Chapitre 17

Attention : ce chapitre peut contenir des scènes pouvant choquer les lecteurs (ex : Sexe..Érotique)

Désolée pour l'attente...

Le froid me fait devenir rouge,

"une étude montre que ce mécanisme permet de garder au chaud ses organes internes et pour cela le corps sacrifie ses extrémités. Les capillaires, de tous les petits vaisseaux sanguins se contractent. La circulation du sang est donc limitée, mais elle ne peut pas être ralentie indéfiniment. Les vaisseaux finissent donc par se dilater...Notamment lorsque le thermomètre remonte.

Entre l’extérieur et l’intérieur, les changements de température sont brutaux. Le sang afflux rapidement.

Il devient donc visible et c’est pour cela que vos extrémités sont colorées. Cet afflux est particulièrement important au bout du nez.

C'est un mécanisme qui permet, en partie, de réchauffer l’air que vous inspirez et de ne pas agresser vos poumons." Source : *Pourquoi le froid nous fait-il rougir ? - AlloDocteurs

Vous vous demandez surement comment je sais tout ça ?

J'ai longtemps étudié la médecine, je voulais aider; je voulais soigner...Voilà ma raison.

Je voulais tellement donné pour les autres, pour les enfants; pour qu'ils ne souffrent plus.

Je pense que je voulais savoir que des gens heureux ont été soigné par moi-même et qu'ils aient la chance que je n'ai pas eu.

Je veux protéger à tout prix et que les gens vivent.

Je fixe Eiji du regard tourner les pages d'un livre, aucune chaleur humaine n'émane de lui et il ne sourit jamais comme si un voile a été dressé devant lui.

Ses mouvements lents mais méthodique, ses yeux que ne me regarde jamais et qui ne pose son attention que sur ce livre.

Il ne parle pas..

Je sens un silence froid glacer la pièce, je n'ose pas parler et il a l'air triste.

J'amène mes doigts timidement vers sa paume glaçante, il ne bouge plus; je caresse sa main et le regarde en souriant.

Je veux qu'il soit heureux, je veux....

Je crains d'avouer ce que je veux au fond moi, finalement je suis bien égoïste.

Je veux qu'il soit heureux pour moi, je veux le voir sourire et me faire croire que tout va bien; je veux qu'il vive pour ne plus que la tristesse me dévore de l'intérieur.

Il ne me regarde pas en restant ferme mais ces yeux brillent, il se lève en parlant pour une fois

-: "Arrête, tu vas vite le regretter." Mon pouls s'accélère et il part en ne se retournant pas, il froid....mais s'inquiète pour moi.

Je reste choqué dans cette bibliothèque, sa carrure immense m'obsède et j'ai tellement envie de l'aider, lui; oui....

[...] Dans le jardin du château.

Je regarde entre les quelques remparts et je distingue des milliers de foret de neige brumeuse; le paysage qui est magnifique de couleur nuage m'enivre.

PS: imaginez qu'il a les yeux verts svp

Je convoite maintenant le précieux sport et demande aux gardes de me montrer les arcs; ils sont étonnés et je ne réponds pas.

Je file dehors et sors du château, les oiseaux chantent un peu et les petites maisons en pailles où fument des buées s'harmonisent parfaitement avec l'ambiance de ce pays sauvage.

Je rêve de découvrir encore plus et m'enfonce dans la foret la plus proche; aucun bruit à part les tas de neiges qui tombent des pins des arbres, le silence est presque terrifiant.

Les pins sont noirs et je ne vois plus le dôme du palais.

Je suis à la trace d'un animal, je continus à getter et à trouver quelques traces.

Je ne suis pas un pro de la chasse mais aujourd'hui j'ai besoin de me dépenser de plus marcher dans la neige ce qui est encore plus difficile !

Mes mouvements sont quand même rapides et mes pas s'enfoncent bien dans la neige.

Je m'arrête et écoute soudain les oiseaux chanter; je m'approche de l'animal et le vois de loin.

C'est un lapin, ces yeux rouges et innocents avec son mignon museau qui remue me fait à moitié regretter.

Je prends mon arc, ses oreilles se dressent et je prends avec vitesse ma flèche et tire; je me rends compte que j'ai réussi mon coup et le mets dans ma sacoche.

