Histoire N•01

*TITRE : ***« Je t'aime »**

Toi mon bien aimé, je suis parti sans t'avoir dit ce que je ressentais réellement au fond de moi, à chaque fois que je t'observais à travers ce petit troue dérobé de ma chambre. Ton regard me semblait beau, je voulais que tu me regardes à mon réveil pour que ma journée soit belle. A travers nos interminables jeu de regard, j'essayais de te faire passer un message, que je t'aimais, que je voulais être avec toi. Mais tu le sais, je ne pouvais te le dire de vive voix, c'est pourquoi je comptais sur un talent en toi pour venir faire le premier pas.

Je ne peux pas t'aimer devant le monde car c'est contre nature, je ne peux pas t'aimer car nous allons jamais nous marier, mais je peux t'aimer en secret. Peut-être que toi aussi tu avais peur, peur du regard des autres et surtout de cette pression familiale. Mais je te dis aujourd'hui que je t'aime, que tu me manques et que je suis désolé de ne pas te l'avoir dit.

J'espère un jour que tu tomberas sur ce message, que c'est moi qui te le ferai lire et comme ça on rira ensemble. Je suis désolé, désolé car quand je t'ai vu pour la première fois je n'ai pas eu de coup de foudre, désolé car je ne pouvais pas venir te parler à part t'observer et désolé car je ne te consolait pas dans les moments maussades de ta vie. Mais je t'aime, même après t'avoir quitté, même à des kilomètres de distance je pense toujours à toi. Est-ce qu'on se révéra un jour ? Je ne pense pas. C'est pourquoi je t'écris cette lettre laissant le destin te la faire parvenir. Actuellement il est minuit vingt-deux et je n'arrive pas à effacer ton image de ma tête malgré plusieurs années sans avoir vu ton visage à nouveau. J'espère que tu lira cette lettre pour enfin savoir que quelqu'un dans l'ombre priait pour toi. Je me demande même si une personne fait ainsi pour moi, mais bien sûr que non.

Je me rappelle encore ce jour où on avait dormi dans le même lit. Ce jour je ne n'arrivais pas à trouver le moindre sommeil. C'est comme si Morphée refusait de m'accueillir au pays des songes. Je savais que cette relation était contre nature mais je ne pouvais m'empêcher de me coller à toi. Tu étais comme un aimant, m'attirant et ne me laissant aucune chance de m'en aller. Je ne savais pas si tu dormais, mais je voulais m'en assurer d'une chose, que ce qui se trouvait dans ton pantalon était aussi gros que ta petite amie me le disais.

Je voulais savoir si tu le faisais aussi bien que je l'entendais gémir à chaque fois que tu la martelais. Je voulais tellement te sentir, tellement t'aimer. Mais hélas cela m'était interdit. Alors j'avais décidé de braver cette interdiction, celle qui stipule que c'est une abomination. Je sais que tu rappelles, j'avais juste une brassière et un boxer, toi un haut et une culotte. Mon instinct me disais de me lancer sinon j'allais à jamais le regretter. Je m'étais rapproché, très proche de toi. Je t'observais, ton visage ébène me semblait avoir été fait par les Dieux en personne. Tes lèvres me rappelais celle d'une statue de pierre, magnifique.

J'ai passé ma main à travers ton haut, pour toucher ton ventre plat qui me hurlait de l'embrasser. À cet instant, je voulais que tu te réveilles, pour que tu vois mes intentions, mais dommage que tu faisais semblant, en y repensant, tu jouais très bien le rôle du dormant. J'ai posé mes lèvres contre les tiennes, essayant de sentir ta langue sur la mienne. Je souhaitais d'un tel moment depuis des lustres. Ma main ne s'arrêtait pas de fouiller à travers ton torse un interrupteur pour te sortir du pays du jeu de rôle.

Passant par tes tétons et par ton dos, je me rappelle qu'elle m'avait dit que tu ne résistais pas à une caresse sur les lombaires, mais avec moi tu as résisté. Pourquoi ?

Je me demandais si tu n'étais pas mort, je pris soudainement peur, ce qui m'a fait retirer mes lèvres des tiennes. Mais j'étais rassuré, tu dormais encore ou du moins c'est ce que tu essayais de me faire croire.

J'avais envie, envie de toi, que tu me possèdes là sur ton lit au détriment de ma tante qui est dans la chambre voisine. Je voulais le faire, j'étais prête à t'accueillir en moi. Alors j'ai décidé de passer aux choses sérieuses. Je me suis rapproché, encore, j'avais pris soins de descendre ma culotte et d'enlever ma brassière. Ma poitrine tetonière te faisait face. J'ai essayer de te stimuler en te faisant toucher mes seins mais rien, tu refusais d'ouvrir les yeux.

J'ai essayer en mettant ta main sur ma verge mais rien également. Je commençais à perdre espoir, mon cœur commençait à se serrer, la lumière au bout du tunnel disparaissait. Mais certes tu pouvais faire semblant de dormir, sauf que tu ne pouvais faire semblant de bander. Ta culotte commençait à se soulever ce qui m'a permis de déduire que tu mentais. Alors j'ai baissé ta culotte, cet immense anaconda se tenait déjà debout. Je le voulais, il était devant moi, et m'appelait de plus belle.

J'astiquais le gland de toute mes forces, je le suçais dans toute sa longueur et toute sa largeur. Mais toi tu ne réagissais toujours pas. Mes gorges profonde qui avait déjà fait jouir plusieurs ne te faisait pas passer aux aveux. Je ne savais pas quoi faire. Ce que je voulais était ton gland, alors peu importe si tu ouvrais les yeux ou pas je n'allais pas m'arrêter.

