04

J’étais comme un cheval qui voulait niquer, ça faisait tellement longtemps que je ne l’ai pas fait, mon envie est décuplée. Mais la bonne dame n’étais pas encore là et je commençais à m’inquiéter, et mes parents aussi qui ne veulent pas se rendre au travail, quelle plaie.

On dirait que tout est programmé pour me faire appliquer la chasteté contre mon gré. J’en peu plus, je sens que mes boules vont exploser si je ne les vides pas aujourd’hui.

Je suis encore sur mon lit, observant toutes les deux minutes mon téléphone pour savoir si elle viendra ou pas et mes oreilles tournés vers l’extérieur pour enfin entendre la voiture quitter la concession. Je ne peux pas baiser en sachant que les parents sont justes dans la pièce à côté, non. Ils n’en croiraient pas leurs oreilles. Lorsque je nique, c’est pas pour jouer. Et cette meuf qui aime tant gémir, ils viendront aussitôt nous arrêter pensant que quelqu’un est mort.

Dans mon fort intérieur, ce que je désire de lui c’est juste le sexe, je ne suis pas prêt à être en couple avec mec, ou du moins pour l’instant. La première expérience fut très intéressante pour moi, je ne comprends pas pourquoi ce plaisir est tant redouté par les Hommes, qu’est-ce qu’il y a de mal ? C’est juste deux hommes qui se font plaisir entre eux, cela n’enlève pas leur capacité à coucher avec une femme, ou leur capacité à procréer, rien de ça. Et c’est dans ce genre de relation qu’il y a un plus grand plaisir, je l’ai constaté. L’interdit est donc aussi bon qu’on le dit.

Dans ce cas je ne pense pas être le seul à être embarqué dans ce genre de passion frauduleuse. Après tout, qui n’a jamais fraudé dans sa vie ?

Je croyais qu’elle allait m’envoyer un message mais il me semble que non. Une fois mes parents partis à leur travail respectif j’étais désormais seul, encore une fois. C’est tellement difficile d’être fils unique, on a pas de frère avec qui s’amuser ou papoter, juste des potes avec qui, je veux être franc, nous avons rien en commun.

Quelqu’un frappait à la porte, je pensais alors que c’était lui, qu’il voulait déjà satisfaire son envie matinale. Mais il me semblait que non, c’était ma dulcinée, Cynthia. Je suis très content car je vais enfin pouvoir me vider, je lui ai dit au téléphone que j’avais très envie d’elle.

Jordan aussi était là, chez lui, mais il n’était pas tout seul, il était avec un de ses nombreux potes dont je ne connais le nom. Il regardait par moment dans notre direction en faisant un signe distinctif, il attrapait son sexe. Un mouvement banal entre mec mais très significatif entre nous. Je savais qu’il avait faim, faim de moi. Mais je ne pouvais pas me détourner du véritable combat qui était devant moi, ma meuf. Je met fin à ce jeu de regard en lui faisant un clin d’œil et je disparaît avec Cynthia dans la maison en fermant à double tour la porte centrale.

Elle savait que je voulais la niquer. Dès qu’elle m’a vu elle a passé sa main sur mon sexe et elle a remarqué qu’il commençait déjà à prendre vie. Ce que j’aime avec elle c’est qu’elle ne se fait pas prier pour donner le plaisir à son homme.

Elle embrasse avec une tél dextérité, ses lèvres ne font qu’un avec les miennes, j’aime ça, sa façon de me faire plaisir. Les mouvements de sa langue vont de haut en bas, sur les côtés tout en s’unissant avec ma langue, je trouvais cela tellement sensuel que mon pantalon n’allait pas tarder à craquer si elle ne s’y mettait de suite. Mais elle aime prendre son temps, elle adore me voir la supplié, à croire que les deux genres veulent me dominer, mais cette fois, je ne me laisserai pas faire tout comme lui qui m’attend d’ailleurs.

Je suis passé au chose sérieuse, plus le temps de tergiverser.

Elle est face à moi, toute nue.

J’explore chaque partie de son corps.

Ma main farfouille çà et là de douces caresses, de haut en bas et de bas en haut. Je suis comme un artiste qui exprime son art, celui de niquer.

Je descends lentement vers sa verge qui m’appelle, c’est elle qui me guide, apparemment elle aussi veut passer aux choses sérieuses. Mais avant elle me demande de lui faire plaisir, d’un plaisir qui se donne avec la bouche.

Mes lèvres sont en face de sa verge. Je remonte mon regard vers elle, elle froisse sa lèvre inférieure, elle a envie.

Je ne me prie pas pour la soulever et la mettre en décubitus dorsal sur la table basse agrippant fortement ses cuisses pour qu’elle ne puisse pas s’enfuir.

Je commence pas l’extérieur, il est tout rose.

Chaque lèvres passe par les mains expertes de ma bouche. Ce goût me rappelle quelques chose.

Je passe aux choses sérieuses, je suis comme un aspirateur, aspirant son clitoris dans ma bouche.

