CHAPITRE 6 : QUEL JEU ?

Ça faisait maintenant une heure que j’étais enfermée dans cette prison qui me servait de logement, et je ne savais toujours pas où j’allais passer la nuit. La majorité des garçons étaient regroupé sur le canapé captivés pas ce qui était diffusé à l’écran en face d’eux. William était dans sa chambre en train de lire des bouquins, tandis que l’autre était dans sa chambre la porte fermée. Je me demande ce qu’un psichophate comme lui, peut bien faire enfermer dans sa chambre ? De la torture ? Du sadisme ? Les réponses à mes questions étaient justes derrière cette porte. Mais aurais-je le courage de l’ouvrir ? Bien sûr que non ! Après ce qu’il m’avait fait, je devais me calmer avec mon caractère de garce et mes menaces. Il fallait que je sache où j’allais dormir, il est 21 heures et j’ai vraiment sommeille et surtout je meurs de faim !

Les gars ?

Hmm ?

Désolé de vous dérangez mais, où est-ce que je vais dormir cette nuit ?

Ils se regardèrent l’air surpris que j’ai posé cette question.

Désolé ma belle mais ça, ce n’est pas avec nous qu’il faut en discuter. Me dit Luca.

Je suis désolé mais on ne peut rien faire pour toi à part commander des pizzas. Qui a faim ! Hurla Tayler.

William sorti de sa chambre pour nous rejoindre. Quand nos yeux se croisèrent il me fit un petit sourire au coin, que je répondis également de la même manière.

Bonsoir Alma, bienvenue à toi. Me dit-il nerveusement.

Merci. C'est avec toi que je dois voir où je vais dormir ce soir ?

Euh...non.

Mais avec qui alors ?

Bas oui William dit lui. Lui dit Mike avec un sourire déloyale.

Euh...ok.

Si ce n’était ni Mike, ni Tayler, ni Luca et ni William alors ça voulait dire que...

Celui qui va décider de là où tu vas dormir c’est...Il n’eut même pas le temps de finir sa phrase qu’une voix lourde le coupa.

C'est moi.

Dites-moi que c’est une blague là ? Pourquoi il fallait que ce soit lui ? Le seigneur ne m’avait pas assez puni comme ça ! Un rire sarcastique sorti de ma bouche sens que je lui demande. Il fronça les sourcils avant de me dire...

Ça te fait rire Davies ?

Il fallait que je réfléchisse avant de répondre à sa question. Il y avait deux options, soit je répondais avec mon insolence habituelle avec lui et je finirais sens doute par y prendre chère, ou alors je ferme ma gueule.

Bas alors on a perdu sa langue petite peste ?

Je ne pouvais plus me retenir, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Pour qui il se prend ce connard !

Dit celui qui la perdu quand il s’est fait castrer par une femme tout à l’heure. Lui répondis-je avec froideur.

Les autres se tournèrent tous vert nous, étonnés par ce que je vennais de dire. Je crégnais le pire. Un rire sadique l’emporta, il serait les points à en croire qu’il voulait les briser.

Sortez.

Caleb elle...

J’AI DIT SORTEZ TOUS !

Je ne sais pas ce qu’il se passe dans sa tete, mais une chose est sur, il était vraiment énervé. Les garçons était tous sortient de l’appertement il ne restait donc seulement nous deux. Je ne vais pas mentir, je suis térorisée. Il se dirigea vers la porte d’entrée et la ferma à clé. Il finit par se retourner vers moi.

Dis-moi Davies, tu aimes la torture ? Est-ce que tu aimes souffrir ?

Mais mains tremblaient, je ne pouvais imaginer ce qu’il pouvait me faire. Qu'est ce qui m’a pris de lui dire ça ! Je regrette ! Mon cœur battait à la chamade, et je ne pouvais m’empêcher d’observer tous ses fait et geste. Je ne devais en aucun cas lui montrer que j’avais peur.

J'attends ta réponse.

Es-tu fou Caleb ?

Peut-être ou peut-être pas, tel est la question. Mais toi, répond à ma question.

Non.

Un sourire terrifiant ce dessina sur son visage. Il se rapprocha de moi et dit...

Chaque second de ta présence en ces lieux me donne envie de gerber et tu sais pourquoi ?

Il me fixait dans les yeux, il venait de remarquer ma faiblesse, il venait de me démasquer. Je venais de lui offrir l’accès de ma souffrance.

Parce que tu n’es pas à ta place ici et je vais te le prouver.

De quoi est-ce que tu parles ? Dis-je avec une voix tremblante.

Toi et moi on va jouer à un jeu.

Quel jeu ?

Celui qui tiendra le plus longtemps avec la compagnie de l’autre gagnera. Si tu gagnes, tu choisiras quelque chose que tu souhaites.

Et si toi tu gagnes ?

J'attendais que tu poses la question.

Tu dégageras de ma vie.

Comment ça ?

Tu rentreras chez toi et plus jamais on se recroisera. Alors qu’est-ce que tu en pense ?

C'est hors de question !

Il se rapprocha de mo oreille et murmura.

Est-ce que tu as peur de perdre Davies ?

Moi, peur ? Bien sûr que oui, je suis pétrifiée !

N’importe quoi.

Alors qu’est-ce que tu attends pour accepter ?

Je réfléchi un bon moment avant de répondre.

C'est d’accord. J'accepte de jouer.

Très bien ! Alors que le jeu commence.

Je venais d’entrer dans le jeu diabolique de Caleb Baker.

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