UN BAL

Daïzy : cette soupe est trop chaude ! Je ne peux pas la manger.

_ Désolé laissez-moi le refroidir pour vous.

Daïzy : Non laisse, retires tes sales pattes de là.

_ Désolé.

Miss Laïzy : Vas faire la lessive !

_ Oui belle-mère * s'en va *

Miss Laïzy : Je vais voir ce que le courrier nous rapporte aujourd'hui * se lève de table *

Depuis très tôt le roi s'est chargé de faire envoyer une lettre d'invitation à toutes les jeunes filles du royaume, pour lors du 23e jours de ce mois qu'elles seront prêtes pour le bal d'ici là.

Miss Laïzy : OH MON DIEU !

Daïzy : Quelque chose ne va pas mère ?

Miss Laïzy : Daïzy vient par ici !

Daïzy : * va au près d'elle *

Miss Laïzy : Vois-tu ce que je vois ?

Daïzy : * attrape la lettre *

Miss Laïzy : C'est notre chance.

Daïzy : Ce n'est pas vrai ! Au mon Dieu mère !

Miss Laïzy : Dès demain on va faire des achats compris et je ferai venir ton frère d'ici là semaine qui va venir.

Daïzy : Ouiii si le prince me choisit je serai la fille la plus heureuse du monde.

Miss Laïzy : Et la plus riche, et, bien sûr que se sera toi qu'il choisira.

Daïzy : J'ai trop hâte !

Sans même attendre deux à trois minutes de plus la jeune demoiselle se mit déjà en fouille à la recherche d'accessoires pour ce bal, sa mère n'était pas mieux, elle dépouillait chaque centimètre de l'appartement en signe de trouver quelques choses en aide.

_ * ramasse la lettre * ... Le prince se cherche une épouse ? * la dépose sur la table *

Bien sûr, Trilor n'en avait rien à faire de ce bal, puisque l'on ne le laisserait jamais y aller. Le royaume était bien chamboulé par les préparatifs pour le bal, on ne parlait que de ça. Toutes les boutiques de bijoux, vêtements... sont presque avides et les couturières, couturiers sont aux bords du stress avec toutes ses demandes l'une après l'autre chaque jour. Tant les jours et semaines se rapprochent, tant le royaume fut agité de toute part.

_ comptes-tu venir au bal ?

_ Non

_ Pourquoi ça ?

_ J'ai mes raisons.

_ lesquelles ?

_ Celles qui font que je ne peux pas.

_ (\=_\= ) allerrrr Trilor, je suis sûr que tu viendras.

_ Ah ouai et pourquoi dois-je y être à ce que je sache je suis un garçon pas une fille.

_ Le roi a dit les gens du royaume y compris garçon.

_ et bien désolé mon cher roi je ne peux pas.

_ Pourquoi ?

_ Pour mes raisons.

_ * soupir *

_ Je ne vois pas pourquoi tu insistes, le prince a besoin d'une épouse non d'un majeur d'homme, je suis un garçon je peux ne pas y aller. C'est quand même pas la fin du monde ?

_ si, un peu que c'est la fin du monde * chuchote*

_ Tu as dit quelque chose ?

_ Non.

_ ok (\= \= ')

_ Vas-y s'il te plaît.

_ ...

_ J'ai quelque chose de très important à te dire.

_ Bah vas-y.

_ Non pas maintenant, vas au bal et tu le sauras.

_ ah ! Virgo !

_ S'il te plaît.

_ ... * soupir * j'essayerai de venir.

_ Promets-le.

_ (dans quoi je m'embarque) je te le promets.

_ * sourit * Merci.

_ ... Bon, il faut que j'y aille à cause de ce bal, j'ai beaucoup à faire.

_ D'accord à plus .

_ * se lève * bye

Qui sait peut-être que sa belle-mère le laisserait y aller ou pas du tout. On est déjà à la 2e semaine du mois, on est le 12 si je capte bien leur calendrier, il ne reste que 11 jours de préparation.

_ C'est la pagaye ici, je n'ai jamais le temps de ranger ma chambre moi.

Christian : * toque * devine qui c'est !

_ Christian ! Tu es rentré * ouvre *

Christian : Et comment… Je peux ?

_ heu oui vas-y.

Christian : * monte * ...

_ Tu ne prends plus de cours ?

Christian : Si, je suis venu pour le bal.

_ Ah ! J'avais oublié.

Christian : Wow j'adore ta chambre, qui aurait pu croire qu'un grenier puisse ressembler à ça ?

_ Merci

Christian : D'où sors-tu ses tableaux ?

_ Certains sont de ma mère et autres de moi.

Christian : Tu fais de la peinture ?

_ oui, je ne me débrouille pas mal.

Christian : Tu tiens ça de ta mère ça se voit. Elles sont magnifiques.

_ Merci.

Christian : ... Comment t'as fait pour monter ce lit ?

_ Heuu, longue histoire.

Christian : On dirait que ça n'a pas été facile.

_ Ah ! Ça on peut le dire !

Christian : * rit *

_ Quelque chose ne va pas ?

Christian : Non rien, tu m'as manqué tu sais.

_ oui toi aussi.

Christian : elles ne t'ont pas trop fait souffrir.

_ Un tout petit peu, je peux dire.

Ils parlèrent, racontèrent beaucoup de chose durant le restant de la journée, ce fut un grand plaisir pour eux de se retrouver. Puis au palais :

La reine : Encore parti, hein ?

_ * soupir * Quoi encore ?

La reine : Rien, viens manger ton plat ça va refroidir.

_ Il est où papa ?

Le roi : Juste derrière toi, à peine rentrer je suppose.

La reine : Tout juste.

_ Le repas va refroidir ! * se dirige vers la table *

Le roi : Arrêtes de nier.

_ Ton repas va refroidir papa, asseyez-vous donc !

Le roi : Tu vois qui en secret ?

_ Puis-je ? * tend la chaise à sa mère *

Le roi : Victor ?

La reine : * s'assoit *

_ ... * s'assoit * Bon appétit !

Le roi : Je ne te laisse pas en paix avant que tu m'aies dis qui est-elle !

_ Une personne.

Le roi : D'écrits la .

_ Elle n'est rien de ce que tu penses qu'elle est et puis fini, on mange.

Le roi : * s'assoit. * Je vais finir par craquer un jour.

La reine : Bon appétit.

Et sur ce, continua les jours, tout le monde se tarde de venir au bal, ils sont impatients de voir ce jour se levé, tout comme vous et moi. Je suis sûr que cette histoire va être palpitante. C'est bientôt le moment tout le monde doit être prêt, surtout les jeunes filles.

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À suivre

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