là où tout à commencé

Sophia était assis dans une salle depuis près d'une demi-heure, à attendre que quelqu'un lui donne plus d'explication, les larmes c'était tarient et maintenant de la peur et de l'incertitude avaient pris le dessus. La voilà qui attendait un lieutenant de la criminelle qui devait lui parler et lui posé des questions sur un mort qu'elle ne connaissait pas et un tueur qu'elle aurait dû croire, peut-être que ce mort ne l'aurait pas été.

Un homme D'une trentaine d'année entra dans la pièce avec des documentss dans les mains, brun avec des cheveux court, 1,85 m voir un peu plus jugea-t-elle, il la regarda et rentra dans le vif du sujet directement.

- Connaissez vous Mr. Mitchel

- Non pas du tout.

Il déposa une photo d'un homme d'âge mûre avec une jeune fille qui devait être la sienne, car beaucoup de ressemblance ressorter de la photo.

- Il ne me dit rien du tout qui es ce ? Sophia ne pu s'empêcher de se demander si c'était le tueur ou la victime.

Le lieutenant posa une autre photo qui fit monter la nausée aux lèvres de la jeune femme. La photo représentait un homme appuyé sur ses genoux la gorge tranchée les mains liées comme s'il était au confessionnal complètement nu des marques sur son dos, comme des dessins, lui avait été fait par le tueur, car tout autour du sang séché s'y trouver. Elle ne put détacher ses yeux de la photo comme une sensation malsaine de vouloir chercher une réponse à tout ça.

Le lieutenant la regarda et analysa chaque mouvement de son visage quand elle regarda la deuxième photo, il y vu le dégoût puis la curiosité se dessiner sur celui-ci.

- C'est la victime qui a été découvert par sa propre fille ce matin, voyez-vous Madame Sado…

- Appelé moi Sophia s'il vous plaît.

- Comme il vous plaira Sophia, voyez-vous votre nom a été gravé sur son torse. Comme une signature…

- Vous croyez que c moi qui aurais fait ça. Ne put-elle s'empêcher de crier. Mais vous êtes fou…

- Nous savons que vous n'y êtes pour rien nous cherchons à comprendre pourquoi le tueur vous a choisi, il a laissé une lettre à votre intention et à la nôtre par la même occasion, cette lettre je vais vous la donner, car elle a des consignes que nous ne pouvons pas passé à côté.

Il lui tendit un papier, qu'elle hésita à prendre elle ne voulait pas être mêlée à un tueur, mais la première fois qu'elle ne lui avait pas tendu l'oreille il avait tué quelqu'un, alors elle ne désirait plus être responsable d'un autre mort, elle prit la lettre et l'ouvrit. Le tueur avait une très belle écriture. La lettre commençait par avertir la police que le document devait lui être remis sous peine de plus de mort, qu'il savait que le document allait être inspecté par pleins de personnes et qu'il n'en avait rien à faire du moment où le document lui reviendrait dans ses mains. Après un grand espace, il commença à s'adresser à elle… .

" Ma très chère Sophia, puis-je ainsi t'appeler ne te sens pas responsable de ce que j'ai fait, malgré la menace que je t'ai faite, il fallait que je le tus, hier soir quand je t'ai appelé je voulais trouver en toi quelqu'un qui puisse comprendre mon geste qui puisse le faire comprendre aux autres, car j'ai décidé de tout te raconter et de te laissé le transmettre par ton journal aux autres. Je vais te raconter où tout a commencé et permettre ainsi au policier à suivre ma piste. Je suis se qu'ils appelle un tueur en série, je suis un homme qui n'a rien vécu de pénible dans sa vie, un jour lors de mes 16 ans j'ai commencé à voir des auras bizarre autour de certaines personnes. Je ne les comprenais pas, car elles ne signifiaient rien, puis elles ont pris plus de clarté et ressemblaient à des monstres de différentes formes.

Tu dois te dire c'est quoi ce fou, mais je te raconte la vérité. Une voix à l'intérieur de moi me disait qu'il fallait que j'agisse, que c'était mon devoir, que j'avais dû être choisi.

