***LES MECS DE CITÉS PARTIE I***
J'écris depuis quelques temps à un mec, ou du moins avec un compte fake. J'avais des doutes sur sa sexualité, mon radar ne m'avait pas menti, il est gay.
Je suis dans ce quartier depuis mon adolescence, lui ça fait seulement deux mois qu'il est là mais il s'est déjà mis tout le quartier dans sa poche. C'est un badboy c'est vrai mais là à baiser avec toute les meufs du quartier je ne l'accepte pas.
Je savais bien qu'il cachait son jeu. Je crois que j'ai un don pour dénicher ce genre de chose, le mensonge à l'état pur.
Il me dit que ça fait longtemps qu'il baiser un mec et qu'il ne se cache pas de sa sexualité, que ses amis les plus proches savent qu'il baise tout ce qui bouge. C'est ça que je voulais entendre, car moi aussi... je bouge.
Moi aussi je suis comme lui à la différence que personne ne sait pour mon attirance sexuel envers les hommes. J'aime me la prendre bien profond. Mon dernier remonte à un d'un locataire, il y a six mois. Un homme de la trentaine. Je ne savais pas que beaucoup d'hommes aimaient semblable à eux. C'est lui qui me faisait des signaux, des appels de phares comme on dit. J'étais muet au début mais après l'avoir vu nu j'ai succombé à la tentation. C'est fou comme les vêtements peuvent occulter ce qu'il y a de meilleur pour les yeux.
Lui c'est un badboy, j'avais toujours eu un fantasme sur ce genre de mec. Musclé mais pas trop, beau mais une beauté maléfique, corps dessiné par un Dieu, je ne vais pas vous citez tout sinon vous allez me prendre pour un taré du ciboulot. En bref, j'ai toujours fantasmer sur les hommes qu'on dit inaccessible, sûrement pour une perte de contrôle je sais guère.
Mais rien ne me dis qu'il dit vrai. Que la bite qu'il m'a envoyé est bien la sienne, bien longue comme je les aimes. Et si c'était un guet-apens ? Qu'il me dénonce dans tout le quartier ? Non je ne dois pas avoir peur de ça. Mon radar ne se trompe jamais.
On avait rendez-vous dans une maison abandonné. J'ai pris soin de me nettoyer la verge pour ne pas qu'il ait un accident. Je suis tout propre pour aller me faire défoncé le trou.
On va dire que j'ai connu cette pratique lorsque j'étais encore enfant, environ dix ans par là. Je jouais avec deux amis et là l'un a commencé à me coller par derrière. Ils étaient les brigands et moi je ne devais pas me faire attraper. Il a commencé à me faire des mouvements de va et viens, au début je trouvais ça bizarre mais comme par hasard je me suis arrêté. L'autres ayant vu, il voulait aussi essayer. C'est là que j'ai connu ma première fois, avec mes deux amis d'enfance. Mais un mois plus tard ils avaient déménagé.
On devrait se retrouver dans une vielle maison dans les bois, je l'avais devancé pour mieux le voir arriver, s'il était seul ou pas, comme ça si je m'étais fais avoir, je pouvais filer sans qu'il ne s'en rendre compte. Je suis dans un buisson et j'observe les alentours.
Et puis là je le vois arriver, magnifique, j'ai la barre rien qu'en le regardant marcher. Il est seul, je le savais, mon radar ne ment jamais.
__ C'est donc toi ? Me dit-il,
__ Ça t'étonne ?
__ C'est bien que tu ai pris les devants, je t'avais déjà dans le viseur.
__ C'est bon à savoir, qu'est-ce qu'on attend ?
__ Quelqu'un.
__ Humm...
Et là, une personne fait irruption dans la pièce, un bâton à la main. Dans quel pétrin je me suis fourré ? J'arrive pas à le croire, un piège en deux temps, et merde, comment j'ai fait pour ne pas y penser ? Il était sûrement là depuis et l'a contacté lorsqu'il m'a vu. Que faire maintenant ?
