chapitre 5: kidnappée par mon crush

L-Celui-là

en plus ? Fais attention, il m’a couté une blinde.

N-C’est bien

pour ça que j’ai pas pu l’acheter !

L-Toi, ce

genre de livres ?

N-Oups…

L-Tu t’es

foutue de moi, tout a l’heure !

N-Désolé…

L-Tu vas me

le payer.

Il partit

pour je ne sais quelle raison et j’entendis des verrous se fermer.

L-Oublies le

lycée, j’ai décidé que tu passerai une semaine ici pour ta punition.

N-Est-ce

qu’il y a une façon d’obtenir un ticket de sortie ?

L-Aucun.

Mais ne t’étonne pas de me voir tous les soirs, tu m’intéresses beaucoup, alors

je vais pas me gêner !

N-Ok… Je

vais me doucher.

L-Je t’amènes

d’abord chercher des vêtements, et ensuite tu iras te doucher.

N-D ‘accord.

Une question : Je dois continuer à t’appeler « mon tuteur sexy » ?

L-Non, tu m’appellera

par mon prénom.

N-Et comment

tu t’appelles ?

Léandre me

plaqua contre le mur. Je sentis son souffle enragé dans mon cou.

L-Si tu

continues à me provoquer, je te violerais !

N-Ce ne sera

pas du viol, je serais consentante !

L-Tu vas

finir par me rendre fou, et je vais plus pouvoir me contrôler. Crois moi, mes

envies vont au-delà de coucher avec toi…

N-Suspect…

Mais sexy !

Léandre

rougit encore une fois. Il reprit ses esprits et m’emmena chercher des

vêtements dans une chambre. Il y avait un dressing immense contenant mille et

une tenues de tous genres ; des tenues cosy, des tenues des années 90…

Et des tenues sexy ! Je pris alors une robe très courte avec un immense

décolté, des collants attachés par des ficelles, et pour finir des oreilles de

chat noires en serre tête. Léandre rougit.

L-S ’il te

plait, ne mets pas ça…

N-Déjà que

tu m’enfermes, en plus tu veux décider de mes tenues ?

L-C’est pas ça,

tu le sais bien…

N-Je porte

ce que je veux !

Je lui fit

une grimace.

N-Accompagne-moi

à la salle de bain, tu veux bien ?

L-J’ai pas

trop le choix !

Il me

conduit donc jusqu’à la salle de bain. Je me doucha, puis enfila la tenue que

j’avais choisie ; parfaite. Je voulus lire mon livre mais il n’était plus

là où je l’avais posé. Je retourna alors à la salle des livres, et pris

discrètement le livre le plus excitant de l’étagère. Je m’assis et le lut en

entier. Mon cœur battait la chamade et j’avais une idée en tête ; écrire

un roman. Pas un roman d’aventure, ni d’horreur, bien évidemment ; un

livre romantique et excitant. Je chercha alors de quoi écrire. Je trouva une

pièce ressemblant fortement a un bureau. J’entra, et chercha dans le pupitre un

stylo et une feuille. Je cherchais dans les moindres recoins de la pièce, mais

rien ! Quand tout à coup, par terre, je vis un stylo, caché dans un recoin

sombre de la pièce. Je l’attrapa, avec une délicatesse particulière. Une fois

le stylo en main, j’observa ce stylo. Il avait vraiment tout d’un stylo basique.

Je sentit alors une main se poser sur mon épaule.

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