Mensonge

Je ne suis pas débile sa fait longtemps que l’espoir n’existe plus dans ma vie . Moi aussi j’ai trouvé ça marrant que vous m’accordiez de l’attention. Si c’était de l’attention, mais ne vous inquiétez pas Monsieur plus jamais je viendrais gaspiller une once de mon temps avec vous. Vous commenciez franchement à m’ennuyer. » . Gabriella se mit à avancer pas à pas vers la porte pas tout en partant et lui dit : « J’espère que vous vous trouverez un nouveau passe-temps parce que pour moi, ça ne va pas être bien difficile » . Arriver devant la porte, elle se retourna pour lui dire au revoir et elle se retrouva avec un John juste en face d’elle en colère près à tout à casser. Il lui dit avec un air menaçant : « Comment oses-tu me parler comme ça, pour qui tu te prends, tu sais qui je suis, sais tu que je pourrais mener la vie dure que ce soit à toi où à toutes les personnes que tu aimes » Il prit son téléphone et dit : « Tu sais en un appel, je pourrais détruire ton orphelinat où faire, tu es toutes tes précieuses sœurs chérie et mener la vie dure à tout leur occupant » Gabriella se mit à rire au éclat. John s’énervait de plus en plus. Il shoota dans la porte de sortie et lui dit : « Tu ne me prends pas au sérieux, tu devrais en un appel, je peux détruire ta vie » Gabriella s’arrêta de rire, ouvrit la porte et lui dit : « Si vous m’aviez dit ça, il y a 2 jours, je vous aurez sûrement supplié de ne rien faire à mon orphelinat, mais là. Je m’en fous, faites ce que vous voulez. En plus, ça m’arrangerait si vous faisiez quelque chose. » John subjugué observe Gabriella en étant figé. Il ne s’attendait pas à l’entendre dire une chose pareille. Ça lui a donné des frissons. L’image qu’il s’était faite de la belle et tendre Gabriella venait de se briser devant lui. Le fait qu’elle puisse ne plus avoir envie de protéger son orphelinat don elle lui avait parler si tendrement pendant toutes ses années l’avait littéralement choqué. Gabriella passa le pas de la porte et lui dit : « Vous ne dites pas au revoir à votre passe-temps » et elle parti en lui fermant la porte au nez. En vérité, Gabriella n’avait que mentir. Au fond d’elle, tout ce qu’il lui avait dit lui avait touché pour s’en sortir, elle se demanda que dirait Lydianne dirait dans une telle situation et elle joua la comédie à la perfection. Malheureusement, cette imitation, lui avait permis de cacher sa tristesse, mais pas de la faire disparaître. En marchant sur le chemin de l’orphelinat, elle ne put contenir son chagrin. Des larmes chaudes recouvré son visage, en vérité elle pensait que John était son ami. Son cœur était brisé, mais elle se ressaisit immédiatement en voyant la façade de l’orphelinat.Elle se rendit compte que ses sentiments l’avaient empêché de réaliser sa mission et posez plus de questions . Morte de honte elle s’assit contre un arbre à côté de la façade de l’orphelinat. Puis de 10 4x4 noirs s’approcha de l’orphelinat. Une vitre se baissa p

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