HISTOIRE N•05

Hello chers lecteurs. Désolé pour le manque d'histoire lemons🔞. Les exams approchent et je dois étudier. Mais comme je vous aimes j'ai écrit trois petits chapitres sur un gros lemon. LE COLLOQUE. J'espère qu'il vous plaira et que vous allez essayer avec votre colloque.

Sur ce, bonne lecture 🥂

                  LE COLLOQUE PARTIE I

Salut tout le monde, j'espère que vous allez bien. Au cas contraire allez consulter un médecin. Je pourrais bien le faire mais...j'ai la flemme.

Je suis Estella et étudiante en médecine. Je suis sur ma dix-neuvième année et je joui d'une certaines largesse par mes parents tous deux avocats. En effet, je suis déjà dans un appartement même s'ils m'ont obligé de prendre une colocataire, et qu'ils restèrent avec le double des clés ce que j'accepta. La vie loin des parents et de leur règles est très satisfaisante. Il n y a pas quelqu'un pour me dire quoi faire. Je suis mon propre patron.

Je ne voulais pas prendre une fille comme colocataire. J'ai eu une mésaventure avec une ancienne camarade et elle m'a dégoûté de l'amitié entre filles. J'ai décidé de prendre un homme, du moins un jeune homme qui lui aussi était en faculté de médecine. Comme ça au cas où, on pourrait s'entraider pour mieux comprendre. Il s'appelle Emmanuel, 21ans et d'une taille raisonnable. Il est poli et a un joli sourire.

Ce que j'aime avec lui, c'est qu'il n'y a pas d'ambiguïté. On est là pour les études et c'est uniquement pour ça pas plus.

Les cours sont compliqués à étudier mais ça va pour le mieux. J'ai l'ambition et le travail, ça fera l'affaire.

La fac est gigantesque. Plusieurs départements ici là qu'on fini par se perdre si tu n'es pas un habitué. Et dire que les hommes se perdaient aussi dans mes formes. Mais bien sûr, vous pensez que je suis une planche à pain ? Bien évidemment que non. Je suis une guitare qui ne pousse pas des mélodies avares. Les garçons sont tous autour de moi mais je n'en veux pas. Les hommes ne m'intéressent pas pour l'instant, ce que je veux c'est validé mon année.

J'avais compris qu'il y avait eu une barrage en mon honneur, deux jeunes hommes tous des bombes, s'étaient battus rien que pour pouvoir me parler.

Je me demandais quel pouvoir je pouvais bien avoir pour qu'ils adviennent à s'entretuer de la sorte. Mais comme vous le savez, je n'ai pas prêter attention.

Moi qui n'est plus jamais fait l'amour depuis quelques mois, mon entrejambe commençait déjà à faire des siennes. Mon colloque aussi commençais à changer. Il devenait plus...pudique.

Lui qui aimait les vêtements se retrouve du jour au lendemain sans tee-shirts. Cela ne me faisait absolument rien...ou du moins c'est ce que j'essayais de me persuader. Son buste me fait mouiller je ne vais pas vous le cacher. J'ai l'impression qu'il fait exprès de venir près de moi faisant semblant de m'expliquer. Me laissant respirer son odeur corporelle qui me dit que nos enfants seront les plus beaux.

Mais je ne suis pas Ève. Je ne peux pas succomber à la tentation juste avec pomme ni avec un buste.

Mais la tournure commençais à changer. Il devenait de plus en plus pudique. Il se baladait souvent en caleçon Calvin Klein me prétextant qu'il était en train de faire la lessive. Je restais de marbre et je détournais mon regard pour ne pas commettre le péché.

Non seulement il est beau, parle correctement, à une hygiène irréprochable, sent bon et la cerise sur gâteau, il a un gros phallus.

Oui c'est gros.

Il décida de venir travailler avec moi. Lorsque je tourne ma tête vers lui, je ne comprends pas pourquoi il n'a pas de meufs dans sa vie. Un jeune homme très beau affichant un magnifique corps. Je crois que le jour où je vais prononcer mon serment, je vais balancer le buste d'Hippocrate pour le remplacer par le sien.

Mes yeux se sont perdus sur son corps ce qui m'obligeait à le regarder davantage. Lorsque mes yeux sont descendus, j'ai constaté que le futur médecin n'avait pas mis de caleçon. Mais pourquoi ?