Insatisfait je continus ma route, les clairières s'enchainent et je ne sais qu'elle heure il est.

Il fait toujours nuageux et les quelques rayons de lumières me réchauffent le corps quand j'en ai besoin.

Je fais quelques pauses en accumulant plus en plus de gibier et je réussis à trouver un chevreuil dans un pré mais comme j'ai raté ma prise; j'ai vite abandonné l'idée.

A force je commence de plus en plus m'essouffler et m'engouffrer dans la foret sans fond.

Des écureuils jouent dans les branches faisant tomber de la neige.

Je respire, la brume et moi; la neige et moi.

Je m'allonge sur le sol et ferme les yeux..

[...]

-: "Plus tard tu veux devenir quoi, Toshi ?"

"Médecin !!"

-: "C'est très bien d'avoir de beau projet d'avenir, je suis sûr que tu feras un excellent médecin."

"Comme ça, je pourrais te soigner grand-frère !" Ah....ça fait longtemps que je ne me suis pas souvenue de ça.

-: "Je suis déjà très heureux Toshi"

Mon rêve part sur une allusion horrible

-: "De toute façon il ne me reste plus longtemps à vivre...Alors aide moi !

Aide moi !" je vois mon frère souffrir de tout son être.

-: "C'est lui qui aurait dû mourir", -: "Il n'a rien fait pour lui, il ne l'a pas aidé".

-: "C'est à toi de mourir !"

[...] Je me réveille et je sens une présence dangereuse en face de moi, un énorme animal est face à moi; la gueule béante et en sang, mon sac est arraché en mille morceaux et maintenant il me fixe.

Il m'étudie comme sa prochaine fois, je tressaille; il m'impressione.

Son pelage doré et blanc en même temps rajoute un coté félin à sa carrure immense, ses crocs sont sortis et ses yeux jaunes en feintes qui représente un prédateur redoutable et sans pitié me terrifie.

Je reconnais que c'est un lynx.

Il bondit tout d'un coup sur moi et heureusement j'ai attrapé mon sabre.

Ses dents puissantes essayent de casser ma précieuse épée, je ne bouge toujours pas pétrifié.

Me rappelle soudain de mon rêve et comme quelque chose d'horrible je me mets en colère.

Je sais, je sais que ce n'est pas vrai !!! Je sais ! Je connais la vérité !

Sans savoir vraiment, je projette l'animal.

Mes yeux sont ardents de colère, mon cerveau que je croyais intelligent me joue des tours.

L'animal surpris recommence son attaque.

Des paroles me mettent encore plus en rogne

-: "Oublis le...Oublis le...Il n'aura jamais existé dans notre famille maintenant, il n'est jamais né."

Mes yeux brulent de rage et ma force ou mon aura fait un peu reculer l'animal mais se rappelant que je suis un ingrédient très satisfaisant pour ses papilles; il se rejette sur moi.

Il n'a même pas touché le sol que ses artères explosent et que sa tête tranchée est par terre, une mare de sang recouvre la neige et son corps poilu est tombé.

Ma fine lame est remplit de sang, je tombe; je ne regarde même pas ce que j'ai fait.

Je pleure, c'est tellement agressif de me faire ressouvenir ça, je pleure...je ne suis plus en colère et ma fatigue l'emporte dans les larmes...Un souvenir agréable de mon grand-frère et moi.

Je m'endors (encore je sais...Gros dormeur va mdr)

[...] Je me réveille dans un cabanon, la nuit a engloutit le paysage maintenant noir.

Je suis allongé sous une fourrure féline, j'observe où je suis.

Je vois avec étonnement le prince Eiji me fixer ? je me relève.

-: "Ne vous levez pas, pour l'instant vous êtes encore faible." Des bandages entourent ses bras ensanglantés

"Qu'est-ce qui vous est arrivé ?!!!" je me précipite malgré l'avertissement qu'il m'a donné et je plonge ma main dans mon autre sacoche.

Il recule un peu et je prends ses bras avec grande délicatesse et note

"Plaie profonde..( je le traite comme s'il était mon patient)." Je fourre mes doigts dans les plantes médicinales que j'ai pu récupérer, j'abime un cailloux blanc dans le feu et ensuite le brûle sur les bras d'Eiji.

Il n'a aucun commentaire de souffrance et me laisse faire, je mets comme prévu de longues feuilles et parle en même temps.