Elle ne tarde pas à pousser un gémissement.

Je suis la ligne descendante avec ma langue pour maintenant aller plus bas.

Je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai faim, faim de sa verge.

Je m’engouffre la langue en avant dans ce trou qui n’allait pas tarder à recevoir mon Dagober.

Ma langue tourne dans tous les sens lui procurant un plaisir lointain.

Elle pousse un gémissement.

J’étais fier de moi.

Je la place en position assise, ses pieds sur mes épaules et je me suis suffisamment baissé pour que mon Dagober soit face à sa verge.

Je commence tout doucement, pour ne pas qu’elle commence à hurler de douleur. Je l’avais bien préparé donc il fallait qu’elle s’y habitue à la taille du Dagober avant d’y aller à fond. Cela faisait déjà près d’un mois qu’on avait pas fait l’amour.

Elle grimace, je sens qu’elle a mal. Je la comprends, c’est tellement étroit que je sens chaque mouvement de mon gland.

Je fais entrer et je fais sortir, lentement.

Ça commence à aller tout seul.

Je me penche vers elle pour l’embrasser. Mais ce n’est qu’un stratagème pour l’asséné de plusieurs coup de reins. Ce qui l’empêchera de pousser des grands gémissements.

On entendait qu’une seule chose : poc poc poc poc poc…

Puis je ralentis, lui laissant le temps de reprendre son souffle et aussitôt j’accélère. Elle voulait crier mais au final elle s’est rabattue sur mon dos, m’assenant de griffes, mais je ne pouvais guère m’arrêter.

Je la baise, je soulève ma tête par endroit pour exprimer ma satisfaction. Elle aime, mon gland l’avait manqué.

On était au salon, j’avais envie de la défoncer à cheval là sur le plancher.

Elle était déjà positionné, m’attendant la verge ouverte. Je me met en position, agrippe vigoureusement son bassin pour qu’elle ne puisse pas s’échapper.

Je vois deux troues. Une idée saugrenue me traverse l’esprit, j’ai envie d’essayer pour voir ce que ça fait.

Je passe mon gland dans la deuxième sim, elle ne dit rien, je continue.

Mon gland est comme avaler.

C’est quoi cette sensation de malade ? C’est donc ça qu’il a ressenti la dernière fois ? C’est tellement bon, je n’ai pas envie de me retirer de là.

Je commence mes mouvements de va et viens, je ne peux décrire ce que je ressens. Au lieu qu’elle gémisse, c’est maintenant à mon tour de pousser quelque gémissements lourds.

Je ne savais pas que j’allais goûter à tel plaisir un jour. Je comprends pourquoi les hommes de maintenant couchent avec semblable à eux.

Est-ce que j’allais encore accepter qu’il me domine après avoir goûter à ça ?

Je ne pouvais pas jouir aussitôt car je voulais vivre directement de ce plaisir. Je labourais avec plaisir et violence ce trou qui agrippait mon Dagober de la manière de celle d’un peigne afro.

C’était tellement bon que j’ai joui à l’intérieur sans m’en rendre compte.

Je me suis bien vidé et elle aussi a eu sa dose. On se dirige vers la douche pour se nettoyer.

Elle s’est directement jeté sur le lit après la douche, elle était sûrement très fatigué et je la comprends.

Je suis juste avec un short sans caleçon qui laisse entrevoir mon Dagober qui ne sait pas encore totalement endormi. Je dois ouvrir la porte pour laisser passer un peu d’air frais.

Je tourne la serrure, j’ouvre enfin, une lumière aveuglante me frappe les yeux, je suis obligé de les fermer un peu.

__ C’est maintenant que tu penses sortir ?

Mais ? Ne me dis pas que, j’ôte ma main de mes yeux et là je le vois à la terrasse debout me fixant.

Il m’agrippe par mon avant bras comme la dernière fois et cette fois il m’emmène dans le débarras qui se trouve juste là à droite. Il pousse la porte et la referme une fois à l’intérieur. Je me sentais directement désemparé face à cette scène. C’est comme un père face à son fils, comme si il voulait me donner une correction. Il me tourne et me plaque contre un grand meuble qui était là. Mais Qu’est-ce que… ?

__ Tu as bien pris ton plaisir ? Je vais te gémir plus que tu ne gémissais tout a l’heure.

__ C’est donc ça ton passe temps ? M’espionner ?

__ Je t’ai pourtant fais un signe distinctif qui montrait que je voulais te baiser.

__ Je ne suis pas mal entendant pour parler la langue des signes. Parfois la parole est la meilleure des solutions.

__ Tu as la langue bien pendu.

Il passe ma main dans ma culotte en touchant mon Dagober et mes testicules avant de prolonger sa main en direction de cette ligne jusqu’à ma verge. J’aime car je sens derrière moi son pantalon qui commença à se gonfler.

__ J’espère qu’elle dort profondément car je vais te défoncer comme on baise une putte !

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