La nuit d’un jour d’été tranquille semblait ordinaire. Sauf que cette nuit, les enfants Endresen décidèrent de faire de la cuisinière leur victime. Ils se faufilèrent dans la cuisine en silence. La cuisinière était en train de dormir à poing fermé. Ne se doutant point de se qui va lui arriver.
Assise sur sa dodine en bois, Marta, la cuisinière fut discrètement et solidement attachée dans son sommeil. Les enfants ne cessaient de ricaner ce qui fit réveiller Marta. Des que cette dernière ouvrît les yeux elle ne vit que le chaos. Les enfants sautaient partout, il avaient ouvert le four et commençaient à mettre les légumes à la poubelle.
-Sacrebleu! Qu’avez-vous fait à ma cuisine adorée? S’écria- t- elle.
Gisette qui était la cadette, commença à lui présenter une casserole remplie d’œuf crue mélangé à des épices, de la farine et beaucoup de sucre. Marta sentait les haut le cœur lui prendre de court.
-Voulez-vous goûté à ma nouvellle recette? Proposa Gisette.
-Quitter ma cuisine immédiatement! S’écriait Marta.
Holà la! Pourquoi autant d’hostilités, madame Marta? Demanda Nathan.
Il s’approchait en prenant une cuillère. Il prit une grosse part du mélange de Gisette en le mettant devant la bouche de la femme.
-Allez, faite Ah…
La femme serra les dents.
-Je n’arrive pas à croire que j’ai essayé d’élever des enfants comme vous! Heureusement que je n’ai jamais été votre nourrice. J’aurais finit par faire une crise cardiaque...
Soudainement des verres se brisaient. Merline était la plus petite et elle avait du mal à atteindre le placard au dessus de l’évier. Elle avait grimpé jusqu’à être capable d’ouvrir le placard, mais elle renversa les verres et le assiettes qui s’étaient écrasés au sol.
-Bon sang! Pas mes assiettes de porcelaines! Arrêtez les enfants! Arrêtez! Criait la pauvre femme. Monsieur Fred venez m’aider! Vos petits monstres, me stressent!
Mais bien sûr leur père ne vint pas, lui qui était tranquillement assit à son bureau avait installé des murs anti-son. Pour éviter d’être ennuyer par le boucan des enfants lorsqu’il travaillait. Il lisait des papiers de contrats d’acquisition, des lettres incessantes de la grand-mère. Elle n’arrêtait pas de lui menacer de lui prendre le manoir Endresen. Fred ne pouvais rien y faire, après tout la maison appartenait à sa femme et lui il n’était qu’un commerçant. Fred devait à tout prix payer les dettes de la famille. Mais depuis que cette veille femme ne cessait de lui demander de se remarié, il ne pouvait plus se concentrer sur son commerce et ses enfants. Surtout que ces derniers étaient en train de se rebeller contre leur père. Fred ne pouvait pas leur en vouloir, ils avaient perdus leur mère… Fred ne savait plus comment s’occuper d’eux tout en travaillant matin, midi, soir. C’était pour cela qu’il engageait des nounous pour eux. Mais, elles partaient les unes après les autres. Il ne savait plus quoi faire.
Fred se frotta le visage, il était tard. Il envisageât d’aller se coucher. Il rangea son bureau avant de remarquer un journal. Il ne se souvenait pas l’avoir mis là. Il le prit et le feuilletait. Il finit par tomber sur une annonce, une femme du nom de Solange cherchait du travail. Elle était une nourrice expérimentée, très débrouillard avec les enfants turbulents. Fred ne savait plus s’il devait l’embaucher. Tellement les enfants étaient terribles que toutes les nounous du coin avaient finit par quitter la région. Fred se demandait en quoi cette nourrice allait changer les choses. Il espérait qu’elle tiendra au moins un jours pour pouvoir se rendre en ville.
Toc! Toc! La porte claquait.