"Qu'est-ce qui vous est arrivé ?" Il répond toujours sans émotion

-: "Vous avez tué un lynx."

"Je sais ça mais ce n'est pas la question." Il a l'air de m'observer.

-: "Je vous ai trouvé évanoui au milieu de la foret et...."

"Comment m'avez-vous trouvé ?" je m'intrigue à sa mine noire et froide, il ne me répond pas et je dis

"Alors comment vous vous êtes blessé ?" , il fixe le sol et hachure

-: "Un autre lynx vous a attaqué, je vous ai protégé." Je le fixe maintenant, sa carrure immense ne m'impressionne plus; je le vois comme un homme bienveillant qui protège les siens.

Je souris, je n'ai jamais autant souri à quelqu'un.

Je ne veux pas seulement protéger les gens autour de moi, je veux en fait aussi être protégé...

Je veux que quelqu'un s'inquiète pour moi.

"Merci de t'inquiéter pour moi, je dois être un poids pour toi..." Soudain son masque ce relève et j'ai l'impression qu'il vise son regard vers moi.

-: "Pas du tout, tu as aidé mon peuple et tu m'as soigné, c'est plutôt à moi de te remercier !" Son intonation a changé.

"Je n'ai rien fait de telle..Je n'ai jamais pensé à bien et vous...Vous me remerciez et vous vous inquiétez pour moi, vous êtes très généreux."

Il ne cesse d'immobiliser sa tête vers moi et dit

-: "Même si vous n'avez pas pensé un traître mot pour nous, vous l'avez fait...c'est vous le héros." Je réplique tenace

"Vous sauvez votre prochain."

-: "Vous me connaissez mal pour dire ça" se renferme t'il.

"Je ne vois ce qui juste et part ce qui a été fait, le reste je m'en fiche. Vous êtes bon."

-:" Je ne le suis pas, jamais je ne le serais." Il n'a aucune confiance en lui et continu d'être dur envers lui.

"Il faut alors ne pas perdre espoir, il faut rêver."

-: "JE SUIS UN ASSASSIN !" cri -il, il ne se passe rien pendant une minute.

-:" Il vaudrait mieux que vous arrêtiez de parler avec moi."

"Pourquoi ?"

-: "Vous m'avez écouté ?!!" commence-t-il à s'énerver.

"Ce n'est pas une raison."

-: "J'ai tué de pauvre gens, des familles; des amis..."

"Je suis sûr que vous l'avez fait pour le bien de votre peuple et que vous avez de bonnes raisons car je sais que vous êtes une personne adorable. Je comprends aussi que vous en souffrez beaucoup..."

Sa voix ne flotte plus dans l'air et il reste.. choqué ?

Je ferme à moitié mes yeux et je contraste ma situation.

"Par rapport à vous, je ne suis qu'un égoïste sans cervelle."

-: "Je t'ai dit d'arrêter !"

"Vous voyez, même vous en avez marre."

-: "Vous n'avez vraiment aucune confiance en vous, vous voulez juste que les autres reconnaissent et prouvent votre valeur."

J'ai l'impression que l'encre de mon cœur s'élève.

Je ne dis rien et je laisse tomber des larmes sur mon visage, il essuie tendrement mes larmes avec ses doigts froids.

Je lui prends la main et continus à l'accrocher contre ma joue.

Et pleure comme pas possible.

Je sers ses doigts et le remercie.

Je m'approche dangereusement vers lui et lui fais grâce d'un câlin.

J'entoure mes bras sur ses cotes ferme et il ne dit rien; il me repousse.

"Toi aussi, tu as le droit au bonheur."

Je l'enlace et sens son odeur, son parfum doux qui ressemble à celui d'un vieil arbre.

Je me réchauffe contre lui car j'ai soudain très froid.

J'eus soudain une idée beaucoup trop irréaliste qui me fait rougir et me sentir gêné. 😏

"J'ai froid." Il parle

-:" Tiens, la couverture." Je brûle et ce bel innocent n'a rien compris.

"Tu auras froid aussi....Laisse-moi faire, alors.." en rigolant un peu.

Je le pousse vers le matelas et j'ai confiance en ce que je fais, pour la première fois.

Je souris et le déshabille, il enfonce ses bras contre mon torse pour me stopper.

