Chapitre 13

Attention : ce chapitre peut contenir des scènes pouvant choquer les lecteurs (ex : Sexe..Erotique)

Désolée l'attente 😅

-: "Avance toi Isao, viens te présenter à Toshi" le prince trotte vers moi et c'est l'homme de tout à l'heure, il a encore les yeux malicieux...mais que peut-il bien cacher ?

Il embrasse ma main comme si j'étais une femme.

Je reprends ma main qu'il avait gardé et il sourit encore plus me donnant peur.

Il me chuchote à l'oreille

-: "Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te manger maintenant."

Maintenant ?!!!! Mais de quoi parle t'il...( bave bien Kawaii, je vais te faire attendre encore un peu hehe)

Je frémis, mais qu'est-ce qu'il me veut...

Il sourit encore avec son étrange sourire.

[...]un peu plus tard dans la soirée

Je pose mes affaires dans l'appartement qui m'a été attribué, le bois est fin et les courants d'airs passent à travers les couches de terre.

J'ai froid, des casseroles recouvrent le sol et le ciel, dehors commencent à s'assombrir.

Tout le monde rentre dans leurs maisons et je regarde l'étrange lieu se charger de nuages sombres.

Je perçois des ombres s'aligner en bas et des flambeaux de couleur bleu s'allumer, des étranges sons s'intensifient et je suis sûr que ce n'est pas la pluie.

Des hululements commencent à me faire peur et ce n'est que des animaux qui marchent dans la boue, des énormes...

Des immenses, le roi est sorti et j'ai peur pour lui.

Des vagues noir se déferlent autour de lui et il ne bouge pas, des serpents sombres tombent des lianes et se grossissent.

Quel étrange scène...Le roi qui danse dans tous les sens avec les reptiles que j'arrive à distinguer à travers ma minuscule fenêtre; les lumières bleus flottent et des énormes ombres jaillissent de nul part donnant un aspect ténébreux qui fait peur.

Le prince dans tout ça, ne bouge pas mais sourit et les ombres le recouvrent.

Je ne le vois toujours pas et la tension monte, sa majesté regarde la scène sans rien faire et je vois avec horreur une énorme flaque de sang recouvrir peu à peu le sol.

Le visage d'Isao est crispé, il doit énormément souffrir.

Je ne tiens plus, je sors.

Je saute et attrape une liane, les ombres bougent un peu et elles me fixent avec leurs allures fantomatiques, sans fond et sans vies.

"Arrêtez !!!" je cris, la terre n'est que mer et je nage vers Isao qui s'en fonce de plus en plus vers les abysses des ténèbres, son visage est toujours autant recouvert par cette espèce de boue vivante et sombre.

Une mer nous sépare et je sens sous moi d'énorme yeux me fixer.

J'essaye de ne pas être perturbé et continu de nager même si mon souffle me manque, il faut que je le sauve...Il faut que je le sauve..Au moins lui...

"Ah !!! Ah....!!!!! Isao, j'arrive !!! Isao !!!!" , sa main se lève à travers l'eau noirâtre.

Quel horrible scène et je me retrouve maintenant en train de marcher.

Il n'y a plus rien autour et un vide noir m'entoure.

Je tremble un peu et n'ose pas parler, soudain une fine bulle de lumière s'envole devant moi; je me retourne, des milliards de pétales de lumières ce sont tassées sur le sol, elles brillent quand je tends la main.

Je vois Isao, recouvert de dessin marron et moitié ensanglanté.

" Isao !" le soulevant, ses yeux brillent de désespoir.

Il essaye de parler, il gémit et ses yeux deviennent blanc; il bave en ajoutant un dernier mot

-: "Non..."

Des ténèbres s'infiltrent dans ma bouche et je me sens soudain pris de souffle, je me tords de douleur et essaye de me défaire de cette étrange, gluante, masse noir qui me recouvre.

Elle m'attrape, elle m'entoure et rentre en moi comme un virus qui parasite quelqu'un.

