ÊTES-VOUS MALADE PRINCE ?

_ Je veux rentrer chez moi !

_ Allé ! Du calme, on dîne dans quelques minutes. Pendant ce temps tu peux prendre une douche et te changer, tu peux prendre mes vêtements, ils sont dans l'armoire à ta droite.

_ Pas la peine je rentre chez moi.

_ ... Donc tu ne m'aimes pas, c'est ça que tu veux dire ?

_ ... Je ne veux pas dire que je ne t'aimes pas, je t'aimes mais, en ami.

_ Tu pourrais quand même me donner une chance, non ?

_ Écoutes, dans toute ma vie je n'ai jamais entendu deux hommes se marier. Je comprends que tu m'aimes beaucoup, mais ça ne se fait pas dans notre temps !

_ Alors nous serons les premiers.

_ Comment penses-tu que les villageois et les autres royaume vont le prendre ?

_ Moi, je m'en fiche c'est toi que je veux pas eux.

_ * soupir * Apprends à réfléchir !

_ S'il te plaît, une seul chance. Si cela ne marche pas je te laisserai partir.

_ J'ai dit non...

_ (ò ó*) Ne me fais pas cette tête, ce n'est pas comme si je t'abandonne, on reste ami.

_ ... Reste avec moi ! Je ferais tout pour te donner le sourire, tu m'as rendu le mien non ?

_ Je suis sûr que tu trouveras une fille sympa. *sur le point de partir *

_... Pas la peine de chercher, mon père et ma mère vont me marier la semaine prochaine. Si tu avais accepté ils seront revenus sur leur choix. Je ne te forcerai pas pour mon propre bonheur en te privant du tien. Tu peux y aller, les gardes te laisseront passer.

En ce court instant, Trilor pensa fortement à ce qu'il vient de dire.

_ Très bien, t'as gagné !

_ ... Tu restes.

_ Oui, je veux quand même savoir une chose. Je veux que tu me dis la vérité.

_ Tout ce que tu voudras.

_ M'aimes-tu vraiment.

_ ... Je t'ai cherché pendant un mois entier, presque chaque jours je sortais pour te voir, je t'ai même menti sur mon identité pour que tu sois plus à l'aise avec moi. Tu veux savoir si je t'aime ? Et bien oui, je t'aime.

_ ... D'accord, je vais prendre ma douche et j'arrive.

_ Merci * lui fait un câlin *

_ Laisse aller prendre ma douche.

_ D'accord je t'attends en bas, fais-toi beau ! * sors de la chambre *

_ * soupir * ( Je suis bon pour me mettre dans le pétrin. )

Victor était bien plus qu'heureux à l'acceptation de Trilor. Il souriait comme un enfant et cela ne faisait que plaisir à sa mère qui elle pleure presque même à son sourire joyeux. Son père même s'il ne le montrait pas était aussi content que son fils soit à nouveau dans la joie.

_ Ils sont où ? Il m'a dit qu'il m'attendait en bas.

La reine : ... Ah ! vous voilà, cette tenue vous va à ravir !

_ Merci, ma reine.

La reine : De rien.

_ P. Victor m'a dit qu'il m'attendait ici.

La reine : Il est juste là-bas.

_ Quelque chose ne va pas ?

La reine : Non, ne vous inquiétez pas.

_ ( est-ce moi qui suis un problème)

La reine : Ce n'est pas votre faute, ils sont toujours comme ça lorsqu'ils doivent décider pour le repas. On dirait pas père et fils mais, plutôt frère et frère.

_ Ah ! OK.

La reine : Venez on va les rejoindre.

_ D'accord

La reine : Vous savez, je ne l'ai jamais vu sourire comme ça avant aujourd'hui.

_ Mmm

La reine : Vous êtes bien le premier qui ait réussi à faire un tel acte. Je vous en remercie.

_ ...Ce n'est rien.

La reine : * arrive sur la cour * Avez-vous fini ?

_ Il veut des nouilles au repas.

Le roi : Mon ventre est mien si je veux des nouilles au repas, c'est mon choix.

_ On ne mange pas de nouilles au repas.

Le roi : Je suis le roi, si je veux des nouilles, je les aurais.

_ Non, on aura du riz au repas.

Le roi : Des nouilles !

La reine : Ok ok, des nouilles ou du riz vous décidez !

_ ... Tu as déjà fini ton bain ?

_ oui, j'ai pris cette tenue, les autres sont trop grandes.

_ T'es parfait !

_ Merci !

_ ... Pas encore man !

Le roi : T'as pas fini oui ?

_ Ai-je dis quelque chose qu'il ne fallait pas ma reine ?

La reine : Non, tout va bien et s'il te plaît ne m'appelles plus ma reine, tu peux m'appeler maman.

_ ...

_ Maman !

La reine : Bah quoi ! C'est tout à fait normal non. Maintenant j'ai deux fils.

_ Tu vois, maintenant t'as une nouvelle maman !

_ ... * pleure *

La reine : Qu'est-ce-qu'il y a ?

_ Rien, tout va bien ! Merci !

La reine : ... Vient là * lui fait un câlin *

_ * fait un câlin * Merci !

La reine : Je ne veux pas d'une belle-mère ni de beau-père mais, une maman et papa compris ?

