Chapitre 7 : un mauvais choix?

Point de vue :d'Aurore

OH MON DIEU!!! J'ai embrassé Loïc. Je l'ai fait. Je n'ai pas pu résister. Qu'est ce qu'il pense de moi maintenant. S'il comprend que j'ai un mini peu de sentiments pour lui. Imagine il me trouve bizarre et ne veux plus me parler ou qu'il raconte à tout le monde ce que j'ai fait. Je suis tellement déçu de moi-même. Je n'arrête pas de faire des mauvais choix. Je prends alors mon visage en coupe et commence et à penser à ce que je vais faire. J'ai même décidé d'aller chez lui. Qu'elle idiote!

Quelqu'un débarque alors et ouvre brusquement le rideau qui me cachait du regard des autres.

- Aurore !

À mon désespoir, je trouve ma mère plantée devant moi. Je soupire alors.

- Bonjour mère

- Qu'est qui s'est passé ?

- J'ai perdu connaissance

- Et pourquoi ?

- J'étais stressée

- Donc tu m'as fait manquer une réunion très importante pour ça ? Tu n'as vraiment rien à faire de tes journées

- Est-ce que tu peux me laisser maintenant j'ai des cours à rattraper.

À ces mots, je quitte l'infirmerie et retourne en classe. Sur mon chemin je trouve Vicky qui me cherche désespérément. Quand elle m'appecois elle court à une vitesse impressionnante et me fais un gros câlin.

- oh mon Dieu Aurore tu vas bien ?

- oui ça va Vicky t'inquiète

- Donc c'est le gars hyper sexy qui t'a emmené à l'infirmerie ?

Décidément elle ne changera jamais. Je roule alors les yeux.

- oui, c'est bien lui

- Donc vous êtes... en couple ?

- Non

- mais il faut vous décider

- Mais j'ai fait quelque chose que je ne devais pas faire ; dis-je avec avec un air triste

- il t'a rejeté?! ; dit-elle en serrant les poignes

- Non en fait... Je l'ai embrassé ; dis-je en rougissant

- Oh mon Dieu Aurore !

- je sais, j'aurais pas dû.

- Mais non, c'est trop mignon ce que t'a fait et regarde comment tu rougis !

Elle attrapa ma joue et les pinces légèrement

- Et puisqu'est qui s'est passé ? ; demande-t-elle curieuse

- Il m'a demandé de marcher avec lui sur le retour à la maison et à proposer même que je reste chez lui quelques heures.

- Et tu as dit oui ?

- Peut-être que oui.

Je baisse la tête honteuse sentant mon visage brûler. Elle couina d'excite ment.

- Vous êtes le couple le plus mignon que je connaisse.

- On n'est pas en couple Vicky

- C'est ça on verra si tu me diras la même chose dans quelques mois.

Je roule les yeux et continue mon chemin vers ma prochaine classe.

...****************...

La journée est enfin finie. Je me dirige vers la sortie quand j'aperçois... Loïc. Il avait l'air tellement beau il paraît presque irréel. Quand ses yeux rencontre les miennes, il afficha un petit sourire sur le coin. Mon corps alors sans que je le commande avance vers lui, comme si une force magnétique m'attirait vers lui. Un très mauvais choix de ma part.

- Bonjour mademoiselle; sans arrêter de sourire

- C'est nouveau ça comme surnom.

- N'importe quoi pour toi.

- C'est ça.

Je commence alors à marcher sur la route du chemin. Je regarde par réflexe le ciel. On ne peut pas dire que c'est un temps parfait pour se promener.

- Je pense qu'il va pleuvoir ; entendis-je à ma gauche

- Je pense aussi ; approuvais-je

Soudain une fine pluie se vit.

- Je pense qu'on devrait accélérer le pas.

- Ouais.

On prenait une marche rapide quand la pluie devenue plus dense. Je vire ma tête vers ma gauche et le trouve en train de me regarder. Je lui souris et commence à courir à toute vitesse vers sa maison. Je commence à rire frénétiquement en l'entendent me dire de ralentir. J'entend des pas dans les flaques d'eau se rapprocher. Soudain je le vis me dépasser. Je décide alors de sauter sur son dos et il me soulève sans problème.

- Laisse-moi descendre

- C'est toi qui es monté

- Oui, mais je veux descendre maintenant

- trop tard

Accéléra alors le pas qui me fait encore plus rire. Arrivée à son porche, il me laisse descendre. Il enfonce sa main dans sa poche et sort des clefs. Le jeune Apollon ouvre ensuite la porte pour moi.

- Merci ;dis-je en faisant une révérence

- De rien princesse

Je rentre alors dans cette magnifique maison. Je remarque alors qu'elle est vide.

- Tu vis tout seule?

- Non mes parents sont partis à Washington pour le concours de lecture de mon frère.

- Pourquoi est-ce que tu n'es pas parti avec eux ?

- Je n'ai pas envie de rester avec des intellos pendant des jours déjà qu'avec mon frère, je tiens à peine. Imagine avec une dizaine.

- Je te comprends.

- allons dans ma chambre.

- allons-y

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