chapitre 4: première leçon

                . Je me

rends alors chez Léandre et toque a la porte. Et là je vois Léandre trempé, une

serviette autour de la taille, en train de s’essuyer les cheveux avec une autre

serviette. Je rougis énormément a la vue de son torse… Ses abdos sont

impressionnants et son sourire envoutant.

L-Entre,

j’habite seul.

N-Ok…

Je rentra

alors dans sa maison luxueuse. Il m’invita à m’assoir sur un immense canapé. Il

partit environ 10 minutes et revint en uniforme. Il s’assit à côté de moi et me

dit :

L-Je suis

ton tuteur, je sais, mais il y a quand même des règles à respecter : primo ;

tu te balades pas dans la maison, tu as juste le droit d’accéder aux toilettes

et au salon. Deuzio ; tu n’oublies pas tes affaires. Et troizio ; quand

tu fais une erreur sur un exercice, tu as un malus, comme j’appelle ça. A

chaque fois que tu ne respecteras pas une des règles ou que tu additionnera

plus de 5 malus en une soirée, tu auras une dette envers moi.

N-Mais… Je

n’ai pas d’argent !

L-Je m’en

doutait, donc tu payeras en nature.

N-C

’est-à-dire ?

L-Avec ton

corps

N-Tu vas me

frapper ?

L-Non,

encore mieux !

N-Alors

comment ?

L-Tu fais la

fille timide, mais tu sais très bien ce que je veux dire. Arrête de me regarder

comme ça ! Tu veux que je te montre pour que tu saches ce que ça veut

dire ?

Je décida de

continuer à jouer l’innocence.

N-Je ne sais

pas ce que ça veut dire donc oui s’il te plait.

Il se leva

et se mit face à moi. Il me poussa et me mit allongée sur le dos. Je continua

l’innocence et fit une tête choquée. Il se mit ensuite sur moi, un de ses

genoux entre mes jambes, et l’autre sur le côté. Sa main droite tenait

fermement mes deux mains et avec son autre main, il me caressait le visage. Je

décida alors de quelque chose : si j’ai joué l’innocence, autant la jouer à

fond. Je le repoussa et il rit.

L-Ca va, je te

laisse tranquille. Commençons les cours. Sors tes affaires.

N-Je les

aies pas…

L-Tu en

connais la sanction, non ?

N-Désolé…

L-Je vais te

l’alléger, tu n’as qu’à m’offrir un baiser et je te laisserais tranquille. Ne

te réjouis pas trop vite, je suis de bonne humeur aujourd’hui.

Il s’essuya

la bouche avec sa main.

L-Allez,

vas-y !

A peine avait-il

fini sa phrase que mes lèvres se posèrent sur les siennes ; mon rêve de

toujours. Je détacha maintenant mes lèvres des siennes et rougis. Il rougissais

aussi.

L-Comme tu

n’as pas tes affaires, je te propose de lire un livre. Mais je te préviens, je

n’ai pas le genre de livres que tu lis à mon avis.

N-Tu serais

surpris de voir mes livres !

L-Exceptionnellement,

tu as le droit d’accéder à la bibliothèque.

Nous

rentrâmes dans une pièce immense remplie de livres… De livres de cul ! Je

reconnu un livre que je voulais acheter à la librairie, mais qui était trop

cher. Je m’avança alors pour l’attraper, mais Léandre m’arrêta :

L-Lis plutôt

dans cette étagère.

Il me montra

des livres pour enfants.

N-Non merci.

Je contourna

Léandre et prit le livre.

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