Tu vois Sophia je vais te raconter ma première fois, c'était une jeune femme de 25 ans appelé Maria Sanchez, elle avait cette aura rouge sang et quand je la regardais je voyais un sourire sadique sur son visage et ses yeux devenaient noirs, je l'ai suivi un soir elle se dirigeait vers une ruelle qui amener à un bar. Je l'aborda en prétextant avoir perdu mon téléphone et devant passé un coup de téléphone à ma mère pour qu'elle vienne me chercher, elle avait vu mon âge et prit sûrement pitié de moi, car elle chercha son téléphone dans son sac, c'est là que j'en profita pour lui assainé un coup sur la tête de toutes mes forces, son corps s'étala au sol, je surveilla que personne me vu mais la rue était déserte.

je traina son corps dans un immeuble désinfecté, et je fini par la tuer, la voix à l'intérieur de moi m'expliqua ce que je devais faire, je l'étouffa grâce à un sac que je trouva dans une pièce et lui creuva les yeux car la noirceur que j'y avait perçu devait disparaître. Je pris dans une de mes poches un fil et une aiguille pour lui coudre se sourire malsain qu'elle avait et la laissa là, j'avais tout prévu sur ce que je devais faire, ainsi je savais que la rue n'était pas surveillé par des caméras. Tu vois Sophia mes gestes été dictés ce que je ressent je ne le métrise pas, la police pourra retrouver son dossier, je me rappel qu'ils avaient arrêté un clauchard et lui avait fait porter le chapeau à l'époque, maintenant que je t'ais raconter ce qui c'est passé je vais te dire combien j'ai tué de personnes, mais je ne te raconterai leur nom et leur mort que par lettre car la police va surveiller tes moindres gestes et donc vouloir me piéger ce que je ne veux pas tu peux le comprendre. les lettres te seront livrer dans des endroits différents, ne crois pas que je veuille jouer avec toi loin de là tu es quelqu'un que j'admire avec une âme pure, voilà j'attends de toi que tu transmette cela au plus vite et je te donnerai plus vite des indices sur mes victimes, pour te donné plus envie de le faire sache que plus je t'écrirai ces lettres, plus les flics se rapprocheront de moi et auront l'occasion de m'attraper.

Voilà il y a eu 18 victimes dont certaines qui n'ont jamais été découvertes, à très bientôt ma chère Sophia."

La jeune femme tourna son visage dévasté vers le lieutenant. Elle lui tendit la lettre et lui demanda ce qu'elle devait faire.

- Vous savez, nous croyons que le tueur vous connaît il a dans sa lettre une admiration pour vous. On se dit que si vous faites ce qu'il dit il ne tuera personne alors nous pensons qu'il faut que vous fassiez ce qu'il vous dit.

- Suis-je en danger ?

- Je ne pense pas.

- Pouvez-vous me dire plus sur cette jeune femme qu'il dit avoir tué. Es ce vraiment lui où es ce une personne folle qui veut qu'on le remarque en prenant les meurtres d'un autre.

- Je vais vous dire ce qu'il en est, oui il est bien le tueur, car il a décrit certains détails connus que par le tueur et la police. Maria Sanchez était infirmière à domicile, elle venait de finir sa journée et allé rejoindre un ami dans ce bar. Nous avons grâce à cet indice découvert que cet homme a 43 ans. Maintenant grâce à cet indice, on cherche avec les archives et les bases de donnés qui il est.

- Vous voulez que je relate quoi exectement, que j'écrive sur mon journal ce qu'il me décrit dans sa lettre, car cela va choquer beaucoup de monde. Puis je ne pense pas que mon patron sera d'accord et si je fais ça vous me lié encore plus à être personne. Je me sens perdu, appeurer, je ne c plus quoi faire. Es ce qu'il me surveille, que me veut-il?

- Je comprends que ce n'est pas facile, et que vous ayez peur, sachez que l'on va mettre une patrouille devant chez vous, en ce qui concerne votre patron on va s'en occuper. Pour ce qui est du texte il vous est permis de transmettre tout les détails sauf ce qui vous lie au tueur, car nous ne voulons pas envenimer la chose. Il y a des personnes qui vont réclamer justice et on ne voudrait pas que l'on vous prenne pour cible. Là on va vous raccompagner chez vous, afin que vous repreniez votre travail. Nous de notre côté, on va continuer les recherches.

- Encore une chose s'il vous plaît, je suis fatigué, épuisé par tout cela, mais il me semble ne pas avoir retenu votre nom, et vu que l'on va devoir travailler ensemble...

- Ce n'est pas vous, C'est moi qui ne vous l'est pas donné je suis le lieutenant Ortis Lucian, et oui on travail ensemble sur cette affaire. Courage je sais Que ce n'est pas facile, mais on va le retrouver, ne vous inquiétez pas.

Elle se fit reconduire chez elle mais ne partie pas dessuite à son travail elle avait besoin de digérer tout ce qui venait de se passé et s'assit sur son canapé, replia ses genoux sous son menton et ferma les yeux.

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