clair au travail parti2

J'ai terminé mon travail malgré que mon esprit ne voulait point coopérer mais il était déjà minuit passé. Le dernier bus était passé. je crains que je n'ai d'autre choix que de passer la nuit au bureau. Je me dirige vers le bricabrac afin des trouver ce qui me sauvera de l'hypothermie mais malgré une heure de recherche je ne trouve que de vieux journaux.

《Aller Clair! ce n'est qu'une nuit!》me dis-je pour me donner du courage.

mon lieux de travail est vraiment éffrayant la nuit. le son des canalisations d'eau font très peur et les murs son vieux et dégarni.

Je m'allonger sur le fauteuil en cuire qui semble faire un bruit pas possible. le temps s'écoule, je m'endors et dans mes rêves je pense à lui.

(bla bla bla) je me réveille pour constater que mes collègues sont arrivés. Je regarde mon téléphone et constate qu'il est dix heures.

- Aïe!

- Désolé! vraiment désolé mais de puis quand tu est la et tes cheveux? demande celui qui c'est assi sur moi.

- j'ai du passé... une nuit blanche! donc je suis la depuis le début. dis-je lassé.

Il est parti sans que je ne puisse finir ma phrase.

Je me dirige vers la salle de bain pour arranger mes cheveux qui a l'instant semblais avoir traversé la troisième guerre mondiale! je regarde mon reflet et me promis que cette fois je finirai attend pour rentrer chez moi.

je m'asseoi à mon bureau, allume mon ordi et commence à taper rageusement sur le clavier. il était or de questions que je passe un deuxième nuit ici. Mes mains n'avais point à rougir devant un joueur de piano.

( c'est bien dommage que nul ne puisse admirer ce spectacle.) J'aimerais tant que l'on me remarque sans qu'on aille à s'asseoir sur moi!

-Achous ! Achous !

le froid ne ma pas épargné, faut dire que les journaux ne sert pas à grand chose. Je me lève de mon bureau et heurte mon pied contre ma chaise qui se revers dans un bruit énorme. Je regarde autour de moi et personne ne réagit.

( à quoi tu t'attendais Sébastien était un coup de chance, tu pensais que ta vie vaux la peine d'être reconnu, tu rêve Clair.) Je ramasse ma chaise, me dirige vers la machine à café et m'en prépare une tasse. mon esprit divague à nouveau et je commence à penser que Sébastien n'est pas réel.

《Clac》ma giffle me picotte la joue mais sa me fais de bien. Je retourne à ma place et fait concurrence à flash sur le clavier. objectif ! finir avant tous.

il est 4 heures et j'ai atteint mon objectif. j'éteind mon ordi qui a clairement besoin d'être changer et au pas de course je me rend dans les vestiaires pour récupérer mon sac à main et ma veste. Aujourd'hui, je rentre à la maison.

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