Son phallus non seulement était long, mais aussi de taille imposante. Il l'affichait sans broncher son troisième pied comme pour en faire palier les mecs du quartier. Ma chatte commençait à s'humidifier sans en savoir la cause.

Je ne sais pas si il a remarqué mes secondes de rêveries mais je m'en fiche pas mal. Il l'a fait exprès.

Les révisons commencèrent et moi je ne pouvais pas suivre avec son odeur qui me fait imaginer certaines choses obscènes que je n'arrive pas à refouler. Je mouille et je ressens une sensation étrange dans ma chatte, comme si elle s'ouvrait d'elle même. Est-ce que se serai lui Moise ? Je ne pense pas, lui c'est Emmanuel.

Je voulais en finir avec ce sentiment puérile. J'avais envie de lui, qu'il me prenne comme la sauvageonne que je suis.

J'attrape son phallus avec rigueur et je le regarde dans le blanc des yeux. Aucune réaction de notre futur médecin. Serait-il gay ?

Je rapproche mon visage si sien, lentement pour voir sa réaction, je ne veux pas être accusé d'un viol qui pourrai me valoir la prison. Tout d'un coup, comme mue par un instinct sexuel, je prend sa bouche avec violence et sensualité. Je l'embrasse comme s'il s'agissait du dernier baiser de ma vie. Avec détermination et vigueur. Il met sa main sur mon dos et descend lentement sur mes lombes ( le bas du dos ) et pousse un gémissement sourd. Son phallus gagne en volume lorsque je mêle ma langue à la sienne et que les deux commencent une valse sensuelle. La chatte mouille davantage. Le mec est habille avec se bouche et je sens qu'il fait bien l'amour également. Je me retire pour prendre mon souffle et là j'observe son visage, il est tout excité. Tant mieux, il n'est pas gay.

J'astiquais son gland qui me donnait du fil à retordre. En érection, j'ai plus de mal à l'envoyer dans mon gosier, il est trop long. Je pompais son bangala comme un putte attend sa pitance. J'étais en chaleur et je voulais que ce moment ne s'arrête jamais. Mes coups de langues ici et là sur son phallus ne le laissait pas muet indéfiniment. Des gémissements sourds, puis des gémissements forts. Rien que l'entendre se démener comme ça ne me donne qu'envie de continuer. Je descend sur ses couilles et les prends en bouche. Il hurle de plaisir. Je remonte en léchant son long bangala et en le regardant dans les yeux, il est en extase. Il ne va pas tarder à jouir. Du coup j'accélère, encore et encore, me forçant à faire des gorges profondes et à faire des mouvements de rotations sur le bout tout rose. Là, comme pris par esprit, il me retira brusquement la tête de son penis.

Qu'est-ce qui se passe ?

Je crois que je comprends mieux se qui se passe. Il allait jouir et s'est enfui. Quel lâche cet Emmanuel.

Mais se n'était pas fini, rien que de voir cet homme fuir ainsi me donne envie de lui donner une bonne leçon.

J'attrape vigoureusement son phallus et j'le tire vers moi. Il ferme les yeux. Je commence par déposer des baisers doux avec mes lèvres sur son gland, tout doucement avant de l'avaler complètement. Il ne tarda pas à frémir. Ses poils se sont hérissés et ses couilles se sont rétractés. Qu'est-ce que c'est encore ? Cette fois je ne me retire pas. J'ai envie d'avoir sa semence dans ma bouche, apparemment c'est du fructose. Il me le faut absolument.

Je pompais son penis comme un villageois pompe une machine pour avoir de l'eau. Moi mon eau allait être de couleur blanche. J'astique son phallus et appuie ses tétons en même temps. Il est en extase. Il me hurle de m'arrêter mais je ne peux guère. J'ai besoin de ma dose de sucre. Du coup je continue, cette fois avec des gorges très profondes, je le sentais même passer le sphincter supérieur œsophagien. Il était sur le point de parler avec les Dieux en personne. Au moment où je voulais le faire sortir pour enfin reprendre mon souffle, notre futur médecin déverse une grande quantité de sperme dans ma bouche. Moi aussi j'ai mouillé. Le sol est plein de cyprin. Mais mon instinct me disait de regarder vers la porte, ce que je fit. Et là, mon père me fixe stupéfait face à la scène qu'il venait de voir.

Je pris mon linge et je m'échappe de l'appartement en courant. Mon père toujours debout.

Que va-t-il se passer ?

                                 A suivre...

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Selon-vous il va se passer quoi🤧 ? Répondez...

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