vraiment que je devrais...OUH...oui...mettre ça ?"

-: "Bien sûr. Vous voyez bien que vous avez mal, non?" dit-il en me mettant un sex-toys.

Je ne sais pas si mon médecin est complétement addictif au sexe ou si il aime gagner du fric...

Franchement, je pense les deux.

-: "On va commencer le séance alors."

"Suite"

Il met ses gants blancs et remonte sa chemise, prend mon pén*s et commence à faire des vas et viens.

Comment j'en suis arrivé là, franchement !

Depuis le lycée, il faut dire...ah c'est gênant...

J'ai attrapé un syndrome bizarre, j'ai mal aux cou*lles.

Le syndrome de la grosse couille est une anomalie qui se présente rarement chez l’homme.

Ce n’est pas une maladie fréquente et elle nécessite donc une consultation immédiate.

Elle se caractérise par un gonflement anormal d’un ou des testicules.

Ces gonflements peuvent être accompagnés parfois de fortes douleurs.

Le médecin m'a donné un pronostic comme tout médecin normal, au début je croyais qu'il allait me donner des médicaments ou des choses du genre mais il m'a dit de prendre rendez-vous avec une kiné spécialisé dans ces rapports-là.

Pas de quoi s'inquiéter en gros, c'est tout à fait normal...avant que kiné ne me demande de faire des choses bizarre.

[...] Trois mois avant

"Bonjour M. Vous êtes bien le Kinésiologue que m'a conseillé le médecin ***?"

-: "Oui, c'est ça. Vous êtes bien Jun ?" il me fixe ensuite; son regard de braise me fait rougir.

Du calme..du calme...ne tombe pas amoureux de ton kiné.

"Vous êtes **** ?"

-: "Appelle moi Daisuke. Où est-ce que vous avez mal concrétement ?" dit-il sans gêne.

Je rougis et balbutie

"A la cou*le gauche"

-: "Montre-moi ça !"

Voilà les amis c'est fini pour aujourd'hui ! Bye !

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