CHERCHER

Miss Laïzy : Tout ce travail pour rien ! TRILOR ?

_ j'arrive * descend les marches *

Miss Laïzy : Dépêches toi, viens prendre Christian et l'emmener dans sa chambre !

Daïzy : Tiens toi droit imbéciles, tu es lourd je te signale !

Miss Laïzy : Tu n'as rien trouvé de mieux que de boire pendant qu'il y avait des dizaines de filles autour de toi ?

Christian : ...

_ Me voici

Miss Laïzy : emmenes le dans sa chambre.

_ oui... Christian ?

_ viens ...

Christian : ... * s'approche *

Daïzy : J'ai pitié de toi mon frère.

Miss Laïzy : la fermes ! tu n'as rien foutu non plus te ferai je songer.

Daïzy : Moi ? ... N'oublie pas que c'est moi qui était la première a parlé avec ce jeune homme... *soupir * il était tellement beau, il avait l'air riche si seulement il ne s'était pas enfui (♡ ♡ )

Miss Laïzy : mouais et c'est aussi à cause de lui que le bal a pris un tournant, empêchant le prince de nous tomber dessus.

^^^En haut :^^^

_ Tu ne comptes pas prendre une douche avant ?

Christian : Non, pas la peine * s'assit sur le lit *

_ ...Qu'est-ce-qui c'est passé ?

Christian : ...

_ Tu peux tout me dire, je suis ton ami et les amis sont faits pour ça.

Christian : ... Je l'ai vu ou plutôt je les ai vu.

_ Qui ça ? Sabrina et ... ?

Christian : Oui

_ Je croyais que tu avais tourné la page ?

Christian : Même si... même si, j'ai tourné la page, cette sensation de sentir comme si on déchirait ton cœur, qu'on le mutilait avec un couteau, des ongles... Tout en entendant de tous les côtés que tu n'est rien, tu n'es qu'un pion, une carte perdu qui peut être remplacé par le joker... À chaque fois que je les croise je sens mon cœur s'accélérer et mon esprit chante toujours la même chanson, tu n'es rien, tu ne sers à rien, tu n'as rien... À ses moments tu te sens détruis, t'as envie de mourir de t'en aller loin, très loin... J'ai envie de mou-

_ LA FERMES !

Christian : ...

_ J'ai perdu ma mère et mon père ? Mais, pourtant tu le vois bien, je suis toujours en vie et en parfaite santé... Tu vas me dire que c'est parce que je ne trouve pas le moyen ou que je suis trop faible pour le faire moi même ? J'aurai pu, j'aurai du mourir avec mes parents, les rejoindre la haut mais, à chaque fois je me souviens toujours de ce que disais ma mère : 《 La vie n'est pas de longue durée, chaque jour est nouveau, au lieu de s'en privé, vie chaque jour pleinement avec sourire. Si tu peux marcher, danses. Si tu peux parler, chantes. Si tu peux voir et toucher sors, vas touches, regardes autour de toi, contemples autant que tu en es capable》

Christian : ...

_ ... Madame Marilide n'a plus sa jambe gauche , mais tu le vois chaque matin devant sa maison vendant des pulls des vêtements tricotés, cousus à la main, tout ça avec sourire !

Christian : ...

_ Monsieur Grilami pendant une guerre a perdu son bras droit, il travaille dans son bar chaque jour dansant joyeusement et en chantant. Et toi tout simplement parce que ta copine t'a quitté tu veux mourrir ou encore moins te suicider ?

Christian : ... Je suis moralement ignoble !

_ Non, j'ai rien dis de tel !

Christian : C'est pourtant vrai.

_ * s'assoit à côté de lui * De toutes façons elle ne te méritait point, et je suis sûr que même dans une semaine, peut-être demain même tu en trouveras une nouvelle plus belle, respectueuse et très crédible. Maintenant je veux que tu te couches pour demain.

Christian : D'accord.

_ * se lève *

Christian : Trilor...

_ Mmm

Christian : Merci

_ De rien, c'est tout a fait normal. * ouvre la porte* Bonne nuit.

Christian : Bonne nuit, à demain.