_ * s'essuie * oui maman * sourit *

Après cette petite discussion, ils se sont mis à table pour le repas, et vu que p. Venuela n'était pas encore partie elle était aussi à la table. Le roi et la reine ont décidé de mettre fin au mariage. À la place du mariage du p. Victor et de la princesse, ils ont accepté le choix de leur fils et leur mariage à eux. Trilor bien qu'il ne se sent pas à sa place apprécie d'être avec eux. P. Venuela était tellement bouleversée qu'elle a laissé là table en larmes et s'en alla sans même dire aurevoir. La journée passa vivement et c'était déjà lmatin.

_ * s'assit * ... Donc, je n'ai pas rêvé.

_ Non, c'est la pure réalité.

_ ... (Õ Õ'") sale pervers !

_ Heinn ?

_ Refermes ton peignoir tout de suite !

_ * rit * Bah qu'est-ce-qu'il y a t'aimes pas mes abdos ?

_ Fais pas le fière tu n'es pas le seul à en avoir dans ce monde.

_ ...

_ C'est à ton tour ! Je t'ai fait venir des vêtements à ta taille.

_ Merci.

_ De rien.

_ Pourrais-je aller chez moi ce matin ?

_ Mmm ?

_ Ils sont sûrement inquiet, j'ai quand même disparu pendant une journée entier. ( Je ne parle pas pour ma belle-mère mais, Christian risque bien d'être inquiet)

_ D'accord, tu peux mais, je t'accompagne.

_ T'es pas obligé.

_ Je veux t'accompagner.

_ OK ok.

Quand ils ont fini de se préparer, suivie du petit déjeuner Victor fait appeller une carosse pour la route. Ils arrivèrent à peine près de la maison que Daïzy fait une crise dans la maison à sa mère. Miss Laïzy se rua pour accueillir le prince.

Daïzy : Mère, comment suis-je ?

Miss Laïzy : Parfaite, tiens toi droite !

_ Comme si je ne savais pas comment on ouvre une porte de carosse.

_ C'est mon devoir de vous ouvrir la porte.

_ * frappe à la porte *

Daïzy : il est là !

Christian : C'est pour quoi tout ce bruit ?

Miss Laïzy : * ouvre la porte * Bonjour, que puis-je pour- ... TRILOR ?

_ Bonjour belle-mère.

Christian : Trilor ? T'es rentré ?

_ * entre * Bonjour

Christian : * court vers lui * où étais-tu donc passé ? Tu m'as fait une peur bleue, je n'ai même pas pu dormir hier soir. Imbécile !

_ Désolé ce n'est pas ma faute, disons que je me suis fait capturer comme un lapin. (\=_\= * )

Christian : Qui t'as kidnappé ?

_ Tu n'as pas à t'en faire.

Miss Laïzy : Puis-je vous aider en quelque chose cher prince ?

_ Non, pas la peine.

Miss Laïzy : Entrer donc.

_ * entre * elle est belle ta maison.

_ Merci

Daïzy : Bienvenue cher prince !

_ Merci

Christian : Je ne comprends pas.

_ Un jour tu comprendras.

_ Tu ne vas pas faire ta valise ?

_ ... (ō ō ) Et bien vas-y mets moi la bague au doit tant que tu y es ?

_ C'était juste une question ( ,\= \=)

_ ... Qu'est-ce-que t'as au bras ?

Christian : Heuuu ce n'est rien, t'inquiètes !

_ Tu t'es battu ou est-ce l'entraînement ?

Christian : L'entraînement.

_ Tu ne sais pas mentir. Qui es ce qui t'as frappé.

Hier après-midi, Christian avait décidé d'aller voir ce qui n'allait pas avec Trilor. Car d'habitude, il revenait tout de suite après, mais cela faisait deux heures qu'on ne le voyait toujours pas. Bien que Miss Laïzy s'en fiche qu'il ne revient pas, il alla le chercher quand même. Christian chercha partout, il ne trouva aucune trace dans les environs, alors il dû rentrer. En rentrant, il croisa malheureusement ses deux ennemis de cœur. Il avait prévu de passer inaperçu, de ne pas se préoccupé d'eux mais, à son grand désarroi celui-là vint à ça route. Christian n'était déjà pas de bonne humeur et celui-ci ne vint qu'empirer les choses. Il essaie de se calmer, il le provoqua tellement que Christian perdit le contrôle et une bagarre a éclaté en rue.

_ On avait dit que ça ne recommencerai plus.

Christian : C'est lui qui m'a énervé pas moi !

_ Plus jamais tu refais se genre de chose.

Christian : Oui, je le promet.

_ Qui t'as soigné le bandage est trop serré !

Christian : ...

Pendant que Trilor soignait Christian, Victor était resté assit dans la salle à manger à parler avec la belle-mère et sa fille qui ne racontait que du n'importe quoi pour attirer son attention.

_ Victor, pourrais-je te parler deux seconde.

_ J'arrive. * se lève *

_ ...

_ Qui a t'il ?

_ Et bien, je voudrais te demander un petit quelque chose ... Comprenant que je suis au château, désormais pourrai-je s'il te plaît...

_ ... Mm ?

_ Amèner Christian avec moi ?

_ ... L'amener avec toi ? Dans quel but ?

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Je sais les chapitres sont trop longues ( _ _')

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