Chapitre 13 : Bravé l'interdit

🔞🔞🔞 Âme sensible, s'abstenir please !

Le point de vue de Marvin

“Je suis un minable” - C’est ce que je me suis dit après avoir quitté l’appartement de Leny, alors que tout mon être voulait rester avec lui et lui faire l’amour jusqu'à à en mourir.

Leny: Tu as raison, ce n'est pas bien. Tu es un homme marié et père de Maxime qui plus ai. Il vaut mieux que l’on arrête là et que l’on fasse comme si de rien n’était.

Quand il m’a dit cela, j’ai ressenti toute la frustration qu’il était en train d’éprouver à ce moment-là et j’ai eu très envie de lui dire toute la vérité. J’avais envie de lui dire que ce n’était pas ce qu'il pensait, que je n’ai plus rien avec ma femme et que si je ne voulais pas continuer, c’était uniquement à cause de mon fils.

Cependant, je comprends très bien sa colère, il a raison de m’en vouloir parce que moi aussi, je m’en veux de continuer à ressentir ce que je ressens pour lui. Je m’en veux de ne pas me sentir capable de l’oublier pour laisser place à mon fils d’essayer de le conquérir.

Quand je suis rentré à la maison, j’ai trouvé Maxime sur le point de partir pour aller le retrouver. Il a un sac dans les mains et il est très souriant.

Moi : C’est quoi tout ça ?

Maxime : Ah ça ! Ce sont des biscuits que j’ai achetés pour apporter à Laurens, il adore en manger.- Au lieu d'être heureux pour mon fils à ce moment-là, j’étais jaloux.

Jaloux de me rendre compte qu'il connaissait déjà des choses sur ce garçon, que moi je ne m’en doutais pas.

Maxime : J’y vais, je ne veux pas le faire trop attendre. Peut être que ce soir, j’aurais un nouveau petit, qui s’est ! Souhaite moi bonne chance. - Il semble vraiment heureux et déjà très attaché à ce garçon, j’aurais dû être heureux aussi pour lui et je le veux vraiment.

Mais je n’y arrive pas. Je suis jaloux, je me suis senti tout à coup impuissant. Tout ce que je voulais faire, c’était de prendre mon téléphone et appeler Laurens et lui demander de ne pas sortir avec mon fils ce soir. Je sais que c’est égoïste de ma part, ce n’est pas bien de vouloir faire une telle chose à son propre enfant. Mais pourquoi je n’arrive pas à sortir ce garçon de mon esprit ? Pourquoi il m’obsède autant ?

Pour me changer les idées et essayer d’oublier pendant quelques minutes le fait que Maxime et Laurens sont ensemble en ce moment et que tout peux se passer entre eux, j'y vais m'enfermer dans le bureau et me plonger dans le travail. Maëva est enfermée dans sa chambre, en plein tchat avec ses copines et sa mère travaille ce soir à l’hôpital, elle est du service du soir.

Alors que j’essayais de me concentrer difficilement sur le travail que je fais sur l’ordinateur, j’entends mon téléphone qui se met à sonner. A peine que j’ai vu que c’était le nom de Laurens qui était affiché, je me suis précipité pour lui répondre. Je ressentais à ce moment-là un mélange d’excitation et de joie, sans même savoir pourquoi il m’avait appelé.

Laurens : Tu va me pardonner si je te dérange, alors que tu dois forcementt être déjà dans les bras de ta femme, bref ! Je veux juste te dire à quel point je te déteste. Je te haïs parce que tu es marié, parce que tu es le père de Maxime et surtout, parce que je suis amoureux de toi comme un imbécile. Voilà, c’est tout ce que je voulais te dire.

Je l’ai écouté avec attention, chaque mot qu’il venait de dire mon blessé du plus profond mon être. J’ai eu l’impression que mon cœur était sur le point de se déchirer en mille morceaux, je ne pouvais pas rester là, sans rien faire.

Je me lève aussitôt et prends mes clés de voiture, je quitte la maison en vitesse. Je n’étais pas du tout sûr que je le trouverai chez lui, pire encore, s’il rentrerai en compagnie de Maxime

Je me rends compte que je prends des risques, je me comporte comme un jeune premier qui se laisse uniquement guidé par ses émotions, sans penser aux conséquences. Je ne peux pas m’empêcher de ressentir ce que je ressens, c’est ça le problème.

Je me suis senti soulagé, heureux, quand je l’ai vu arriver seul. A cet instant, je savais déjà dans ma tête que je n’allais pas pouvoir me retenir, je le veux et j’ai bien l’intention de l’avoir pour moi.

Laurens : Si tu commences, il faudra que tu ailles jusqu’au bout cette fois

La façon qu’il m’a regardée en me disant cela à fait augmenter deux fois plus le désir intense que je ressentais, ce tout ce que je voulais entendre, c’est exactement ce qu'il vient de me dire.

Je le plaque sur le mur et commence à l’embrasser, je sens qu’il a la même envie que moi à la façon qu’il s’est abandonné à moi, je me sens perdue dans les lèvres de ce garçon. Cela faisait longtemps que je n’avais pas autant désiré de faire l’amour à une personne.

Je vais vite, je ne prend pas mon temps, je suis peut être même un peu brusque mais c’est la passion qui brûle en moi tél un un feu qui me consume à l’intérieur et qui guide mes actions.

D’un mouvement brusque, je le retourne pour qu'il me donne dos et sans plus attendre, je fais descendre son pantalon et son sous-vêtements

Laurens: Marvin, je te veux en moi, maintenant…

Ce qu’il me dit m’excite encore plus, je lui fais écarter les jambes et avec mes doigts, je passe un peu de salive dans sa rondelle. Puis, je commence à faire rentrer deux doigts que je fais rentrer et fait sortir, tout en massant son sexe bien érection.

Ses gémissements son comme de la musique dans mes oreilles, ils me font perdre encore plus la tête

Moi : Tu me rends fou, Laurens. Qu’est-ce que tu es en train de faire de moi ?

Je me rends compte que je peux perdre beaucoup en me laissant aller par la passion que je ressens pour ce gars. Surtout, je peux perdre ma relation avec mon fils, ce qui me fait le plus peur.

Pourtant, je me sens incapable de m’arrêter, c’est plus fort que moi.

Laurens : C’est toi que je veux, Marvin. Je ne veux personne d’autre que toi. - Ces paroles m'excitent, mais à un point…

Surtout qu’il commence aussi à me branler, alors que je continue à faire le va-et-vient avec mes doigts dans son entrée.

Je ne peux plus me retenir, je fais rentrer mon membre en lui avez une force virile, je me rends compte que je lui ai fait un peu fait mal, alors, je ne bouge pas pendant quelques secondes pour lui laisser le temps de se remettre. Puis, je recommence à bouger en lui, tout d’abord lentement et petit à petit, j’ai commencé à augmenter mes mouvements…

Il gémit bruyamment, il hurle même, m'étant la main de temps en temps sur la bouche pour étouffer ses cris. Je me rends compte que la position où nous sommes risque beaucoup de le fatiguer, alors, je décide de me retirer. Je le retourne vers moi et je l’embrasse. J’enlève en même temps son sweat que j’en vois ensuite au sol, il fait de même pour moi .

Et aussitôt, je l'incite à reculer jusqu'à à aller s’asseoir sur la table, tout en continuant à l’embrasser. Et là, nous recommençons sans plus tarder où nous nous étions arrêtés.

Auteure : Coucou les amis.

Je suis trop malade aujourd'hui pour écrire plus, je vous laisse donc un seul chapitre. Gros bisous 😘😘😘

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