Chapitre 5: le rêve

(Attention au gens qui sont des âmes sensibles 🔞🔞🔞)

Point de vue d'Aurore:

Je suis allongée sur mon lit en train de lire un livre érotique. Je serre les cuisses en réagissant à ce que je viens de lire. Trois petits coup sur ma porte m'interrompre dans ma lecture. Je souffle de rage et va ouvrir ma porte. Avant de l'ouvrir je me regarde quelque seconde pour voir si ce que je portais était approprié. J'avais des shorts Nike et un t-shirt noir qui enroule mes courbes généreuses. Je juge alors que j'étais assez bien habillée.

J'ouvre enfin la porte, mais ne trouve personne. Je sors la tête regarde des deux côtés. Aucun résultat. Je referme alors la porte. J'avais sûrement mal entendu. J'allais ainsi me remettre dans le confort de mon lit, mais fut arrêté par un autres coups. Cette fois, on ne dirait pas qu'elle viens de la porte. On dirait quelle viens... de la fenêtre ? Je m'approche ensuite de ma fenêtre au-dessus de mon Chill espace. Je m'apprête donc à ouvrir la fenêtre et poursuivre mon enquête et peut être trouver la solution. Je scrute ensuite la silhouette. On ne dirait pas une femme, car elle a une forme un peu plus musclée. Je décide de prendre mon courage a deux mais et j'ouvre le rideau. Mes yeux d'arrondissent quand je trouve Loïc sur le toit de ma maison. Il me fait un signe avec sa main de lui ouvrir la fenêtre pour qu'il rentre. Je m'exécute alors.

- Qu'est-ce que tu fais ici ?

- Tu sais très bien pourquoi je suis ici

Oh non ne me dit pas que c'est ce que je pense.

- Je... je ne sais pas de quoi tu parles; bégayai-je

- Je vois la façon dont tu me regardes ne joue pas l'innocente.

Il avança dangereusement vers moi et je reculais pas à pas jusqu'à ce que je touche le bord de mon lit.

- J'ai besoin de ton aide. C'est ton dégât de toute façon. Il faudra bien que tu nettoies.

Il baisse ensuite les yeux vers son entrejambe et je fis de même. J'étais choquée de voir qu'il y avait quelque chose de gros qui pointait sur son pantalon.

- Mes yeux sont ici ma belle ; dit-il en relevant ma tête avec le bout de son doigt.

Il voulait que je… Oh mon Dieu. Je n'étais pas prête à ça.

Pendant que j'étais perdu dans la lune, il me contourne et attrapes mon livre. Il commence alors à méticuleusement lire. Mots par mots. Je me tourne ainsi vers lui pour trouver un sourire malicieux sur ses lèvres.

- Tu veux reproduire la scène dans le livre ? Parce que moi j'ai envie. J'ai envie de faire chose tu ne peux même pas imaginer.

Soudain, il me tira par les hanches qui me propulsent sur lui. En dessous de moi je peux sentir la bosse dure qui s'était formé. Il m'appuya alors sur la bosse. Je me mordis alors la lèvre pour ne pas gémir.

- Tu sens ça ? Il est monstrueux n'est pas. J'ai tout fait pour qu'il se calme. Je me suis tellement masturbé ma main est fatigué. J'ai besoin de ton aide. Tu es la seule qui puisse m'aider. Je t'en pris.

- Tu veux que je t'aide comment ?

- Tout ce que tu désires.

Qu'est ce que je suis en train de faire ?

- Donne-moi de l'imagination.

- Ok hum… Tu pourrais me sucer la bite, ou je peux aussi te baisser.

- Laquelle est ta préférence.

- La deuxième.

Pourquoi, pourquoi, pourquoi moi !

- Allons-y alors pour la deuxième.

Son sourire agrandi ensuite et il me plaque à ce moment-là à une vitesse impressionnante. Il plaque ensuite ses lèvres juteuses sur les miennes. Il goûtait le melon d'eau que je trouve délicieux. Il enfonce ensuite sa langue dans ma bouche. Je le laisse explorer ma bouche. Il ne s'arrêtait pas. Ça ce voyait qu'il avait faim. On se sépare donc hors de souffle. Ses yeux me regardent avec plein de désir. Puis, il replongea dans ma bouche.

- Ton goût m'hypnotise ;me dit-il entre deux baisers

Sa main se faufile dans mon dos. Sa bague froide me donne des frissons sur mon dos. Ils se dirigent alors mes seins et il les empaume fermement. Il soulève ensuite mon t-shirt qui libère mes nichons. Ses yeux s'illuminent en voyant cela. Du revers de sa main, il essuie la bave qui sort de sa bouche. Sans plus attendre il gobe l'une de mes paires et malaxe l'autre avec sa main. Je gémis alors qu'il lèche le bout. Après un bout, il les lâche et décent plus bas. Il déposait des baisers humides sur ma peaux.

Il fut arrêté par un bruit. On dirait une alarme qui sonne.

Soudain tout deviens noir. Je me retrouve sur mon lit toute seul. J'enlève alors le livre que je laissais hier de ma face. J'observe donc ma chambre. Les rideaux étaient fermé, ma porte aussi. Il n'y avait pas de signe d'infraction.

Putain c'était juste un rêve. Pas n'importe lequel un érotique sûr ... Loïc.

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