Chapitre 11

 Huo, évitant les gardes endormis et les serviteurs distraits par leurs tâches nocturnes. Chaque pas résonnait comme un tambour dans son esprit.

 La chambre de la concubine Zhao était située à l'autre bout du palais, entourée d'une aura d'opulence

 Arrivée devant la porte les deux gardes placés l'arretaient, les lanternes vacillantes projetaient des embras sur les murs, créant une atmosphère à la fois magique et menaçante. Elle prit une profonde inspiration :

 << Je désire voir la concubine par excellence, exprima Huo d'une voix affaiblie, mais méchante à l'intérieur.

<< Qui va là ? Demanda une voix douce

 Dame Huo hésita un instant avant de répondre

<< C'est moi, ta sœur, j'ai besoin de te parler>> La porte s'ouvrit lentement, révélant Zhao dans une robe de soir legère, ses cheveux detachée. Elle sourit à dame Huo avec une fausse douceur qui lui fit serrer les poings.

<< Que veux-tu en pleine nuit ? Demanda Zhao avec un air désinvolte

 - Tu oublies comment acceuillir une dame de sa majesté>>, questionna- elle sans attendre une reponse

Entra brusquement dans la chambre et ferma la porte derrière elle.

 << Tu as tout pris de moi ! S'écria dame Huo, sa voix tremblante d'émotion, tu as volé mon honneur et détruire ma vie !

 - De quoi vous parlez ! En quoi je suis coupable ! Bref je suis fatigué si tu as besoin de discuter au futur vas voir ta sœur chérie, car moi je ne suis pas ta sœur ! S'il vous plaît ! En faisant signe de sortir.

 Dans un élan furieux, dame Huo avança vers Zhao, le poignard brilla sous la lumière des lanternes alors qu'elle frappait avec une précision mortelle. Le cri de Zhao résonna dans le palais silencieux avant d'être étouffé par l'inéluctable silence qui suivit. Elle quitta rapidement la pièce en passant par la fenêtre

 Les gardes alarmés entraient dans la chambre :

<< Elle ne doit pas être loin ! cherchez-laa ! >> ordonna un garde royal

Dans les couloirs sombre du palais royal, alors que les lanternes vacillaient encore au gré du vent nocturne. Dame Huo avançait a grand pas avec une determination glaciale, elle decida qu'il était temps de mettre fin à ce jeu, debout devant Ange du bonheur

<< Ma dame vous pouvez pas rester là, dit un garde

 << Va dire a sa majesté que sa concubine favorite et toutes les autres ne sont plus de ce monde ! va apporter cela a sa majesté

<< Sa majesté dort en ce moment, mais vous pouvez entrer >>

 Dame Huo savait parfaitement bien aucuns gardes ne voulaient annoncer cette grande nouvelle sous peine de mort et c'est avec un sourire qu'il approcha devant la porte ornée de motifs délicats

 La porte s'ouvrit, révélant une pièce luxueuse, acompagnée par deux gardes:

 << Vous pouvez partir, ordonne-t'elle

- Ma chambre est devenu l'endroit de la discution et de rencontre, entendit une voix sans appelle

- Votre majesté, salut les gardes

- Pardonne le mon roi,dit dame Huo, sortez ! En s'adressant au soldat

- Ce n'est pas a vous de decider qui vient et qui part, lança le souverain

- Mon roi ! Salut général Mao, accompagnés de plusieurs gardes

 Parmis de ces soldat, li y avait les gardes de la concubine Zhao. Dame Huo savait qu'elle serait désormais seule face aux conséquences de ses choix, son coeur battant la chamade, son seul regrèt est qu'il est toujour vivant

- Très interresant, pourquoi vous ne prennez pas un siège, je vais vous servir un peu de vin, proposa-t-il d'un ton sacastique

 - Arrêter dame Huo immédiatement, ordonne le général, pour l'assassinat des Dames et des concubines royales

- Atttendez! elles sont tous mortes! vraiment ! haha, ha, haha, rit elle

- Vous êtes folle ! criait sa majesté, et ta folie va conmdaner toutes les membres de ta famille.>>

 Sa majesté s'approcha d'elle avec un regard attristé, il murmure dans son oreille :

<< BON TRAVAIL >> il s'écarta, les yeux se croisaient et dame Huo se rendu compte, dans sa quête de vengeance, elle avait franchi une ligne fatidique qui condamneraient toute sa famille.

C'est avec un grand sourire que dame Huo à saisir une épée d'un soldat et trancha sa gorge. Alors que le sang se répandait sur le sol marbré du palais royal, sa majesté décrétait que tout le clan Huo doit être exécuté !

 Le lendemain de l'assassinat le palais royal était enveloppé d'une atmosphère lourde et oppressante.

 L'empereur, assis sur son trône orné de jade et d'or, contemplait le chaos qui régnait au palais avec un sourire satisfait. Pour lui, l'assassinat des femmes de son harem n'était pas seulement un événement tragique, mais une opportunité.

 << Que le conseil se réunisse ! >> ordonna-t-il d'une voix ferme. Ses ministres entrèrent en hâte, leurs visages marqués par l'inquiétude. Ils savaient que l'empereur avait un penchant pour le drame, mais ce qu'il voyait comme une simple distraction était un coup de maître dans son jeu de pouvoir.

 << Mes chers conseillés, commença-t-il avec une voix triste, la mort de ces femmes a révélé des vérités cachées dans notre palais. Nous devons tirer parti de cette situation pour renforcer notre autorité et rétablir l'ordre.>>

Les ministres échangèrent des regards perplexes. L'un d'eux, le vieux conseiller Li, osa prendre la parole :

<< Sire, nous devons enquêter sur la cause qui a pousser dame Huo a commis un tel acte car on sache tous qu'elle était une femme respectieuse et calme

- Je suis d'accord à les dires du ministre Li, dit le conseiller Na. Il ne s'agit pas simplement de dame Huo ! C'est tout le clan qu'il est question

L'empereur leva une main pour interrompre le conseiller

- Pourquoi perdre du temps avec des enquêtes inutiles ? Au lieu de cela, pourquoi ne pas profiter de cette angoisse ? pour faire savoir a toutes les familles nobles qui souhaitent l'une de leurs filles devenir ma concubine ! sache que leur position est précaire. Cela nous permettera d'affirmer notre pouvoir sans avoir à lever l'épée .>>

Un murmure d'approbation se fit entendre parmi les ministres. Ils savaient que l'empereur avait toujours eu une vision stratégique et qu'il savait manipuler les événements à son avantage.

<< Organisez un banquet pour la future impératrice, continua-t-il avec un sourire calculé, invitez mes futures concubines et assurez-vous qu'elles comprennent que leur survie dépend non seulement de leur beauté, mais aussi de leur loyauté envers moi. Je veux voir la peur dans les yeux ; c'est ainsi que je sélectionnerai et garderai le contrôle sur elles. >>

Les ministres hochèrent la tête en signe d'assentiment, conscients qu'ils n'avaient pas vraiment d'autre choix que de suivre les désirs de leur souverain.

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