__ C'est une blague ? Dis-je apeuré,
__ Tu as peur ? Dit le badboy,
__ Comment ne pas avoir peur, tu vas me faire du mal,
__ Ouais tu n'as pas tord, tu vas souffrir.
L'autre se rapproche de moi et me ballonne la bouche, tire un foulard dans sa poche, et me le passe autour des yeux, je crois que c'est la fin pour moi. Ils me déshabillent, sûrement pour me traîner sur la place public, oui faites le je le mérite.
Je me sens plaqué contre le mur, je sens qu'on renifle mon cou, une main passe sur ma cuisse et remonte. Qu'est-ce qu'ils font ? Il m'empoigne et frotte son bangala sur mes fesses, je peux bien ressentir qu'il est bander à son maximum. Mon radar disait donc vrai. Son compagnon vient devant moi, je sens aussi qu'il a une grosse. Ne me dit pas qu'ils vont me prendre à deux ? Je sens la tête de son Dagober imprégner de salive devant mon trou. Il compte me prendre à sec ?
__ Tu n'as pas intérêt à ouvrir la bouche.
__ Compris ?
Mais comment pourrais-je ? Vous m'avez ballonné. Je vous jure, les badboy ils vous faut aller à l'école des fois. Je me suis contenté de faire ce mouvement de la tête. Puis soudain, comme un éclair, une douleur intense me traverse le corps. Il avait tout rentré d'une traite, ce long Dagober.
__ C'est bien, me dit-il.
J'ai mal, je n'étais pas préparé, ma verge n'est pas dilaté. J'ai envie de me dégager mais je suis emprisonné. Ses vas et viens son énergique. Il me claque les fesses à chaque fois qu'il rentre, il me fait un mal de chien. Il me sert davantage, j'arrive plus à respirer correctement, il me baise, de façon violente, en me regardant me tordre de douleur, je crois qu'il aime ça, me faire souffrir. Un masochiste ? Je crois bien que oui.
C'est donc ça ce qu'un badboy est prêt à faire ?
Je ne savais pas qu'un rapport sans lubrification et sans dilatation pouvait être aussi douloureux. Mes fesses claque à chaque fois qu'il frappe son bassin sur mes fesses faisant rentrer tout son long penis dans mon cul encore fermé. Je ne vous dis pas la sensation que je ressens actuellement. J'ai envie de crier, mais son ami est juste devant moi regardant chaque expression de mon visage, j'ai envie de fuir mais il me retient comme si j'étais un voleur. Je suis lié à rester là et à subir les affres de ce badboy déchaîné.
Il met ses long doigts dans ma bouche, retirant le bâillon en triturant je ne sais quoi à l'intérieur. Pendant ce temps je commençais à avoir vraiment mal, mais cette fois j'avais mal au niveau de mon pubis, mon bas ventre. Il ne s'arrêtait pas, par moment il se met en cuillère et continue à me baiser. Ça aussi ça fait mal. Il enfonce son penis tellement loin dans mon cul. Il me répète également des gros mots, « putte », « chienne » « salle pédale » « t'aimes ça hein ? », c'est vraiment un truc d'aimer de fair prendre. Il me baise tel qu'on ne m'a jamais baiser de ma vie. Je sens chaque mouvement, c'est tellement serrer que je le sens s'insinuer et se retirer, vite et parfois lent, ou plus vite et encore une fois lent. On se croirait dans un porno hard. Je suis tel une chose, et j'aime ça. Il se retire, après un long moment de cuillère pendant lequel il ne cessait de me défoncer. Les bruits de claquage avait cessé, mon cul pouvait enfin respirer. Son étreinte se desserre, son ami qui est face à moi fais sortir son Dagober de son short. Non mais j'hallucine ? Je pense pas que ça va pouvoir rentrer.
Je peux enfin me retourner pour le voir, voir son visage. Il est tellement énorme et long, tout explique se mal que je ressentais tout à l'heure. Il me regarde, d'un air bizarre. A cet instant je sais que c'est pas la fin, au contraire c'est juste le début de mon calvaire avec ses deux badboy.
