HISTOIRE N•10

On continue sur la lancée avec l'histoire N•10

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                          Sans un bruit

   Wesh, depuis la fin de la visite médicale je ne fais que penser à lui putain. Il est trop beau et il m'a laissé voir ses abdos lorsque je l'auscultais, un vrai régale, j'ai failli me jeter sur lui malgré son palu qui l'a envoyé ici. Je vous dis la vérité, j'avais même du mal à continuer la visite tellement mon esprit était déjà à lui. Mes yeux n'arrêtaient de le reluquer, son visage, son nez, sa bouche sèche qui attiraient pourtant les miennes, ses bras sous lesquels je pouvais voir ses veines se dessiner, comment ne pas succomber au contre transfert ? Merde.

Pourquoi les infirmières et les externes étaient là ? Maintenant j'arrive pas a continuer 😣, je ne peux pas avancer dans les autres dossiers sans régler celui là, je dois me le faire.

Il avait l'air bien portant, mon diagnostic était donc correct. La fièvre est entrain de baisser et c'est typiquement normal. Je scrute son dossier, Kassa, il s'appelle Kassa. Un nom aussi beau que lui, je comprend mieux. Wesh, encore son corps qui revient dans mon esprit. Comment m'en débarrasser ? J'ai que son engin dans ma tête, je l'ai vu lorsque mes yeux son descendu plus bas, il y avait une bonne bosse. J'étais à deux doigts de le gober j'vous jure.

C'est la première fois que cela m'arrive en plus, je sais pas comment réagir à part aller assouvir mes pulsions.

Je vais d'abord aller prospecter. Oui c'est mieux. Je vais aller voir l'heure des visites car je n'ai pas envie de le faire prendre en plein acte avec mon patient.

   J'y suis, je vérifie la fiche de soins, le prochain est dans deux heures, bingo. Je pousse la porte, je ne vais pas le violer, je vais essayer de lui demander, lui faire savoir mon envie pressante.

J'entre, il dort. Merde alors.

    Mais c'est ce corps de Dieu. Ça fait dix minute que je suis entré et je ne cesse de le regarder. Je suis en admiration total. Il est trop beau, trop parfait. Sa beauté, j'ai envie d'être à lui.

Je m'approche, je passe ma main sur quelque partie de son corps, je suis à deux doigts de me jeter sur lui. Je descend vers sa bosse, elle est grosse, je la descend lentement, pour ne pas qu'il puisse se réveiller pour le moment. Il a un caleçon Calvin Klein blanc, ça me fait encore plus craquer merde. Je m'agenouille, passe mon nez autour de son calbar pour sentir cette odeur de boule et de teub. C'est mon parfum préféré weshhhh.

    Avec les dents, je descends doucement le vêtement blanc. Je tombe nez à nez face au Dagober. Même mes fantasmes n'auraient pas rêver mieux. Il sent fort la bite et en plus il est tout chaud, sûrement a cause de la fièvre. Je le fais entrer dans ma bouche, hummmmmmm, trop bon 🤤. Ça un goût tellement spécial, tellement...bon, c'est chaud à souhait et les veines le rendent encore plus dure. Je me régale comme une pute ma parole. Je m'astique de toute sa longueur, je gobe tout, j'avais faim, je suis à lui, je suis sa pute de luxe. Je m'attaque maintenant à ses grosses couilles, hummmm, c'est crari chaud😩 j'ai même pas envie de retourner dans mes dossiers, j'au envie de rester là avec mon déjeuner dans la bouche.

    Soudain, lorsque je voulais me retirer pour aller dans mon bureau, je sens une main qui me dis de prolonger ce que j'etait en train de faire. Merde, il en veut plus, dans ce cas, j'ai pas d'autre choix. Je pompe sa bite avec vigueur et vie. Des gorges profondes en passant par le gobage de ses boules, il va bientôt venir je le sens. Pourtant, il résiste. Il fait des petits couinements, il bouge de manière désordonnée, sûrement qu'il a envie de crier de plaisir mais il se retient. Juste une cloison sépare les chambres.

