l'ange déchu

Le bâtiment était plus grand que celui de Perpignan, mais la ville était elle-même bien plus grande. Ils avaient garé la voiture dans un parking souterrain, un vigile leur avait ouvert une porte et indiqué le 4e étage comme celui où ils devaient aller.

Lucian pénétra le premier suivit par Sophia, la pièce avait du charme si ce n'étaient ces grands tableaux pleins de photos des meurtres commis par le tueur.

- Bonjour messieurs, je me présente je suis le lieutenant Lucian Ortis, je suis l'affaire, et voici madame Sandomas.

Un homme vint leur serrer la main. Grand, élancé, yeux bleus, un bel homme ne put-elle s'empêcher de remarquer. Il se présentât Sous le nom de John fitz, un des enquêteurs de la criminelle, et fit vite fait les présentations, de sa coéquipière Vanessa, et des cinq agents en charges de l'affaire sur Toulouse.

- Bon on sait que Madame Sandomas...

- appelez-moi Sophia, ce sera plus simple.

- Pas de problèmdes nôtrese n'est pas des nôtre, mais elle est le point central de l'affaire, nous allons devoir éplucher votre vie de fond en comble, car on doit comprendre pourquoi le tueur a un intérêt pour vous. Vous allez devoir travailler à partir de votre ordinateur, nous allons nous occuper de votre patron pour ce qui de l'envoi de vos articles concernant le tueur.

Lucian se sentait pas très alèse comme si il était mit de côté. Sophia le perçu et le fixa du regard ce qui fit faire tourner le regard de leur interlocuteur.

- Ne vous inquiétez pas monsieur Ortis, Lucian ce sera plus simple si tout le monde utile les prénoms de chacun. On travaillera ensemble, d'ailleurs il faudrait que vous nous fassiez parvenir tout ce que vous avez pu récolter sur le tueur, on va commençait par ce que l'on sait de ce qu'il sait passer ce matin. Louis a toi.

Un homme d'une trentaine d'année s'avança vers des chaises et une table au centre de la pièce et les invita à s'asseoir, il posa devant chaque personne un dossier et alla vers l'un des tableaux.

- la victime, 16 ans, originaire de Paris, était en vacance chez une amie, nous avons envoyé des agent la chercher pour l'interroger. se trouver dans une rue peu bondé entre 1h et 6h du matin se qui montre que le tueur connaît bien cet endroit. on l'a découverte suspendu à un poteau, des ailes faites à partir de vrai plumes lui on été cousu sur le dos post mortem,le tueur lui a également cousu les yeux, on sait qu'il lui a fait ça grâce à la lettre qu'il vous a écrite.

il se tourna vers Sophia et lui montra le gros dossier devant elle.

- Vous trouverez tous les documents à l'intérieur, je reprends donc.

Il montra plusieurs photos de la scène du crime, on voyait le corps de cette jeune fille suspendu comme un ange au-dessus du sol une très belle fleur qu'elle n'avait jamais vue entre ses mais qui elle-même étaient lié par une corde blanchâtre. Un fin tissu qui avait dû être blanc, mais était devenu rouge, recouvrait son corps gracile.

- grâce à la lettre, on a appris que le tueur l'a représenté comme un ange déchu, il lui a cousu les yeux, car il ne fallait pas qu'elle le regarde qu'elle emprisonnait les âmes de ce qui la regardait, il lui a mit une fleur entre les mains d'après un botaniste on a appris que la fleur s'appelait la fleur du diable une yaka mal. Il a disposé le corps comme une scène d' un thêatre. Voilà je vous laisse regarder tout ça tranquillement.

Sophia éplucha tout comme Lucian et les autres les documents qu'on lui avait remis, une photo de la fleur y été, elle était vraiment très belle d'un violet presque noir. Elle trouva la lettre concernant la mort de cette jeune fille suivit d'une plus grosse encore dans son enveloppe. Elle prit la première et commença à la lire.

"Je ne reviendrai pas sur le passé et j'avancerai sur l'avenir.

Voilà Sophia je ne connais pas d'autre vérité que celle-ci. La jeune fille n'en été pas, son visage la montrait bien plus âgée qu'elle le montrait, je l'ai vu faire, car je l'ai suivi plusieurs fois avant de me décider, elle faisait du charme à des jeunes hommes et les emmènait dans des endroits louches, les jeunes hommes, une fois elle partie ne ressortaient pas dans le même état que ce qu'ils étaient avant, c'est comme si elle leur prenait leur essence de vie.

Je ne pouvais pas la laisser continuer alors j'ai cherché à comprendre qui elle était, et j'ai su, c'était un ange déchu qui se vengeait en prenant l'âme de ces gens.

