mes sentiments

Keith : J'ai parlé avec mon personnel, ils vont bientôt préparer le dîner.

Yuki : Merci...

Je reste bouche bée devant l'immense et extravagant salon.

(enfin, il est PDG d'une société pharmaceutique très prospère.)

Yuki : Euh...Cet endroit est un peu grand pour toi, non ?

Il s'approche, un sourire arrogant aux lèvres.

Keith : Peut-être que oui... mais maintenant, je t'ai pour me tenir compagnie, n'est-ce pas ?

Je déglutis difficile et il se retourne, me conduisant vers une autre pièce.

(Il peut essayer de flirter pour s'éloigner du sujet, mais je pense toujour qu'on peut se sentir seul, dans un si grand endroit...)

Après un dîner gastronomique, de toute les pièces, c'est dans la chambre de Keith que je me retrouve.

(Je n'arrive toujours pas à croire qu'il veille que je reste dans ça chambre avec lui.)

Alors que je m'installe dans son lit, j'essaie de ne pas fixer son torse nu dans l'espoir de conjurer ma rougeur.

Yuki : Tu es vraiment sûr que je ne peux pas simplement rester dans une autre pièce ?

Keith : Comme je te l'ai dit pendant le dîner, ici, je peux mieux garder l'œil sur toi. En plus je vais dormir sur le canapé.

Son regard se pose sur moi tout d'un coup, ses lèvres se tordant en un sourire narquois.

Keith : Cependant, ça ne me dérangerait pas de te rejoindre au lit, si c'est ce que tu souhaites.

Yukk : N-Non, merci ! Ça ira !

Quelques heures plus tard, cependant, je me réveille d'un cauchemar, alors je demande à Keith de rester avec moi au lit. Il me fait face depuis l'extérieur des couvertures, un sourire de loup sur le visage.

Keith : Je savais que tu ne pourrais pas me refuser.

Yuki : Tu sais ce que je voulais dire quand j'ai dit que j'avais besoin de compagnie.

Son visage est soudain plus proche, à un centimètres du mien.

Keith : Ça pourrait être interprété de différentes manières. Tu devrais être au sommet de ton art et faire attention à ce que tu dis.

Mon cœur bondit, mais je cache ma surprise en ricanant et en levant les yeux au ciel.

Yuki : Je te jure, tu parles comme un parent parfois...

C'est alors qu'une curiosité me vient à l'esprit.

C'est... ça que voulez tes parents ?

Le visage de Keith devient de pierres, ce qui me met sous tension.

Keith : Maintenant que j'y pense... Oui. Ils avais de grande attentes pour ma sœur et moi, Ils s'assuraient que nous excellions dans tout ce que nous faisions pour que nous ayons un avenir prospère. C'est pourquoi, quoiqu'il arrive, j'ai besoin de ce sérum pour réussir.

Yuki : Waouh... Ça à quand même dû être beaucoup de pression. Bien sûr, tu as du succès maintenant, mais tu as aimé ton enfance.

Keith : elle étais passable. Agréable ou non. J'aimerais penser que cela en valait la peine parce que j'ai pu te rencontrer. Avec toi, c'est beaucoup plus agréable.

Avand que je ne puisse dire quoique ce soit. Il rampe sur moi, ses lèvres déposant des baisers de ma mâchoire à mon cou.

Keith : Ta peau est si douce, Yuki... Ça me donne envie d'une petite morsure.

Mes yeux s'écarquillent tendit que mon cœur bat la chamade.

Yuki : U-Une morsure ?!

Keith : n'est pas l'air aussi terrifiée. Juste un petit grignotage, je peux garder un contrôle total, je te le promets.

(Il c'est montrer digne de confiance jusqu'à présent...)

Mes yeux vont de son regard inébranlable à sa bouche, où je vois l'éclat de ses crocs. nos regard se croisent à nouveau et je hoche lentement la tête. Ses sourcils se lèvent.

Keith : Vraimment ?

Yuki : tu as l'air surpris.

Keith : un peu, je dois l'admettre. Heureusement surpris, cependant...

Un sourire diabolique joue sur ses lèvres.

Keith : Tu es prête ?

Yuki : Euh, Ouais... mais tu jure que tu peux contrôler tes pulsions ?

Keith : Mes pulsions ? Oui, je te le promets. Ce liés au sang au moins...

Yuki : Keith ! Tu ne m'aide pas à me sentir moins nerveuse !

Il rit et lève les yeux, ses crocs complètement exposés.

Keith : Chute maintenant, reste immobile autant que tu peux.

Ses mouvements sont incroyablement lents alors que ses canines effleurent m'a peau. Puis il enfonce ses dents, perçant à peine la peau et me faisant haleter. Après la douleur initiale, et alors que Keith aspire lentement, une nouvelle sensation prend le dessus... Une chaleur apaisante inonde mes veines, illuminant chaque terminaison nerveuse de mon corps.

(je peux... à peine penser.)

Puis ses canines sortent, et il lève la tête. Ma poitrine se soulève alors qu'il lèche le rouge sur ses crocs, ses yeux brûlant de désir.

Keith : Mince... même si j'en veux plus, j'ai besoin d'arrêter.

(Je veux qu'il continue, mais il à raison...)

Yuki : Merci, Keith, d'avoir fait preuve de retenue. Je... je ne sais pas si je t'aurais arrêté...

Il est maintenant allongée à côtés de moi et, encore une fois, il a l'air surpris.

Keith : Oh, vraiment ? c'était une bonne expérience, alors ?

Yuki : Ouais, tu peux certainement dire ça.

Il se penche et presse ses lèvres contre les miennes, brièvement, mais elle sont pleines de passion.

Keith : C'est bon à savoir, j'espère que nous pourrions aller plus loin à un moment donné.

Ma voix sort à peine comme un murmure.

Yuki : Oui, peut-être...

Keith : On devrait dormir un peu maintenant. nous devons nous lever tôt.

Yuki : C'est vrai. Bonne nuit, Keith.

Nous nous blottisons alors l'un contre l'autre, ses bras protecteur autour de moi, et sombrons dans un profond sommeil. Je me réveille satisfaite.

(Je n'arrive pas à croire que j'ai dormi dans les bras de Keith...)

Je tend la main vers l'endroit où se trouve son corps, mais je n'y trouve personne.

(Ou est-il allé ?)

Mon cœur bondit dans ma gorge alors que mon regard vole vers la fenêtre d'où provient le grattement.

(Quoi, qui est là ?!)

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