Son étrange substance me fais gerber de douleur, et je sens mon cœur s'agiter.

Je cris de douleur et je me retrouve par terre, j'essaye de reprendre le control de moi-même.

Et comme un poignard, cette chose inhumaine me transperce le cœur.

"Ah..." je ne parle plus et se spécimen s'insère dans mon être.

Je me meurs, en souffrance.

[...]Dans une chambre isolé.

Je me réveille, je suffoque; je crache un peu et je me relève.

Qu'est-ce qui s'est passé ?

Je suis toujours dans le même pays et il n'y a personne à part les rayons de lumières scintillant dans cette chambre.

Je me lève, je me rassois et me souviens de l'horrible douleur qui m'a sûrement cloué dans ce lit (pourtant je croyais être mort).

Je m'inquiète pour Isao et en essayant de me lever, je tombe au sol.

Je n'arrive plus à bouger et de là où je suis, je vois des pieds.

On me soulève et je distingue Isao.

"Isao ! " je beugle, il sourit en me reposant dans le lit et dit simplement

-: "Merci de m'avoir sauvé." Mon cœur bat toujours mais sursaute quand j'entends ça, je souris.

Il incruste ses doigts froid sur ma cage thoracique, je rougis et il ne fait pas ce que j'aurais imaginé, il me montre le nouveau symbole dessiné vers mon poumon gauche.

Il explique alors

-: "Voici un symbole de protection, tu as été possédé par les esprits de Maritipa et de Teahiaroa cependant tu as été protégé par l'esprit Buitani qui est maintenant dans ton corps."

Je n'ai vraiment rien compris mais de quoi parle-t-il ?

-: "Enfin bref, merci de m'avoir sauvé même si tu n'avais pas à le faire."

"Bien sûr que si ! ", il fait enfin un vrai sourire et se penche vers moi.

-: "Donc, on reprend ce qu'on était censé faire ?", il rigole un peu en me voyant ouvrir la bouche.

Il se lèche les lèvres et j'ai peur.

Il arrache ma chemise et enfonce son visage contre mon torse

-:" Ah...." gémit -il. Je le vois maintenant bander, il rougit et à honte; moi je l'observe avec mes grands yeux verts.

Il rive son regard vers mon cœur et il s'approche, il commence alors à baiser ma cage thoracique et il mordille ensuite mes tétons avec grand soin.

Il les lèchent et les gobent plusieurs fois, sa main monte dans mes cheveux et les ébouriffent.

Il les attrapent et commencent alors à sortir son énorme engin que je remarque.

-: "Reste tranquille" rigole t'il. J'essaye de partir et il arrache la fine couverture qui me cachait de ses yeux avides maintenant de sexe.

"Non, non" je tourne la tête, il prend mes cheveux et m'oblige à regarder ce qu'il fait.

Il rentre sa b*te d'un coup sec dans mon trou déjà endommagé par d'autres...alala on dirait que je suis un bagage 🤣🤣.

Il grogne quand il voit d'innombrable baiser ou des griffures sur mon corps.

Il me prend la tête

"Ah ....!! Ah ggghhh...mmmm...mlll."

-: "Oui...Oui je veux t'entendre gémir...Oui...Oui..." il enfonce et bouge en même temps son bassin, me collant toujours et me mordant à la nuque et les globes des oreilles.

"Ouf...ouf...mmmm...."

-: "Gémis ! Gémis !!!! C'est ça ...oui oh, OH ....Oui....Tu .....oh"

il met son nez contre mes yeux et ensuite les bises

-: "Arrête de me regarder comme ça....", il se mord la lèvre avec plaisir.

Je gémis, il enfonce plus profondément son truc et ensuite prend le mien.

"Que...mmm...fais-tu ?" il me fixe du regard et sourit malgré la chaleur que nos corps dégagent.

Il prend mon engin, le câline avec ses doigts et s'arrête deux minutes et sort son truc tout dégoulinant.