Je me lève, me déshabille rapidement. Il se met en position assise. Il a compris. J'aime ce genre de personne. En plus d'être beau, il en a dans la tête. Je m'allonge sur le lit, et il vient se mettre sur moi. La position de nos parents, celle qu'on appelait la « papa et maman », j'ai nommé, la missionnaire.

   Son corps est chaud, on aurait dit une bonne couette bien musclé. Il fait rentrer son phallus doucement, il a forcé un peu à cause de la taille de son engin. Au fur et à mesure que le gland s'enfonce dans mon colon, une chaleur et un plaisir intense envahit mon corps. Au moment où je voulais pousser un petit crie de plaisir, il m'embrasse comme un malade. Je crois que ça ne vas être là seule fois que ça se produit. Il enfonce son Dagober en moi et commence à faire les cas et viens. Je ne savais pas que la bz avec une personne qui a le palu serait aussi bon et jouissif. On dirait qu'il n'est pas malade wesh. Il me bz littéralement dans le sens propre du terme, proprement, vigoureusement, sans un bruit et sa fait du bien. Le goût de ses lèvres est sans pareille, elles sont chaudes, sa langue a le goût d'un anti deparasitant. Je me régale putainnnn. Sa teub, une vrai bite. Un vrai baiseur. Je crois que je l'aime ce type.

Il m'a littéralement bz. Je l'assume. J'ai été bz par mon patient. Pendant que je m'habille, il ne fait que me regarder. Mais qu'est-ce qu'il a ? Moi aussi je le regarde. Ce que je remarque, c'est qu'il est beau à souhait. Un mec qu'on rêverait d'avoir hélas cela doit rester secret.

   Je sors de la chambre, apparemment, personne ne m'a vu et l'heure des soins est encontre très loin.

__ Moi aussi j'ai envie de cracher Doc. Amène ton cul ou je te dénonce !

Merde, c'est le badboy à la bite énorme, je ne vous est pas parler de lui. Il ne faisait que me mater à chaque fois que j'allais dans sa chambre. Et le pire, c'est que à chaque fois que je l'auscultais, je pouvais voir sa teub prendre vie. J'avais peur car je ne voulais pas recevoir ce tronc d'arbre dans mon UK. Mais là, je crois que je n'ai pas le choix, il a bien calculé son coup l'obsédé !

Je n'ai pas envie de perdre mon travail, alors je me dirige vers sa chambre le cul suintant de ce que je viens de subir.

J'entre dans sa chambre et il referme derrière moi.

Prier pour votre Dr svp🥲

  Je m'assoie sur le rebord du lit, il vient en face de moi, je me sens mal, j'ai peur. Pas de lui mais de ce qui se cache dans ce short. Lui aussi n'est pas mal. Il est du genre badboy, genre mec de cité, un crari quoi. Je ne sais même pas pourquoi il est encore là. Son état s'est largement améliorer, mais bon, c'est pas le moment de se poser toutes ses questions, il est déjà devant moi.

Je fais descendre son short,

il n'avait pas mis de calbar, wesh, c'est une teub ça ?

Je vais encaisser ça ? Non mais dite moi que je rêve.

   Je prend l'engin avec ma main, je lève les yeux vers lui, il se mord la lèvre, il a sûrement attendu se moment depuis bien fort longtemps. Je regarde ses couilles, elles sont gigantesques. Un vrai monstre ce type, mais je ne vais pas me défiler, je vais l'assumer comme le Dr que je suis.

__ J'espère que je ne suis pas de trop, il manque de deuxième round Doc. Me dit le mec au palu, Kassa.

Je regarde leurs teubs qui sont devant moi. Je vais devoir assumer ses deux monstres avant l'arrivée des prochains soins...

   Baise dans une chambre de l'hôpital🍆

                            Prochainement

HISTOIRE N•11 : La secrétaire au gros fiak🍑

                                            UnEtudiantEnMed✌🏽

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