Je suis maintenant à cheval, toujours dans cet étau. Ils me regardent comme si j'allais m'enfuir, un devant et l'autre derrière. C'est maintenant au tour de son ami, je vais en prendre chair je le sens. Son Dagober est plus gros mais moins longs de quelques centimètres par rapport à son prédécesseur. Ils ne s'étaient pas dévêtu, j'étais le seul complètement nu, eux juste leurs penis et leur couilles sont dehors. Je sens cette tête de champignon juste à l'entrée de mon trou, j'ai un mauvais pressentiment. Je ne pense pas qu'il va y aller doucement.
J'entends un claquement soudain, il est entré en une fois. La douleur arrive jusqu'à mon cœur. Je ne peux même pas crier, j'ai le Dagober de l'autre dans la bouche, il étouffe les bruits avec sa grosseur qui encercle toute ma bouche. J'ai mal, un mal qui ne s'explique pas.
Pourquoi les mecs de cités baisent aussi brutalement ?
Il pose ses mains sur mon dos pour me le casser davantage, mon cul est tellement ouvert à cet instant que je demande s'il va se refermer un jour. Ses vas et viens ne sont pas comme l'autre, c'est plus fort, les claquements sont plus violent et le mal est plus fort. Ça doit être lui le plus cruel des deux. J'étais dans un étau, l'autre me baise la bouche et l'autre me baise le cul. Je ne pouvais ni crier ni m'enfuir, sauf encaisser.
Il s'enfonce tellement dans ma gorge, mon œsophage, il va aussi m'élargir les vois supérieurs. L'autre est comme posséder, ne voulant pas lâcher mon bassin. Je me sens comme une putte, comme un fille de joie. C'est à ce genre de personne qu'on fait ce genre de chose. Pourquoi me baiser aussi violemment ?
C'est limite un viol, un viol qui me donne envie de me défouler.
Moi à mon tour je suis comme posséder. Le mal fait maintenant place au plaisir, je ne veux plus que ces deux mecs de cités me laisse sans avoir joui à mon tour. Je me laisse faire, je casse encore plus mon dos et ouvre grand la bouche pour accueillir leur troisième pied. Eux aussi ont remarqué mon changement, ils accélèrent encore plus le rythme. Je profite pour descendre le pantalon de celui qui se trouve devant moi car je vais lui montrer que mon nom de putte c'est « Satana la pétasse ».
Son ami s'était retiré. A croire le liquide qui coule de mon cul, il a joui. Lui que j'avais appelé était devant moi, je m'avance vers lui, apparemment il veut, il me regarde d'un air charmeur. Je le pousse sur le vieux meuble, il s'assoit, je me met accroupi le trou en fasse de son gland et mes yeux en face des siens. J'ai envie de le voir me supplier d'arrêter de le marteler.
Mon cul s'abat sur son Dagober, paaacc, je monte et je redescend, encore et encore. Je ne lâche pas mon regard du sien, lui non plus il ne cesse de me regarder. Cette fois c'est moi qui claque mon cul sur son pubis engloutissant au passage son Dagober qui ne va pas tarder à cracher. Son visage devient maussade, je vois qu'il résiste, dans ce cas j'accélère, je donne tout, juste pour voir son visage me supplier. PaC paC paC paC paC paC paC paC paC paC .... Résonnait dans toute la pièce, son ami se masturbe en nous regardant, lui toujours ne détourne pas le regard, il n'a même pas l'air de changer.
Lorsque je m'abat pour la dernière fois, je sens juste un liquide s'insinuer dans mon trou. Merde, il a tenu bon.
Déçu pas cette attitude puérile, je me retire et le fait volte-face. Au moment même où je me retourne, son ami est face à moi. Comme si cela ne suffisait pas, je me fait soulever tel un sac de farine les pieds écartés.
__ Ce n'est pas toi la putte qui va arriver à me faire sortir un mot...
__ Contrairement à nous, tu ne cesse de gémir comme une pétasse. Comme un enfant à qui on met une sucette à la bouche...
Je crois que je vais finir par craquer aux mecs de cités, c'est plus fort que moi. Leur façon de parler, de marcher, et leur façon si brutale de baiser, je crois que je suis amoureux de ces deux badboys.
Ils introduisent leur Dagober en même temps, j'y crois pas, une double pénétration...
Seigneur, vient moi en aide...
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