Chapitre 16

Bonjour où bonsoir chères lectrices où lecteurs j'espère que vous vous portez. Me revoilà pour un nouveau chapitre j'espère que ces quelques mots vous plaira en attendant le prochain chapitre.

Bonne lecture.

Un bruit où peut être des chuchotements se rapprochant à une dispute dont il ne comprenait pas un sens provenant de sa gauche réveilla le roi de Ponchtoor faisant sursauter les personnes présentes dans la pièce.

- Oh Mazirus tu es enfin parmi nous je me suis tellement inquiété pour toi dit une voix féminine qui s'était rapproché au chevet du roi.

- As-tu encore mal à un endroit s'enquit la même femme en palpant le corps de son roi.

- Tout va bien Lyana dit Mazirus en dressant.

- Dites-le vous même majesté peut être vous croira-t-elle enfin marmonna Mirmos.

- Si tu ne voulais pas que je m'inquiète pour mon époux tu aurais dû mieux le protégé protesta Lyana en fusillant Mirmos du regard.

- Mais je l'ai figurez vous combien fois dois-je te... Euh vous le répété se défendit ledit Mirmos.

- Je ne suis pas convaincu par vos dires mon général Lyana insista sur le mot général tout en lui envoyant un regard noir alors qu'elle se blottissait dans les bras du roi.

- Lyana cesse de t'en prendre à Mirmos je lui dois la vie.

- Mai...

- Il n'y a pas de mais qui tienne femme dit le roi en déposant un baiser sur la main de sa première femme.

- Dis-moi Mirmos que s'est-il passé après que je vous ai envoyé le corps de cette vermine.

- Non non et non je ne veux plus entendre parler de ça et vous majesté comment avez-vous pu me cacher votre retour à moi votre bien aimée dit Lyana en se dégageant des bras du roi.

- Tu n'allais rien comprendre Lyana puisque dès qu'on parle de guerre, tu quittes les lieux expliqua Mazirus.

- Peu importe sur ce point je vous laisse, mais je veux te voir cette nuit dans mes apparemment dans le harem dit-elle en faisant glisser sa main sur le torse nue du roi.

En passant près de Mirmos, elle s'arrêta et lui murmura qu'elle chose à lioreille avant de partir.

- Que t'a-t-elle dit que je ne devais pas écouter demanda le roi un sourcil levé.

- Qu'elle me castrera personnellement si tu te blessais à nouveau gravement mentit Mirmos ne voulant pas relever leur conversation au roi.

- Ah ah ah je plaindrai ta compagne si elle le faisait, mais bref dis-moi comment suis-je arrivé à Pochoir sans mourir en chemin se demanda le roi en s'asseyant au bord du lit.

- Je ne vais pas passer par quatre chemins mon ami. Lorsque tu avais jeté le corps de cette pourriture et que nous avions fait prisonniers le reste de son armée tu avais perdu connaissance commença Mirmos en prenant place sur le siège en face du bureau du roi.

- Et donc voulu savoir le roi.

- Un homme ayant des connaissances en matière de guérison a voulu te prodiguer les premiers soins, mais tu avais perdu trop de sang pour qu'il puisse faire quoique ce soit parce que tu étais déjà mort mon ami dit Mirmos.

- Si j'étais mort comme tu le dis bien comment ce fait-il que je sois encore en vie et en parfaite santé dans mes appartements demanda Mazirus septique.

- J'y venais mon ami. Comme je le disais tu étais mort et cela avait fait paniquer tout le camp. Puis par on ne sait comment une vieille femme était apparu près de ta dépouille, je ne sais pas qu'est-ce qu'elle t'avait chuchoté à l'oreille alors qu'une de ses mains reposait sur ton torse et au bout d'un moment ton corps c'était mis à convulser violemment pendant plusieurs minutes avant que s'arrête expliqua Mirmos.

Le roi avait écouté attentivement tout ce que lui disait son général assimilant chaque information.

- Vous a-t-elle dit comment elle s'appelait fini par demander le roi de Ponchtoor après un moment de silence.

- Malheureusement mon ami elle n'a pas voulu se présenter la seule chose qu'elle a dit avant de disparaître dans un tourbillon de sable, c'est que ton heure de mourir n'étais pas encore arrivé dit Mirmos.

Mazirus se laissa emporté dans ses pensées réfléchissant sur l'identité de la femme qui lui était en aide et aussi sur le sens que pouvait avoir la phrase qu'elle a prononcé qu'il n'entendit pas ce que disait Mirmos.

- Majesté dit Mirmos voyant que son ami ne l'écoutait plus depuis fort longtemps.

- Qui-y a-t-il mon ami répondit le sortant de sa torpeur.

- C'est à propos du royaume de Tonks majesté dit le général de quatrième troupe de Ponchtoor.

- Par mes ancêtres, je les avais oubliés ceux là. Prépare mon étalon et donne-moi dix de tes hommes les plus fort au combat pour m'accompagner à Tonks et je veux que la dépouille de ce chien de Gacalis fasse partie du cortège royale dit le roi.

