Épisode 6

Pdv rubis

Des gens me dévisageaient pendant que d'autres rigolaient en me montrant du doigt. 

Au loin, j'aperçois le garçon à la capuche que j'ai rencontré hier qui courrais alors que deux hommes baraqué lui courraient après en ne cessant de crier. Je regarde autour de moi.  Évidement, il a fallu que je sois sur leur chemin.. Et évidemment, il doit se faire remarquer. Il cherche quoi ? À se faire arrêter par les gardes ? 

Pff, mais qu'il m'énerve.

Les deux hommes hurlaient au voleur. Les gens regardaient la scène comme on regarde un film. Il s'en foutait comme si c'était une habitude de voler. À moins qu'ils se prennent vraiment pour des téléspectateurs.. 

Non mais je vous jure. 

Je ne perdis pas une minute de plus et les suivis. Heureusement, j'ai eu la bonne idée de mettre des chaussures de sport. Je savais qu'elle allait me servir un jour. C'était assez facile de les suivres, vu leur crie. J'étais également plutôt bonne en course d'eu à tout mes heures d'entraînement à courir autour du palais, tu m'étonnes que je sois rapide. Sans trop me vanter bien sûr. Je me suis mise à crier à ces deux brutes.

Moi : monsieur attendez. Ils ne m'écoutent pas et continu leur course.

Merci, c'est gentil.

Je finis par les rattraper. Je tapote l'épaule d'un d'entre eux. 

Lui : je n'ai pas le temps ma petite dame, je dois attraper se voleur et lui faire payer ! Il me crache cette phrase au visage en me poussant. Je fais une grimace.

Moi : je vais vous payer arrêter de lui courir après. 

Ils s'arrêtèrent et me regardèrent essouffler de leur course.

Moi : combien ? Soufflais-je irrité. Je repris rapidement une respiration normale pendant que le deuxième homme respirait comme un bœuf.

À oui quand même. Il s'essouffle vite le petit. 

Lui : 55 €.

Je sors de ma poche l'argent que j'ai pris et leur tends.

Moi : vous devriez courir plus souvent. Sa vous évitera d'avoir une respiration de bœuf alors que vous n'avez même pas couru 5 minutes. 

L'homme haussa un sourcil et me lança un regard noir. Ils prirent l'argent et commencèrent à faire demis tours en me fixant comme si j'étais un alien.

Quoi ? Je n'ai pas de la sauce tomate sur le visage! Pas la peine de me dévisager.

Non mais je rêve !

Je partis dans la direction où ce merveilleux voleur était parti et je poursuivais ma course. Au loin, je le vis essoufflé.

Je m'approche de lui et pose une main sur son épaule. Il sursaute et me plaque contre le mur sa main Agrippa, ma gorge et il lève l'autre main pour me frapper. Je ferme les yeux paniqués.

Heyo comment allez vous ?

Comme vous avez pu le voir j'ai changé la couverture et le titre de l'histoire. Pour l'instant sa restera comme ça. Un jour sûrement je changerais mais pour l'instant je laisse ça.

Qu'avez vous pensez de ce chapitre ?

A suivre...

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