Il avait fini par malheureusement (ou heureusement) être emporter par le sommeil. Malgré sa réticence l'appelle de son lit avait été plus forte que sa propre détermination.
Il n'était plus dans son lit, mais de retour dans la même prairie et Mme Barthel était aussi présente, les seins à l'air et le visage serein, elle avait tout l'air de se sentir bien à l'état nature, son corps dénudée était recouvert d'une fine pellicule de sueur, qui lui donnait un aspect brillant.
D'un geste de la main elle l'invita à s'approcher d'elle, on dirait presque c'était un geste habituel de l'interpeller si langoureusement. Une ligne de fin poil descendait de la base de son nombril jusqu'à son pubis où plus bas quelques poils roux ornaient son sexe au milieu de deux cuisses rondes, grasse et laiteuse. Sa poitrine enchanteresse se soulevait au rythme de sa respiration, chacun de ses mouvements faisaient bouger ses deux seins rond surmonté de deux tétons rose comme la fraise, parsemé de quelques tâches de rousseur, embellissant la peau transparente comme le porcelaine et aussi douce que la soie.
Le trait commun de ses rêves étranges n'était pas seulement la nudité exhibé mais que l'action primait sur la parole les personnages de ses rêves ne parlaient pas, ou du moins ne communiquait pas de la même manière que dans la réalité.
Mme Barthel avait toujours dégagée quelque chose que les autres profs n'avaient pas. Elle était aussi l'objet de beaucoup de fantasme adolescent, il n'était donc pas le premier à la regardé avec des yeux charnelle. Son physique en jouait beaucoup, mais plusieurs abandonnaient dégouté par son mauvais caractère, mais bizarrement ça ne lui suffisait pas au contraire ça l'attirait encore plus.
La femme nue se touchait et se caressait sans pour autant l'invité à se joindre à la dense, celle-ci gémissait ouvertement en le fixant dans les yeux. Il était gêné et les rougeurs sur ses joues le témoignait bien, dans ses songes tout était osé et sans vergogne. Chaque gémissements était un supplice, il la voulait et elle le savait mais n'en fit rien. Cette dernière souris écartant encore plus ses jambes laiteuses le laissant mieux entrevoir cette partie dans laquelle il voulait trop plongé ses lèvres. Des doigts délicat vinrent caressé le bouton rose placé entre les deux lèvres de son antre.
Sa peau se recouvrait petit à petit d'une fine couche de sueur, tout son corps était stimulé, son intimité, ses lèvres, aucun n'échappait à ses caresses imaginaires. Mais il ne pouvait s'approcher d'elle ils étaient séparés par un mur invisible qui l'empêchait de soulager son envie de peau contre peau. Ses mains eux aussi ne pouvaient pas bougé pour se soulager de cette torture sans aucune issue. Dans un cri un jet d'eau arrosa son visage le faisant sursauter et par la même se réveiller.
"Ce matin là je dus changé mes draps".
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