-: "A moi maintenant...af.." je ne bande même pas et il prend avec légèreté mon aubergine (What....je meurs de rire là...petit message de l'autrice) et l'ancre dans son trou avec précision.

Ses yeux brillent et il commence à gémir de plus en plus..

-:"Encore...encore...Plus....plus...oh....oui...oui...mmm...oh...." il prend mes jambes et essaye de se rapprocher de moi, cloue ma bistouquette dans son antre.

Je broye son trou et il crit de douleur ou de plaisir, son bassin suit le rythme et on dirait qu'il fait des pompes sur mon corps, je commence à fatiguer car rester en l'air...

Ses yeux sont larmoyants et il salive, bave sur mon corps, lèche et me baise encore et toujours sans jamais s'arrêter, il me répète que je suis 'trop bon'.

-: "Oh....oui....Tu enfonces...si...mmm...gnhh...bien. Tu es tellement bon....."

Je rougis de plus en plus et il me lèche les joues en introduisant son crayon de nouveau en moi.

Je me lamente, il n'a toujours pas touché à mes lèvres préférant mon corps..

"Ahhh...Ghhhh...mmmm..affff...oh....non...fou...fou...."

Tous deux se plaignant de douleur, lui de plaisir et moi; est-ce que je prends plaisir ?

Je ne sens rien...Je n'ai pas le droit d'être aimé de toute façon mais que je fasse autant plaisir à un mec...

Je ne sais pas...J'ai l'impression d'être plus utile.

Quand est-ce que je serais vraiment aimé pour moi et pas seulement mon corps ?

C'est déjà mieux que rien, on pourrait dire... Après tout on m'a rejeté.

Montré du doigts et refilé avec de l'argent, de main en main.

-: "Fais ton travail, ne dis rien...." Je me rappelle de cette première fois...Que c'était horrible...Il me battait, me mordait et me donnait des coups.

Les amants qu'on m'a donné, mon devoir n'est que baiser avec eux et promulguer la paix ?

Et moi dans tout ça ? Ou peut-être que je suis trop égoïste.

Fiche personnage et +

Isao \= honneur

Prince du pays Saga

Cheveux noirs.

Yeux bleu , visage blanc.

Taille moyenne grande et musclé.

Voilà les choux, c'est fini pour aujourd'hui ! J'espère que vous avez apprécié !

N'hésitez pas à commenter, à vous abonner ! à liker et partager l'histoire ! (nouvelle phrase de pub mdr)

Si vous aimez le genre gore et violent, vous pouvez aller voir mon roman Manipulé (c'est mon roman préféré).

Si vous avez des questions, n'hésitez pas ! J'essayerais d'être la plus clair possible !)

Je vous aime, bye !!

(Je vais essayer de faire un chapitre en plus.)

BONUS HISTOIRE, TITRE : MON INSTRUMENT ME CHANTE QUELQUE CHOSE D'ETRANGE

Le silence des notes qui résonnent dans la pièce me font du bien et je souris sans raison de l'accord parfait que je joue.

Mon instrument, mon instrument chante et je me laisse parcourir de bonheur, rien qu'avec mon instrument et de la musique que nous jouons tous deux, ensemble.

Mon précieux ami, tu as été toujours là pour moi et tu m'as toujours procuré du plaisir.

Que tu es beau ! Que tu es grand !

Nous sommes si harmonieux et je ne me lasserais jamais de tes tons graves et magnifiques qui me font voyager.

Toi qui me fais vivre, toi; le seul...

Oh oui ! Emporte moi au-delà des étoiles ! Que je t'aime !

Ah....le bonheur !

Je cesse de jouer et mes doigts sont rouges de sang tellement j'ai joué je ne sais qu'elle heure.

Je souris et l'enlace, je le câline.

Il est tellement lisse, je le caresse et entremêle mes doigts avec ses cordes.

Quel magnifique son , ah que c'est beau..

D'être seul avec mon instrument..que c'est apaisant...

Je le sers encore une fois contre moi et je sens masse mouleuse profiter de mon câlin.