traitre

A la vitesse de l'éclair, il pousse l'appareil à l'extérieur d'une petite fenêtre, qui mène à une ruelle sans issue. Il me protège lorsque l'appareil se déclenche. Heureusement, la seul chose qui se brise et le verre de la petite fenêtre. Après avoir appelé la sécurité et s'être assuré que les autres chercheurs vont bien, il m'entraîne dans son bureau.

Hayden : Assieds-toi ici. Je vais appeler Keith.

Je m'assieds, l'écoutant expliquer ce qui c'est passé au téléphone. Au bout d'une minute, il raccroche et me regarde.

Hayden : Keith et Colin sont en route. Jusqu'à leur arrivée, nous devons rester ici.

Je baisse les yeux sur mes mains, laissant échapper un soupir gêné.

Hayden : Yuki ?

Yuki : Et si j'avais mis plus de temp à te l'apporter ?

Je mets mon visage entre mes main, quelques larmes coulant alors que je continue à trembler.

Hayden : C'est bon, Yuki. Tu vas bien. S-Si tu veux...

Je lève les yeux vers Hayden qui détourne le regard.

Hayden : Je connais des points de pression qui peuvent t'aider à te calmer.

(Insinue-t'il qu'il veut me faire un massage ?)

Je réfléchis en essuyant mes larmes.

Yuki : Merci pour l'offre, mais ça va. Je vais simplement essayer de respirer profondément.

Il se tourne pour retourner à son bureau. Les minutes passent et bientôt, on frappe à la porte. Keith et Colin entrent et nous Commençons à discuter de la façon dont Sébastian et son assistant deviennent plus audacieux.

Keith : Il faut agir, et vite.

Yuki : D'accord mais où allons-nous le trouver ?

Keith : "Nous" C'est-à-dire Colin, Hayden et moi, nous allons le trouver. Toi, tu resteras en arrière, ou tu nous tireras tous vers le bas.

Colin ouvre la bouche, clairement pour réprimander Keith, mais je le devance.

Yuki : Vous tirer vers le bas ?! c'est pas parce que je suis humaine que je suis inutile ! Je suis impliquée autant que vous tous, et je vais faire ma part pour vous aider ! En plus Colin m'a entraînée, je sais me défendre !

Keith : Quelques mouvements ne suffiront pas contre Sébastian et ses partisans. Si tu ne l'as pas remarqué, l'un de nous t'a sauvée chaque fois que quelque chose à mal tourné. Et tu as failli exploser tout à l'heure bon sang !

(Je sens ma frustration débordé. Mais l'un de nous dois faire un effort et se retenir de hurler, je suppose que ce sera moi...)

Je prends une profonde inspiration avant de répondre calmement.

Yuki : Écoute, je sais que c'est dangereux. Si Hayden n'étais pas là, je ne serais pas là maintenant.

cette pensée me retourne l'estomac, tandis que Keith commence à ce calmer légèrement.

Yuki : Je comprends qu'il y'a des risques et des dangers. Mais s'il te plaît, essaie de me comprendre aussi, Keith... Je ne veux pas me contenter de rester en arrière pendant le combat. je veux tous vous protéger comme vous m'avez protégée.

Keith se tait, me regarde de ses yeux perçants, puis parle d'une voix grave et sombre.

Keith : Je ne peux pas te laisser nous aider. je ne veux pas te mettre en danger, Yuki.

Je sens mes joue se réchauffer alors que Keith détourne le regard.

Colin : Yuki... Je suis d'accord avec Keith. Je ne veux pas te perdre non plus.

Hayden croise les bras et s'appuie contre son bureau.

Hayden : Cela n'a aucun sens de te faire prendre des risques.

Je laisse échapper un profond soupir.

(Je vois qu'il ne sert à rien de discuter avec eux. Je devrais juste trouver un moyen de rejoindre le combat plus tard.)

Yuki : Très bien, je vais resté en arrière.

Ce que je dis est suffisant pour obtenir un hochement de tête satisfait de tout le monde.

Keith : Ce sera mieux. Voyons maintenant comment retrouver Sébastian.

Nous passons quelques heures à élaboré des idées avand de poursuivre notre journée. Après une autre nuit en toute sécurité chez Keith, je me mets au travail de bonne heure.

(J'espère que nous pourrions arrêter Sébastian dès que possible...)

Herbert : Bonjour, Yuki !

La voix familière me tire de mes pensées agitées.

Yuki : Bonjour Herbert. Est-ce...

Je désigne le grand plat a four qu'il porte, recouvert de papiers d'aluminium.

Herbert : Ce sont les douceurs dont je t'ai parlé hier ! Et là, j'ai tes brownies. Allez, goûte !

Il replie le coin du papier d'aluminium, et j'attrape une grosse tranche.

Yuki : Tu es vraiment un amour, tu le sais, Herbert ?

Je prend une bouchée, puis plusieurs autres jusqu'à ce que j'aie tout englouti.

Yuki : Waouh, il est incroyable ! Tu es un sacré pâtissier ! Cependant il y avait un drôle d'arrière-goût, et...

Ma tête se met à tourner et ma vision se brouille. La dernière chose que je vois, c'est Herbert qui sourit. Puis tout s'assombrit...

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