-Qui ça pourrait bien être? Se demanda Fred. À une heure si tardive, ça doit être urgent.
Il quitta son bureau avant de se dirigé vers le hall. C’était à ce moment qu’il entendit le vacarme des petits dans la cuisine et les cris de la cuisinière. Il soupira d’exaspération.
Il se rendit vers la porte. La personne cessa de frapper. Fred pensa qu’elle était entrain de partir. Il ouvrit la porte et derrière elle, se tenait une femme. Fred resta un moment bouche bée devant la Beauté de la femme. Il se dit dans sa tête « wouha! Elle est vraiment… moche. Je n’ai jamais vu de femme avec une apparence aussi exécrable. Devrait-je vraiment la faire entrer? »
La femme était habillée en noire comme si elle allait dans un enterrement. Les traits de son visage étaient très durs pour une femme. Elle avait deux énormes verrues, un sur son nez et l’autre à côté de son sourcil gauche. Elle avait de petits yeux, les cheveux gris et des plis au niveau du front. Elle était définitivement une veille femme. Mais pourquoi venait- elle au manoir Endresen?
-Bonsoir, monsieur Endresen.
-Hein? Heu… bonsoir madame…
-Solange, je m’appelle Solange monsieur.
-Très bien Solange, je veux dire madame Solange. Nous connaissons- nous? Pour tout vous dire je sais absolument pas qui vous êtes.
- Vraiment? J’étais pourtant sûre que vous aviez fait des recherche sur moi.
-Sur vous, non.
- Je suis la nounou Solange…
Fred se rappella du journal.
- Ah! Vous! Maintenant je sais qui vous êtes… mais, que faite vous ici? Je ne vous ai pas encore parlé avant. Je ne me souviens pas vous avoir envoyé de lettre travail…
- Monsieur Endresen, je cherche du travaille. Et beaucoup m’avaient dit que vous cherchiez une nounou pour vos enfants. Voici la raison de ma venue.
- je vois, mais pourquoi le soir. Vous auriez put vernir demain matin. Je pense que se serait mieux.
- j’ai cru entendre que vos enfants étaient très turbulents. Ils faisaient fuir les autres nounous. Leur donnez- vous beaucoup de liberté? Si c’est le cas, j’ai les leçons exactes qui leurs conviendraient. Il faut agir tôt pour éviter que l’avenir de ces gamins ne soit anéanti par leurs propres comportements.
Fred se grattait la tête. Il lui répondit:
-Très bien, vous m’avez l’air compétente. J’espère juste que vous arriverez à tenir une semaine après tout ce que vous venez de dire…
-je veux voir les enfants. Disait-elle.
-Hein? Mais il faut signer d’abord les papiers de contrat pour que vous soyez embauché.
-Vous avez des idées si conventionnelles. Vous vous soucier des papiers avant les enfants. Je veux les voir, pour connaître la gravité de l’urgence. Laissez moi les voir, après nous nous occuperons de ce contrat. Depuis la porte d’entrée je les entends crier.
-Ils sont dans la cuisine. Et je crois qu’ils ont pris Marta en otage.
Fred guida Solange jusque dans la cuisine.
-Laissez nous tous seuls. Ordonnait Solange.
Face à une demande que cette veille prenait au sérieux, il ne pouvait qu’accepter. Qunad elle entra, les enfants ne la remarquaient même pas et continuait à semer le désordre qu’à t’elle que la cuisine était méconnaissable.
-Les enfants quitter cette pièce et retourner dans vos chambres.
Paul la regarda comme si elle venait de l’insulter.
-Non, ne me dis pas que papa nous a encore cherché une folle. S’exclama Paul.
- Comme ci on allait l’écouter. Ricana Nathan.
Solange semblait perdre patience. Elle leur disait doucement:
-Vous avez une minute pour quitter la cuisine et vous rendre dans vos chambres. Sinon un serpent géant viendra vous dévorer.
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