_ * ferme la porte *

Ce soir là on ne su qu'elle mouche a piqué le prince. Le prince était devenu funèbre par la précipitation de Tristan ( Trilor ) pour quitter le bal. Victor était non seulement intrigué mais, avait aussi la chimère de le reconnaître. Son trouble de mémoire est fort bien appuyés. Pendant des heures Victor était complètement perdu par ses pensées, finalement son choix ne fut vin, il ne choisit aucune fille durant la soirée. Et le roi était sur les nerfs. Le lendemain matin, bien peu secouer par la soirée, sur un coup de tête envoie dans tout le royaume des gardes le chercher. Car il est persuadé qu'il s'y trouve.

Le roi : Victor, tu peux me dire où sont passer tous les gardes ?

_ Je les ai envoyé chercher quelqu'un.

Le roi : Comment ça tu les as envoyé chercher quelqu'un ? Même le donjon n'a pas de gardes ?

_ Ils reviendront plus tard, les barreaux sont assés solides et bien fermés pour retenir les prisonniers pendant leurs petits détour.

Le roi : Y en a assé de tes trucs enfantins, un jour tu finiras par me faire perdre mon latin. On avait une condition tu choisis celle que tu aimais lors du bal hier soir et tu ne l'as pas fait en conséquence tu vas te marier avec princesse Venuela.

_ ... je m'en fiche de toutes façons, c'est le destin. Mais, il faut que je le trouve d'abord.

Chaque matin, les gardes se promènent dans la ville demandant, cherchant un garçon aux cheveux blonds et des yeux bleus maritime qui était venu au bal le soir même. Ils cherchèrent pendant plus de deux semaines. Ils demandèrent parmi toutes les portes des maison qu'ils trouvent.

Garde : * frappe à la porte *

Miss Laïzy : Daïzy vas ouvrir !

Daïzy : * se lève et va ouvrir *

Garde : ... Bonjour mademoiselle, nous sommes envoyé par le prince. Il voulait vous demander si vous-

Daïzy : * crie * Mère, mère ?

Miss Laïzy : Qu'est-ce-qu'il y a ?

Daïzy : Le prince a envoyé me demander.

Miss Laïzy : Hien ?

Daïzy : il y a un garde.

Miss Laïzy : * arrive * Je suis honorée que le prince ait pu faire son choix, je suis sûr que ma fille pourra être une femme et une reine parfaite.

Garde : Je ne crains que vous m'ayez mal compris. Le prince voulait vous demander si vous ne connaissiez pas un garçon aux cheveux blonds et aux yeux maritime, il était là, à la soirée !

Miss Laïzy : ... Non, nous ne le connaissons pas.

Garde : et bien merci madame.

Daïzy : ...

Miss Laïzy : * ferme la porte * on se tue la tête pour vous plaire et vous n'avez rien à faire que de venir nous demander pour un évader d'un bal ?

Daïzy : * soupir *

Et cela continua jour pour jour, semaine après semaine pour enfin devenir un mois. Le mariage était en mode préparatif les recherches ne marchaient pas du tout et Victor se sentait de plus en plus funèbre par ce pressentiment. Il avait presque l'air d'abandonner sa recherche sans sourciller.

La reine : Ça fait un mois que ça dure est tu sûr de ce que tu es en train de régler ? Tu vas bientôt devenir roi ce genre de chose que tu fais là n'est pas censé être l'action d'un roi.

_ Ce n'est pas ma faute, c'est juste que une partie de moi veux, désir de le retrouver de le voir.

La reine : Dans quel but.

_ ... Je sais pas !

La reine : Arrêtes de te tracasser comme ça !

_ * soupir * Je vais faire une balade, peut-être que ça m'aidera à me calmer ?

La reine : Ok, ne rentre pas tard.

_ oui ...

_ coucou mon beau, t'es prêt pour une randonnée ... * tire un gant de sa poche *

Depuis le soir, Victor garde toujours le gant avec lui. Le gant après minuit même, n'a pas été perdu, il est resté intact avec le prince.

_ * regard le gant * (si cela seulement peut me prendre la tête, je me demande comment je vais gérer un royaume entier) ... Nous pourrions aussi faire une petite chasse dans la forêt...-

N'y faites pas attention s'il vous plaît (; _ _). Faites comme si c'était Victor et non Muzan :

_ ( FORÊT ? ) ...

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À suivre : )

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