-: "Que comptes-tu faire ? non...tu n'oserais pas.." j'arrache avec précipitation sa chemise et ses abdos sont d'un brillant éclatant.

Je souris à pleine dent, je le fais frémir et enlève son pantalon et le mien en même tant.

Son corps à couleur neige est plus parfait que tous, je succombe à son charme..Trop tard pour m'arrêter...trop tard pour ne pas saliver...trop tard..

Je rougis de mille feux et avant de passer à sa magnifique grosse b*te...alala je trimballe mes doigts et mes lèvres sur son corps.

"Mmmm...mm...tu es si parfait Eiji..." il tremble un peu en restant imperturbable.

Mes baisers braise son corps et je mords son corps, je ne m'occupe pas de son visage.

Je tiens entre mes mains ses muscles saillant et joue avec extase en les compressant, je rigole comme un addicte.

Mes yeux fusillent donc son truc fabuleux et je me rappelle de quelques mots brefs

"Je veux t'entendre gémir Eiji"; je suis cruel et commence à faire des vas et vient.

Il roule entre mes doigts, son buste ne se lève toujours pas et une pointe de frustration me taquine à l'antre jambe...Bientôt..bientôt...J'aurais jamais penser parler à ma zezette.

Il ne gémit pas mais son corps comme le mien à l'air de transpirer.

Je commence à gémir d'impatience puis m'enlève soudain malgré le fait que je.............bande. Je gémis un dernière fois et annonce tristement

"Ce sera tout alors, je peux comprendre; je ne te forcerai à rien..." il m'attrape soudain en ne disant rien, sa respiration est rapide et son corps transpire; il avoue finalement

-: "Désolé...je n'ai pas su réagir...c'est fou..mon...corps...mmmm..ah....ah..oui, c'est ça...il en veut encore ahhhh."

Je suis choqué et il me fait tomber rapidement du lit.

Je souris alors de plaisir, ses gouttes de sueurs tombent sur moi et son bassin s'avance vers moi.

Il m'enlace, il me tient le corps et n'attend plus.

Il l'enfonce profondément en moi et je braille

" AH !!!! Ahhhhhhhhhhhhhhhh....oh...pas là....tu vas trop loin....ah...oh....mmm..Oh...Oui...OUI...OUI...OUI !!!!!!!!"

-:" Ha, ha, ha...j'y....vais....hummm...sk...arfff...uffffufurf..."

"I....mmm..n...là ! là ! là ! Oui ! c'est ça ! c'est ça !!!"

Point de vue quelques minutes de Eiji :

Je suis bluffé, c'est art....mmm...Arh...Oh...oui il est impressionnant, je n'aurais jamais imaginé si pareille travail.

Il dépasse mais attente...mais comment dire...avec lui comme professeur...

Il a un si petit corps par rapport au mien malgré ses muscles, il est tellement doux et succulent qu'on dirait un peu du miel..

Il est tellement doux....olalla...je me sens idiot....il me donne.......qu'il est bon !

-: "Oui ! Oui ! Oui !! ghhhhhhhhhhh....ouf....mmmm..ah....Tu....Oh.....mmmm...mmmmmmmmmmarfffff...OUI...oh...oui" j'ai envie de le faire mien, rien qu'à moi...

Fin de point de vue.

"Oh....Eiji....(il accélère, il me prend en coup et enfonce son énorme truc et plante ses ongles dans ma chair tellement il ne veut pas se stopper et moi non plus..) continus...continus....oh....mmm...tu....tu.....arff...Glll...Je....je......oh..."

Je regarde la mienne, elle vole vers lui et je ne suis pas épuisé.

Fin du chapitre, merci pour votre soutien; je vous aime mes choux.

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BONUS: MON INSTRUMENT ME CHANTE QUELQUE CHOSE D'ETRANGE

rappel :

-: "Hey ! Calme toi !" je commence à le frapper. Il se répète, s'énerve et soudain il me prend dans ses bras en notant juste

"C'est moi." Il approche ses lèvres et je....ah...ah.. bande sans m'en rendre compte.

Il ne le remarque pas et il annonce

-: "Embrasse-moi !" ordonne t'il en m'impressionnant.

"Hein ?!!!"

-: "Obéis !"

je recule, il se rapproche et me colle au mur; je remarque enfin la sensation fulgurante qui parcourt mon corps.