- Ce chien mérite pas cet honneur de votre part majesté déclara Mirmos.

- Ce n'est pas pour cette vermine que je le fais, mais pour ces enfants quelque soit leurs âges je ne souhaite qu'ils aient le traumatisme que j'ai subi en recevant la tête de feu mon père dit le roi.

- Dans ce cas, je viens avec vous majesté déclara Mirmos sans dire le fond de sa pensée.

- Non mon ami Ponchtoor aura besoin de vous à mon absence dit le roi en posant sa main sur l'épaule de son ami et frère de cœur.

- Mais votre sécurité ne pût s'empêcher de demander le général de la première troupe de Ponchtoor qui s'était embruni.

- Dix de tes meilleurs seront avec moi pour veiller sur ma sécurité lui rassura son souverain.

- Bien mon roi, cela sera fait selon votre volonté acquiesça à contre cœur Mirmos en quittant les lieux.

Mazirus ne perdit pas plus de temps, s'apprêta le plus rapidement avant de rejoindre Mirmos à l'entrée du palais. Il aurait souhaité faire un détour vers le harem de ses femmes, mais le temps lui était compté. Et comme convenu plus tôt le carosse royale était prêt, les dix soldats ainsi qu'Éclair l'attendait.

Après révérence vers leur souverain tous montèrent sur leurs montures et se mirent en route. Et pour arriver à Tonks avant le couché du soleil, ils prirent des raccourcis,

Arrivé aux portes du royaume de Tonks la garde, ils ne furent pas autorisés à fouler le sol de Tonks. Placé sciemment en rempli derrière, Mazirus se plaça gracieusement pour faire face aux impertinents qui bloquaient le passage à ses hommes provoquant de la panique chez la garde.

-Ro... Roi Mazirus balbutia l'un des gardes alors que tous avaient leurs armes pointées vers les étrangers.

- Ramenez-moi vers l'homme à qui votre souverain à laisser la direction du royaume déclara Mazirus de sa voix la plus froide.

-Suivez nous avait fini par dire un autre garde après quelques secondes d'hésitation.

Les trois gardes du grand portail ouvrirent le chemin pour le roi Ponchtoor et ses hommes vers le château. Pendant le trajet Mazirus profita de ce bref instant pour observer les conditions de vie des habitants de Tonks.

Déplorable ne pût-il s'empêcher de penser lorsqu'il vit les maisons délabrés.

Et plus qu'ils s'approchaient du château plus que la décoration changeait devenant de plus en plus luxueuse.

- En plus d'être une vermine, il était aussi voleur dit acide le souverain de Ponchtoor tour.

Les gardes les accompagnants ne relevèrent pas les injures du roi Mazirus ne voulant pas provoquer une guerre de plus en l'absence de leur roi dont ils n'avaient de nouvelle.

Arrivé au porte du château les gardes accompagnants le roi de Ponchtoor et sa suite demanda l'ouverture de la grille. Demande qui fût accordé. Mazirus leva un sourcil étonné face à une décoration morbide au palais royal.

Les ancêtres de Gacalis n'avaient-ils pas le sens de la décoration pour placer des gargouilles effrayantes dans tout le château pensa Mazirus.

- Veuillez patienter un instant roi Mazirus.

Le souverain de Ponchtoor opina de la tête.

L'attente ne fut pour Mazirus et suite puisque le prince héritier de Tonks suivit de plusieurs soldats avançait vers eux. D'un geste de la main de la part de Mazirus quatre de ses hommes descendirent de leurx chevaux pour aller récupérer cette saleté traînait dans le carrosse royal, mais ils furent arrêté par la voix du prince hériter de Tonks.

- Ne faites aucun mouvement sale vermine de Ponchtoor cracha le prince.

- Des vermines demanda Mazirus le regard devenu sombre.

- Que faites dans notre royaume, c'est une provocation de guerre cracha hargneusement le prince hériter.

- Une provocation voyez-vous cela dit le roi de Ponchtoor en jetant un coup vers ses soldats.

Ceux-ci comprenant le message firent ce qu'ils étaient sensés faire avant d'être interrompu.

- Je vois que c'est le même venin qu'avait feu votre père grogna Mazirus dans sa barbe.

- Qu... Que voulez-vous bafouilla le prince hériter qui avait tiqué le mot feu.

- Voyez-vous votre très cher paternel a voulu s'en prendre à mon royaume à mon absence malheureusement pour lui je lui ai coupé l'herbe au pied en m'interposant sur son chemin voici son corps cracha férocement Mazirus en faisant signe à ses hommes d'apporter cette pourriture.

Les quatre soldats désignés sortirent le corps de Gacalis enroulé dans de drap blanc des pieds à la tête.

- Je vous laisse ce déchet que vous appelé père ainsi que votre royaume, mais si par malheur j'entends que vous voulez venger votre paternel, c'est votre tête que je donnerai à votre mère sur un plateau d'argent comme l'avait fait votre père à mon égard dit le roi en quittant le château sans laisser le temps à ce futur roi d'en placer un.

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