La même cour de l'école, mais maintenant une légère tension est palpable. Les élèves sont toujours réunis sur les bancs, discutant des nouvelles règles. Théo entre dans la cour, l'air déterminé.
Théo
(avec un sourire)
Salut tout le monde ! Qu'est-ce qui se passe ici ? Vous avez l'air sérieux.
Mélanie
(soupirant)
On parle des nouvelles règles que les profs ont mises en place. C'est un peu lourd à porter.
Théo
(fronçant les sourcils)
Ah, ces règles… Je savais qu'elles allaient arriver. Mais je pense qu'on a le droit d'avoir notre mot à dire.
Honda
(curieuse)
Qu'est-ce que tu veux dire par là ?
Théo
(s'asseyant sur le banc)
Je veux dire que ces règles ne devraient pas nous empêcher d'être nous-mêmes. Si on commence à se méfier des profs, ça va créer une distance inutile.
Lucas
(réfléchissant)
Oui, mais il y a aussi des limites à respecter. On ne peut pas juste ignorer les règles sous prétexte de vouloir être amis.
Théo
(haussant les épaules)
Peut-être, mais il faut aussi garder un équilibre. Les professeurs sont là pour nous guider, pas juste pour nous surveiller comme des hawks.
Félix
(intervenant avec un regard sérieux)
Théo, je comprends ton point de vue, mais il est important de voir pourquoi ces règles existent. Elles ne sont pas là pour créer une barrière, mais pour protéger les élèves et maintenir un environnement sain.
Théo
(regardant Félix avec défi)
Je sais bien Félix, mais parfois les bonnes intentions peuvent mener à des malentendus. On doit pouvoir discuter librement sans avoir peur des conséquences.
Mélanie
(hésitante)
Tu as peut-être raison… Mais comment on fait pour exprimer nos préoccupations sans franchir la ligne ?
Un silence s'installe alors que chacun réfléchit aux mots de Théo.
Honda
(brisant le silence)
Peut-être qu’on devrait organiser une réunion ou quelque chose comme ça ? Pour discuter de tout ça avec les professeurs ?
Lucas
C'est une bonne idée ! Ça pourrait être l'occasion d’exprimer nos pensées et d’établir un dialogue.
Théo
(souriant)
Voilà ! Ensemble, on peut faire entendre notre voix et montrer qu'on veut des relations basées sur la confiance.
Les élèves acquiescent en signe d'approbation, galvanisés par l'idée d'une action collective.
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