J'avais déjà mal aux mâchoires, tellement mal, c'était engourdi. Ma verge elle voulait aussi goûter. Je m'étais assise lentement sur le gland pour ne pas provoquer une déchirure. Au fur et à mesure que le gland s'enfonçait dans les entrailles je ne cessais de pousser un petit gémissement, je suis sûr que tu t'en souviens.

Lentement et sûrement j'étais arrivé au bout. Et toi qui n'ouvrait pas toujours les yeux, quel pathétique simulacre.

Je commençais à me trémousser d'avant en arrière, de haut en bas avec tes mains sur mes seins, toujours rien, tu faisais toujours semblant. J'avais décidé de me faire plaisir même si toi tu jouais ton rôle. Je montais et descendais de plus en plus rapidement, le simple fait de tenir tes mains me remplissait d'une grande émotion, enfin j'avais eu ce que j'avais tant cherché. Mes coups de reins commençaient à te faire bouger petit à petit, j'en étais fier. Je pense que toi tu ne voulais pas accepter la réalité en face, je savais que je te plaisais également.

Après je me suis allongée sur ton torse, tes mains sur mes fesses, je montais et je descendais, encore et encore. Ce qui m'étonnait c'est le fait que toi tu n'es pas encore joui. Je continuais à me trémousser là sur ton gland qui ne voulais plus devenir mou.

Au moment où je voulais me retirer et enfin vouloir dormir, dans un mouvement de rotation, tu t'es retrouvé sur moi. « Tu penses t'enfuir ? » m'avais-tu dis.

J'en était heureuse, car les choses sérieuses était sur le point de commencer. Je gémissais, mais doucement pour ne pas alerter ma tante. A chaque fois que tu faisais rentrer tout gland avec ce mouvement si descriptif de ton bassin vers l'avant, je perdais mes moyens, le gland allait dans les profondeurs de mes entrailles frapper mon firmament. Est-ce que tu te rappelles qu'à chaque fois que tu faisais ça j'appuyais tes fesses simultanément ? C'était une sensation que je n'avais jamais encore ressenti.

Je me retrouvais maintenant dans la position de prière, le front accolé au lit, mes fesses surplombant la pièce, et toi tu avec tes mains sur mon dos qui me forçait à me cambrer, ton gland en moi en train de me labourer. Cette position me donnait du plaisir et me faisait mal en même temps. Je parle bien de ta façon de baiser, d'un ton rapide, lent, et alterner. Je savais que tu étais bon mais là ça dépassait toutes mes espérances. Je comprends mieux pour cette folle de Mathilde me disait qu'elle ne voulait jamais te lâcher. Je ne te connaissais pas aussi endurant, ma verge était en feu, je te demandais d'arrêter mais c'est comme si mes supplications donnait du carburant à tes reins qui reprenaient leur vitesse. J'arrivais au bout, celle mon point de rupture. Lorsque tu t'es retiré, je me disais que c'était enfin la fin mais hélas non. « Suis moi ! » m'avais-tu dis sur un ton autoritaire. Je ne pouvais pas refuser, après tout, c'était moi qui t'avais réveillé.

Mes deux jambes étaient sur tes épaules, toi debout, quant à moi j'étais sur un meuble, mon jardin à ta merci. Tu ne t'ai pas fais prier pour me baiser comme une chienne. Je ne te savais pas aussi impassible. J'avais mal, mais j'éprouvais aussi du plaisir. Tu m'agrippais les cheveux tout en me répétant des insanités, j'ai aimé. Ton visage était stoïque, n'affichant aucunes émotion. Tu t'étais enfin lâcher sur cette position. Tu as joui en moi. Puis tu m'as dit : « Suis moi ! » encore. J'étais surprise lorsque tu ouvrais la porte qui donnait sur l'extérieur de la maison. J'avoue que c'est là que je ne me suis pas retenue.

On était dehors, il était très tard et personne ne pouvait nous voir. Je gémissais, très fort. À chaque fois que tu ramenais mes cheveux vers l'arrière, à chaque fois que tu baisais avec violence et sensualité, à chaque fois que tu m'agrippais le cou ramenant ma tête vers l'arrière pour me demander si je voulais arrêter. J'avais atteint le nirvâna tant chercher, le septième ciel. J'étais tellement aux anges que j'avais fait pipi, je ne me savais pas fontaine. Et pour terminer cette baise, tu as joui dans ma bouche. Là et seulement là j'ai pu enfin voir un sourire sur ton visage. J'étais heureuse. Mais quelques heures plus tard tu te comportais comme si rien de tout ça ne s'était passé, comme si tu ne m'avais pas baisé la veille. J'en étais profondément meurtri.

J'avais fini de passer la semaine de vacance et je m'en étais allé même si tu te réfugiais. Même si tu ne voulais pas le reconnaître.

Aujourd'hui neuf ans plus tard, je viens te dire que ton enfant se porte bien. Il te ressemble et il a ton prénom, Maximilien. Il ne sait pas que tu es son père, il pense que c'est mon mari actuel, lui même qui ne sait rien d'ailleurs. Alors pour que tu vois la réalité en face, ci joint à cette lettre une photo de ton fils et moi après cette nuit torride entre nous. Je te souhaite le meilleur dans ta relation avec Aurore, tu ne cessais jamais d'enchaîner les conquêtes, j'espère au moins que là c'est du sérieux. Quant à moi à chaque fois que je regarde notre fils, je ne cesse de penser à ce qui c'était passé. Bien de chose à toi Maximilien, je t'aime et je t'attendrais toujours.

Ta cousine...

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