J'ai décidé de la faire repartir comme ce qu'elle avait dû être afin de l'apaiser, mais je ne pouvais pas me permettre qu'elle me vole mon âme alors je lui ai cousu les yeux. C'est son histoire. Je t'ai laissé un petit cadeau, comme promis je vais te raconter la suite de ma vie pour que tu continues de la transmettre, j'ai trouvé très beau la manière dont tu as fait ton article afin de ne pas susciter la peur autour de nous. Continue comme ça si tu veux, je me reconnais dans tes écrits, c'est le principal."

Sophia replia la lettre et prit la grosse enveloppe où son nom était écrit à la plume d'une très belle écriture.

- Ce sont les vraies lettres écrits par le tueur qui sont dans mon dossier, dit-elle à haute voix.

- Oui, effectivement, c'est dans les exigences du tueur a ce que l'on a compris. Répondit John

Elle replongea dans l'inspection de l'enveloppe le touchait lui était familier, l'enveloppe n'était pas en papier, mais en tissus comment avait-il réalisé cela et pas n'importe quel tissu, du satin ? Un frisson lui couru dans le dos. Comment..., pourquoi avoir mit du tissu en satin sur l'enveloppe. Elle pensa à ses sous vêtements et eu un haut le cœur était-il rentré dans son appart comment savait-il quelle aimait le satin ? Cela devenait malsain vraiment devait elle leur en parler, elle s'y refusa. Elle l'ouvrit et sortie quatre feuilles, toujours manuscrite.

Elle commença sa lecture.

" Je t'ai raconté ma première fois, maintenant je vais te raconter, les trois sorciers de l'Oise. J'étais parti pour découvrir le monde après mon premier meurtre, par pour fuir, mais apprendre et comprendre pourquoi cela m'arriver. Quand je suis arrivé dans l'Oise, cela ce situe dans le Haut-de-France. Très beau, je me souviens avoir dormi chez une vielle dame qui me raconta des histoires folles sur une famille qui vivaient dans une grande ferme. Elle disait que ces gens dansaient autour du feu psalmodiaient des chants étranges. Curieux et muni d'une mission divine, c'est comme ça que je le voyais jeune, je voulus aller voir par moi même et ne fut pas déçu, la veille avait raison, je l'ai déchiré comme un homme laid et deux femmes l'aides également qui dansaient nu autour d'un feu près de leur grange. J'entendis les pleurs d'un enfant, mais n'en vu pas un seul. La voix dans ma tête me disait "Ce sont des sorcières avec leur maître et l'enfant est leur sacrifice, tu dois agir."

Je ne savais pas comment faire alors j'attendais qu'ils retournent se coucher pour agir je décidai de les tuer dans leur sommeil. Mais je dus attendre un long moment et appris ce jour-là que l'amour ne se partager pas seulement à deux. Ils passèrent une bonne partie de la nuit à faire l'amour bestialement avec des bruits qui n'étaient pas humain.

Je ne rentre pas dans les détails, car je ne voudrais pas te choquer.

Une fois endormi je mis le feu dans toute la maison et pour que personne ne puisse s'échapper je cassa pleins de verre sur le sol. Mais ce soir-là personne ne sortie de la maison à part des cris de détresse. Le feu monta haut je me souviens, et les pompiers arrivèrent trop tard pour sauver qui que ce soi.

La police avait fait un communiqué disant que le feu avait pris dans la cuisine sûrement dû à un oubli d'un des habitants, ils avaient décrit la famille comme un couplé et leur fille, des gens calme sans histoire, mais moi je savais tout comme cette veille femme, qui m'avait hébergé un soir.

Je ne suis pas resté longtemps toujours en train de bouger pour pas me faire prendre. Je suis parti dans le nord après cela, mais ça, c'est ma prochaine histoire. Nous sommes à 4 sur les 18 victimes que j'ai promis de te raconter. À très bientôt, ma très chère Sophia."

Elle ne savait plus que pensait elle avait lu que les psychopathes pouvait avoir différentes personnalités, pouvait entendre des voix, se représenté comme un sauveur. Mais là, c'était autre chose, il traduisait vraiment sa croyance en ce qu'il faisait. Voyait-il réellement les choses qu'il disait voir. Là était la question. Elle se tourna vers Lucian et lui demanda s'il était possible de sortir un peu s'aérer. Le jeune homme se leva et s'excusa.

- On va sortir un peu, si cela ne dérange personne, le trajet a été long et l'arrivée pas de tout repos, on reprendra cet après-midi. Nous allons chercher un hôtel...

- Ne vous en faites pas pour cela la ville a déjà mis à votre disposition un appart près des locaux. Vous pouvez y aller on est tous logés dans le même bâtiment, par contre c le même appart, mais il y a deux chambres séparer, ça ira ? Demanda John qui continuer à éplucher tout le contenu des documents.

- Pas de soucis répondit Sophia demandant Lucian.

Lucian promis de faire parvenir au plus vite les recherche faite à Perpignan. Et ils partirent en direction de l'immeuble qui se trouvait à deux pâtés de là.

Il nui posa pas de question et la laissa dans ses pensées, il avait compris qu'elle avait besoin de souffler.

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