Chapitre 4

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-Qu'est-ce qui ne va pas ? Interrogea le roi

-Je crois, il se passe quelque chose dans le harem, signala Wu Chen

-Vraiment ! Exclama sa majesté

-Oui, dit Wu Chen >>

Il riait à gorge déployer et vient vers son serviteur toute exciter :

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-Morte eh...

-Dis-moi est- ce la fille du premier

ministre ou celle du fonctionnaire lui coupa le roi

-Votre majesté, commença Wu Chen tout effrayé de la réponse il va donner 

-Per...personne, dit Wu Chen d'un souffle

-Tu sais ce qui arrive quand on me ment, demanda le souverain

-Oui, mais je ne vous ai pas menti, dit le serviteur

-Donc c'est moi qui mens, criait le roi

Sur ses paroles le serviteur agenouiller pour supplier le monarque

-J'ai eu tort, j'ai eu tort, j'ai eu tort, ne cesse de répéter Wu Chen en tapant sa tête sur le sol

-Bien, puisque tu as reconnu votre tort et que je suis quelqu'un très généreux, pour ta punition tu recevras cinquante coups de fouets

-Merci, longue vie au roi, criait Wu Chen >>

 Il quitta la pièce si vite au point il n'a pas vu le général qui arrivait à sa direction.cognant à celui-ci, leva la tête pour voir de qui il s'agit. Il s'est écarté, fait une révérence et s'en alla.

<< Attendez !>>entendit-il ?

 Wu Chen tourna, regarda autour de lui et voir le général qui venait à sa rencontre

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-Comment ça pourrait aller bien hein ! dit le moi, je vu la mort, la mort dit-il, un peu haletant

 Mao levant un sourcil un peu étonné

-Tu as dû faire quelque chose quand même pour cela, révéla- t-il

-Je n'ai rien fait ! je juste dire qu'il avait du tension dans le harem

- C'est tout, insista-t-il

-Oui, et cela m'a couté cinquante coups de fouets, n'est-il pas généreux de sa part, révélait Wu Chen

-Bien sûr très généreux de sa part, annonça Mao >>

Le général reluque le serviteur de la tête au pied: Ayant un corps tout mince sur son un mètre cinquante-cinq, cinquante coups, c'est une autre forme de mourir.

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-N'est-il pas mieux que de me couper la tête, lança le serviteur >>

 Il s'inclina et partait pour aller chez son ami le docteur.

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-Tu m'apportes une bonne nouvelle sinon tu peux te préparer pour ta punition, déclara empereur

-Tout est prêt, dit Mao

-Donc c'est une bonne chose pour toi, en quoi cela me concerne, répliqua sa majesté >>

 Le général se rendu compte que le souverain était mécontent, dame Zu en est elle la cause pensait Mao, il vaut mieux d'éviter le sujet de harem.

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-Votre majesté comment pourrais-je savoir…

-Faire très attention à ce que tu vas mentionner, intervint le monarque durement

-Ce n'est rien sérieux à pas le fait que la dame Chu a enfoncé son épingle dans le poignet de la concubine Zhao

-Qu'est-ce qui lui a prit de commettre un tel acte ? S'enquit-il, moqueur

-Vous connaissez la concubine Zhao elle un peu impulsive >>

Le roi éclata de rire

<>pensa-t-il

Sa majesté semble détendu, se ne sera pas difficile d'aborder le sujet

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-Oui, dit-il

-Concubine Zhao j'imagines qu'elle doit souffrir en ce moment ? Questionnais le roi

-Elle doit beaucoup souffrir surtout le docteur a mentionné qu'elle risque d'avoir une cicatrice, expliqua Mao

-On va promener>>

Tout au long du parcourt Mao n'a cessé de penser a Wu Chen. Il est le seul qui pourra servir cordialement le souverain, s'il lui arrivait maleur, j'ai bien peur que la vie des serviteurs seront écourtés.

 Il se trouvait devant le hall de la concubine Zhao...

 Le général écarquilla les yeux de surprise :

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-Tu penses que tu mérites une réponse, prononça le roi

-Rendre visite à la concubine, c'est mettre de l'huile sur le feu, averti Mao

-Où tu as détecté le feu, retorqua-t-il

-Vous n'avez jamais rendu visite à aucune femme à cette heure là, avoua-t-il >>

L'empereur leva un sourcil d'un air sardonique :

<< Il y a toujours une première fois à toute bonne chose, répliqua-t-il

-Mon roi, vous pouvez abréger la punition de Wu Chen

-Je n'ai pas envie, mais toi tu peux, en me pointant du doigt

-Moi, comment je...

-En l'aidant avec les coups, en y réfléchi tu peux recevoir quarante-cinq pour lui, bon, c'est à toi d'en décider, ajouta-t-il en tapant sur son épaule

Il contunua d 'un air candide :

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